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PétulaJ’ai travaillé dans la recherche pétrolière en Amérique du sud dans différents pays pour des missions longue durée. Nous étions en équipe exclusivement des hommes jeunes souvent célibataires et aventuriers sans attache affective. Le travail était dur dans un climat ingrat et souvent dans des régions dangereuses sous pleins d’aspects. A la fin des missions de quelques fois plusieurs mois nous avions une période de repos généralement dans une station balnéaire. Au début de cette phase de récupération nous passions du temps à dormir, manger et nous soigner plaies, parasites et maladies tropicales étant notre lot habituel. Puis après deux semaines nous refaisions surface et commencions à vouloir nous amuser et dépenser une part de nos bons salaires. C’était le moment des excursions, des balades, de la plage et des sorties le soir. Nous allions au casino craquer du fric, dans des bouges locaux pour boire et danser avec des jeunes locales à moitié nues et prêtes à tout pour nous prendre un peu d’argent. Des fois nous les ramenions à l’hôtel et nous profitions d’elles. Mais souvent on les baisait dans l’arrière-boutique à plusieurs. Il y avait aussi souvent de jeunes ados qui traînaient dans la rue à proximité. Ils proposaient leurs services : vendre des babioles, cirer les chaussures, tailler une pipe dans un couloir, voire revenir à l’hôtel pour se faire sauter. J’avais des collègues qui préféraient ça aux filles. L’un m’avait confié « j’adore leurs petits culs serrés qui m’essorent la bite ». Moi internet casino je préférais les filles surtout que toutes donnaient aussi leur cul sans problèmes. Il y en a souvent qui préféraient la sodomie pour la contraception. Dans l’équipe il y avait un copain ancien légionnaire qui avait beaucoup roulé sa bosse sur tous les continents. C’était une tête brûlée qui parlait les langues locales et qui assurait notre sécurité de façon très fiable. Il se renseignait et n’hésitait pas à nous dire « Cette fille là, laisse tomber elle n’est pas saine ». Un jour il nous dit « Je connais un bar fréquenté par les militaires d’ici. C’est sûr et il y a plein de filles ». On y est allé le soir même. C’était un Hôtel Bar Restau en ville dans une maison en bois typique du coin. On a mangé, bu, joué aux cartes et déconné. Les filles très sexy avec des décolletés invraisemblables nous servaient à table en nous caressant les épaules et le cou. Elles restaient plantées à côté de nous quand on jouait aux cartes en regardant l’argent des mises posées sur le tapis. Nous on laissait traîner nos mains sur leurs fesses et parfois sous leur robe. Aucune ne portait de culotte. En leur laissant un billet elles se tournaient face à nous pour qu’on leur caresse la chatte. Et si le billet était suffisant elle remontait leur robe pour s’exhiber devant toute la tablée qui râlait car la partie de cartes était perturbée. Le patron du bar surveillait de loin et espérait qu’on monterait baiser dans les chambres. Ce qui arrivait canlı poker oyna souvent vu les allées venues des autres clients du bar dans l’escalier.Au bout du comptoir il y avait une jeune fille discrète et belle qui ne draguait pas ouvertement mais elle m’avait jeté des regards qui invitaient. Elle avait plus l’air d’une étudiante. Sa robe était élégante et son attitude échappait à la vulgarité ambiante. Quand j’ai commandé un café c’est elle qui me porté. Elle l’a posé devant moi et en me regardant avec un sourire m’a dit doucement « A votre service senior ». Elle avait un beau visage et des yeux magnifiques. J’ai eu envie d’elle. Après le café on a arrêté de jouer aux cartes. Mes copains sont montés avec des filles et je suis allé lui parler au bout du bar. Elle s’appelait Pétula, était douce, intelligente, gracieuse. Elle me faisait bander. Je lui ai demandé si elle voulait passer un moment avec moi. Elle me prit par le cou et me dit tendrement « Tu es beau et j’ai envie de toi. Mais je ne monte pas ici, les filles ne l’accepteraient pas car je suis transsexuel. Si tu as toujours envie on peut aller à ta chambre ». Son aveu m’a excité encore plus et on est partis tous les deux sans attendre mes potes bien occupés à l’étage. En marchant on a parlé d’elle. Elle était étudiante et était serveuse dans ce bar pour gagner sa vie. Elle m’a dit qu’elle aimait les hommes depuis toujours et n’avait jamais fait l’amour à une femme. Elle m’a dit aussi sans fausse pudeur qu’elle aimait poker oyna être passive mais qu’elle bandait bien. En route on s’est tendu une main et on est arrivé à ma chambre en marchant comme des amoureux. On a pris une douche ensemble et j’ai aimé sa bite bien droite, décalottée, et qui durcit dans ma main pendant qu’elle me frottait le dos. On s’est mis nus sur le lit. Le ventilateur nous rafraîchissait. Nous nous sommes aimés avec douceur. On s’est sucés mutuellement. Elle avait de petits seins car elle prenait un peu d’hormone. Ils étaient sensibles et je l’ai caressée longuement. Puis je suis venu sur elle. Elle a écarté ses cuisses en les relevant et a guidé ma bite contre son anus. Je l’ai pénétrée et ce fût doux et chaud. Elle m’a tenu par les hanches et je l’ai baisée au rythme qu’elle m’indiquait. Son cul était serré et la sensation nouvelle. Sa bite bandée et dure montrait qu’elle aimait se faire enculer. J’ai joui quand elle m’a touché les tétons avec ses ongles. Je suis resté en elle un moment en lui suçant les seins. J’étais bien et elle aussi.Quand je fus allongé à ses côtes elle m’a embrassé. Sa langue s’enroulait autour de la mienne puis elle approcha sa bouche de mon oreille et la titilla avec la pointe de sa langue. Je l’entendis dire « si tu as envie je peux te baiser maintenant, moi j’en ai très envie ». J’étais vierge de ce côté-là mais elle fit ça avec talent et j’ai eu un grand plaisir mental à la sentir éjaculer en moi après qu’elle eut limé longtemps mon anus dilaté et sensible. Je lui ai demandé de repartir dans la nuit pour que mes collègues ne sachent rien. Mais le lendemain je suis retourné à son bar et elle m’a emmené dans sa chambre d’étudiante. On s’est écrit pendant quelques années avant de se perdre de vue.