Le pasteur se fait maquereau

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

Le Pasteur se fait maquereau

Pastor’s a Pimp

Coulybaca / Black Demon

Cette histoire se suffit en elle-même,

cependant elle est aussi la suite logique de

Violée et subjuguée en vacances

(Victim’s Violated Vacation)

Alors que Le Pasteur Richard Knowlton assis dans son bureau préparait son sermon pour le dimanche à venir, il jeta un oeil au travers du chemin dans la cuisine où sa ravissante femme, Nell préparait le repas.

Elle paraissait si belle, si naïve, si pure si innocente, à sa vue Rich (comme il aimait qu’on l’appelle) se reporta quelques semaines plus tôt alors que Nell et son fils embarquaient avec ses parents sur le petit yacht.

Il était prévu que Richard prenne l’avion pour les rejoindre sur l’une de leurs escales dans les îles.

Leur faisant de grands signes il avait pris des photos de leur départ, le soir même assis devant son ordinateur Rich avait transféré les photos et les avaient imprimées.

Puis il regarda mieux le cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l’arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.

Sur le dernier cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l’arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.

Dès qu’il les eut rejoint, Rich apprit que ses rêves les plus salaces et ses fantasmes les plus lubriques concernant sa ravissante femme s’étaient réalisés.

Alors que femme et enfant nageaient à proximité, ses parents faisant la sieste sur le pont supérieur, Rich avait fouillé le sac à main de Nell à la recherche de son journal intime, et y avait trouvé la terrifiante relation de l’asservissement auquel elle avait du se plier jour après jour.

Nell y avait consigné les moindres détails de son viol sur le pont supérieur dans l’obscurité de la nuit, puis les progrès de sa soumission aux désirs du pervers matelot.

La bite palpitant dans son short, Rich lut cette dégradante relation de l’épreuve subie par sa femme.

-“C’est ABOMINABLE : Il a fait ce qu’il voulait de mon corps ….. Il a juté dans mon ventre …… Que vais-je faire? …….Je ne peux pas prendre une douche vaginale ……Je ne dispose d’aucune poire …..” écrivait-elle relatant les détails de ce qu’elle avait subi., et plus loin :

-“Il me fit agenouiller entre ses cuisses, pressant son gland contre mes lèvres, me maintenant la tête en place doigts rivés dans ma chevelure…… Comme c’était humiliant …. Il me baisait en bouche …… Mon Dieu c’était horrible ….. Comment des hommes peuvent-ils dégrader des femmes au point de leur imposer ces caresses lubriques …..”

Et cela reprenait de plus belle :

-“Et vers la fin …… Il me tira la tête en arrière …… Et commença à retirer sa bite de ma bouche! ….Je pensais qu’il allait se retirer entièrement de ma bouche ….. Mais il arrêta laissant le gland entre mes lèvres …. Puis il gicla à gros bouillon dans ma bouche …. Sa semence était si grasse qu’elle ne pouvait suinter de ma bouche …… Il n’y avait aucune voie de sortie ….. J’étouffais, je devais soi avaler le torrent poisseux, soi m’asphyxier …… Son éjaculation était si forte ….. Si copieuse ……. Si ignoble ….. C’était à la fois ignoble et méprisable …….”.

Ils avaient abordé pour visiter l’île, se promenant main dans la main ils s’étaient séparés, Nell se dirigeant vers le bazar local tandis qu’il visitait le vieux monastère.

Puis Richard rejoignit sa femme au bazar où elle faisait ses courses, la cherchant dans les diverses échoppes.

Il la retrouva vite, les chevelures blondes n’étaient pas si courantes dans cette contrée, d’autant plus qu’à part quelques individus de type caucasien, tous les autres avaient des cheveux noirs d’ébène.

Une tête blonde à quelques pas retint son attention, Richard s’approcha d’elle silencieusement, jetant un oeil sur sa légère tenue estivale, qui la mettait pleinement en valeur.

Il remarqua alors qu’elle discutait avec quelqu’un au fond de la salle, mais sa vue était gênée par les clients qui allaient et venaient.

Puis le noir pointa son doigt sur des garages, et Richard vit sa femme le suivre docilement le colosse noir qui ouvrait le chemin. Ils disparurent tous deux derrière les garages.

Contournant discrètement le coin des bâtiments, il vit sa femme et le noir disparaître dans les fourrés, il se rua alors sur leurs pas pour ne pas la perdre de vue.

Il jetait des coups d’œils frénétiques, ayant perdu de vue sa femme et le noir, il progressait rapidement dans l’étroite allée taillée dans les broussailles.

Enfin il parvint à les rejoindre, elle était allongée sur le dos, cuisses grandes écartées, un musculeux noir avait enfoui son visage entre ses cuisses frémissantes de Nell, introduisant tout de go la pointe de sa langue entre ses babines juteuses.

-Elle plongea ses doigts dans sa chevelure crépue, il lui semblait qu’elle s’arquait sur les talons pour amplifier bursa escort le contact de sa foufoune avec la langue de son amant.

-“Ouiiiii….Oh ouiiiiiii …. Bouffe moi la chatte Badai ……Bouffe …. moiiiiiiii …… Je t’en priiiieeeeeee ….” gémissait-elle sourdement.

Et tout en se tortillant convulsivement sur le sol, elle reprit :

-“Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!……….Ouiiiiiiii …….”

Richard vit soudain son corps s’amollir alors qu’un orgasme d’une extrême intensité lui fracassait l’esprit.

Badai lui releva alors les jambes les plaçant sur ses épaules, puis il s’enfonça lentement dans sa fente détrempée.

Richard vit avec surprise le corps de sa femme réagir immédiatement alors que Badai s’enfouissait profondément dans sa cramouille, elle agrippa son torse des mains et des chevilles.

Richard entendait le joyeux luron haleter tandis qu’il allait et venait dans le sexe marécageux de sa femme.

-“Oshlurk ……. shlurk ……. shlurk …… shlurk!……”. Ces sons émanaient de leur étroite union.

Ils baisaient comme des bêtes en rut, avec une énorme stupéfaction il entendit son innocente femme réclamer :

-“Baise moi …..Fourre moi ta grosse bite dans la chatte ….T’es un vrai mulet noir …..Bordel baise moi plus fort ……”

Il la baisa encore pendant vingt bonnes minutes, ils jouirent tous deux simultanément s’étreignant passionnément.

Puis le corps de sa femme s’amollit à nouveau Richard regarda fixement la gosse bite que Badai extirpait lentement de sa cramouille marécageuse.

Badai fouilla alors dans sa poche, et en sortit un sifflet et souffler dedans à plusieurs reprises pour fêter son triomphe.

Des indigènes surgirent alors des fourrés, venant de toutes les directions, ils entourèrent Badai et sa conquête.

Mentalement Richard compta les indigènes qui avaient répondu à cet appel, ils étaient quatorze, ils déshabillèrent tous prestement.

Il n’entendit qu’un cri de douleur lorsqu’elle subit sa première sodomie.

-“Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!….”

Il fut évident pour Richard que Nell se réjouissait d’être devenue une Pouffe Pour Bites Noires, lorsqu’il la vit satisfaire cinq hommes en même temps.

Elle s’était accroupie sur un homme qui la baisait en chatte, un second s’était glissé dans son cul, un troisième dans sa bouche et elle branlait allégrement les deux derniers.

Dix minutes plus tard, elle était rhabillée et elle repartait, Richard décida de regagner le grand bazar.

La voyant fraîche et pimpante, il la héla agitant la main. S’en approchant Richard remarqua :

-“J’ai fait une longue visite au pasteur de cette paroisse, chérie, on a longtemps discuté, échangeant nos impressions sur nos différentes communautés. … Et toi qu’as tu fait? ……”

S’exprimant calmement, posément, elle lui expliqua qu’elle s’était reposée, flânant au gré de sa rêverie.

Il se demandait comment sa jeune femme si innocente, si naïve pouvait agir si normalement après ce qu’il avait vu.

Deux semaines plus tard, ils avaient regagné leurs pentes depuis quelques jours lorsque le téléphone sonna chez les Knolton.

La coïncidence voulut que Richard se saisit du combiné dans son bureau alors que Nell décrochait dans la cuisine.

Il entendit Nell dire :

-“Bonjour …”

Richard allait reposer le combiné lorsqu’il entendit une voix male inconnue, qui l’intrigua.

-“Madame Knolton? …”

-“Oui … Je …”

-“Mama Wanda m’a donné votre nom et votre numéro de téléphone …… Si j’ai bien compris t’es une PPBN, une Pouffe Pour Bites Noires … Est ce bien vrai? ….”

-“Oui je …”

-“Alors ma chérie quand et où veux tu te faire sauter? …..”

– “Samedi soir … Chez moi ….Mon mari assiste à une rencontre de bowling avec l’équipe de la paroisse et mon fils dort chez des amis …..”

Richard comprit qu’il devait trouver un remplaçant pour vendredi soir, puis il se prépara une cache d’où il pourrait assister aux exploits luxurieux de sa femme.

Depuis qu’elle avait reçu cet appel téléphonique, le cœur de Nell battait la chamade alors qu’elle se demandait ce qui l’avait poussée à répondre oui aux questions de cet homme, invitant pratiquement ce noir à venir la rejoindre chez elle alors que Richard et son fils seraient absents.

Serrant les babines de sa fentine et ses cuisses, elle sentit sa bouche s’assécher alors qu’elle tremblait nerveusement.

-“Mon Dieu qu’ai je fait!……. Un noir …. Un parfait étranger!…… Il va venir vendredi soir …… Pour me faire l’amour … Ou plutôt pour me baiser avec sa grosse bite noire!…..” frissonnait-elle éperdue.

Se mordant les lèvres au sang, elle cligna des yeux à la vue du grand lit conjugal sur recouvert d’un jeté de lit ivoire.

Elle avala sa salive en se représentant allongée sur le lit … Nue, un musculeux noir dans la même tenue étendu sur elle l’embrochant de sa grosse mentule frémissante.

A cette évocation, elle görükle escort serra encore plus ses cuisses l’une contre l’autre un flot de cyprine inondant sa foufoune venant poisser le fond de sa petite culotte.

Elle frémit en s’imaginant le grand noir baraqué se penchant sur elle pour l’embrocher la martelant de puissants coups de boutoirs, le fond de sa petite culotte fut soudain trempé.

Rich sourit en la voyant préparer une jolie robe rose qu’elle voulait porter ce soir sur une paire de collants blancs et des hauts talons.

-“C’est ce soir que tu as réunion avec la bande d’auxiliaires féminines?…….. Est-ce votre réunion habituelle ou une session extraordinaire ce soir pour dire du mal de vos voisines?……” la taquina-t-il sachant très bien que cette réunion de travail était programmée de longue date sur l’agenda de sa femme.

-“O Rich … Tu sais très bien qu’il s’agit juste d’une réunion de travail et que pas une des participantes ne se permettrait de commérer sur ses voisines!….”. Il éclata de rire en entendant sa réponse indignée.

Sur ces mots elle se dirigea vers la commode où elle rangeait ses sous-vêtements les sortant avant de prendre sa douche, Rich lui donna un gentil bisou d’adieu et l’avertit :

-“Je rentrerai très tard ce soir ……. Ne m’attends pas pour te coucher!…. On doit boire une paire de bière à l’issue de notre réunion pour discuter entre hommes … Il faut que je participa de temps à autre aux libations de mes ouailles pour ne pas les vexer!……”

Il lui signifiait ainsi discrètement qu’elle avait tout son temps pour se consacrer à son invité de ce soir.

Alors qu’elle entrait sous sa douche, Rich se ruait dans son garage pour sortir en trombe et garer sa voiture quelques blocs plus loin enfilant une chemise moins voyante en sortant de son véhicule.

Quelques minutes plus tard, ayant garé sa voiture à quelques blocs de sa maison, Rich se trouvait dans son jardin vérifiant que sa femme se trouvait toujours sous la douche.

Entendant l’eau couler, il put pénétrer discrètement chez lui et se glisser à son insu dans les toilettes de la chambre conjugale.

Une fois confortablement installé dans ce petit espace qu’il s’était préparé pour son usage personnel, il jeta un oeil par les fentes de la porte et sourit largement en voyant qu’il avait une très bonne vue sur leur lit.

Lorsque Nell apparut dans la chambre et s’assit sur le lit, Rich l’observa attentivement tandis qu’elle enfilait précautionneusement ses collants.

-“Non chérie ne mets pas de collants!….. Ton invité sera bien plus captivé par la vue de tes longues jambes nues!…..” aurait-il aimé crier à sa femme.

On aurait dit qu’elle venait de lire ses pensées, elle retira le sous-vêtement disgracieux et le jeta sur le lit.

Uniquement vêtue d’une croquignolette petite culotte et d’un soutien-gorge en dentelle elle enfila sa robe rose et les hauts talons qu’elle avait préparé avant le départ de Rich.

A 19 heures pétantes la sonnette tinta et Rich vit sa femme énervée, anxieuse, se ruer hors de la chambre.

En peine confusion, il attendait de voir qui venait d’arriver désolé de ne pas assister à ce qui se passait dans le salon puis il entendit des bribes de conversation entre sa femme et son client, il s’agissait d’un visiteur du genre masculin à ouïr sa profonde voix virile.

Il se refusait à quitter son abri de peur d’être découvert ce qui mettrait aux louches activités de sa femme, et plus spécialement aux ébats auxquels il se réjouissait déjà d’assister dans leur lit conjugal.

Un long quart d’heure plus tard, il entendit des bruits de pas résonner dans le vestibule, le couple se dirigeait vers la chambre, Rich sentit sa bite se mettre au garde à vous dans son caleçon.

Puis Nell apparut un verre de son vin favori dans une main alors qu’elle guidait son invité de l’autre.

-“Bordel, même avec les scènes auxquelles j’ai déjà assisté pendant les vacances, je n’aurai jamais pensé qu’elle puisse trahir ses vœux conjugaux dans notre lit!……” pensait-il regardant avidement ce qui se passait.

C’est alors que Nell posa son verre sur la table de nuit et prit celui de son invité pour faire de même, il la vit alors rouler un patin passionné à son client.

-“Par l’enfer madame Knolton t’es drôlement chaude pour une femme de pasteur!…… Une sainte pute!…… Par Jésus Christ t’es une vraie salope!……” s’exclamait le grand noir que Nell avait introduit dans leur chambre conjugale.

Rich avala sa salive, incapable de contrôler sa respiration alors qu’il épiait ce qui se passait dans la chambre par les fentes de la porte des toilettes, son excitation monta encore en l’entendant rugie :

-“Bordel ma chérie … C’est bien la première fois qu’une femme de pasteur me roule un patin!……”

Puis il vit le musculeux noir la pousser à s’agenouiller sur la moquette alors qu’il prenait place sur le sofa ôtant sa chemise, ils étaient à deux mètres de la porte des toilettes.

Rich se pencha en avant bursa escort bayan pour mieux voir ce qui se tramait sous ses yeux, sa ravissante femme tendait les mains vers la braguette de son invité.

Les yeux écarquillés comme des soucoupes, incapable de co,ntrôler son souffle, il voyait sa ravissante femme bramer son invité de ses doigts finement manucurés.

Quelle contraste entre son apparente innocence, et ses actes, elle le branlait maintenant vigoureusement à quelques centimètres de son visage.

Lorsqu’elle pointa sa langue titillant avidement son méat le musculeux noir grogna de plaisir et la félicita :

-“Je n’aurais cru que ça puisse exister ….. Une ravissante femme de pasteur qui branle un homme comme une vraie pro!……”

Rich serra les mâchoires en voyant sa somptueuse femme se pencher sur le bas-ventre de son client pour emboucher le plus profondément possible sa bite démesurée, le noir lui saisit la nuque tout en mugissant.

-“Oh ouiiiiiiiiiiiiiii ……. Comme ça ma petite chérie …….. Suce moi bien ……. Prends là en entier dans ta bouche!…… Billy Ray va bientôt te donner une communion bien spéciale!….. Une dont tu n’as jamais profité à l’église!…..”

Il vit alors Nell déplacer sa main de la taille de son amant vers les centre de son entrecuisse il redoublait de grognements de plaisir commentant :

-“C’est ça ma chérie ….. Continue comme ça ….. Tes mains sont si douces!……. Bordel triture mes couilles!…… J’adore ça!……”

Relevant et baissant la tête sur un rythme soutenu, la ravissante madame Nell Knolton lui taillait une pipe de toute première qualité.

Son amant qu’elle venait de rencontrer quelques 20 minutes plus tôt, pourrait en attester, il agrippait sa longue chevelure blonde pour profiter à son aise des caresses de sa bouche.

Son mari était fortement impressionné à la vue de l’enthousiasme qu’elle déployait pour satisfaire les appétits lubriques de son client, d’autant plus qu’elle n’avait jamais déployé de tels talents avec lui.

Billy Ray posa ses lunettes sur la table de chevet avant de se pencher sur elle, il tendit son ventre enfouissant la totalité de sa bite dans la gorge de Nell, Rich était sur le point d’exploser comme cet homme que suçait si avidement sa femme.

-“Ohhhhhhh ….. Ohhhhhhhhhhh ……. C’est le moment de communier madame Knolton ….. Oh ma chérie ….. Bouffe mon foutre …… Avale tout!…… Oh Doux Jésus t’es vraiment la reine des suceuses ma chérie!….. Oh oui ….. Jamais tu ne communieras aussi bien avec du vin qu’avec le foutre de Billy Ray, aucune chance!……”

Effaré Rich vit sa ravissante femme continuer à sucer la bite de Billy Ray lui extirpant sa semence jusqu’à la moindre goutte, il finit par la tirer en arrière extirpant sa bite mollissante de ses lèvres gonflées.

Elle le regardait dans les yeux lorsqu’il se pencha sur elle lui roulant une pelle enfiévrée.

-“Hummmm … j’ai toujours désiré embrasser une femme de pasteur …… Et si possible une ravissante femme de pasteur les lèvres engluées de mon foutre!….. ” tonna-t-il ravi.

A son grand désarroi il entendit alors son innocente femme répliquer :

-“Eh maintenant que ton souhait d’embrasser une femme de pasteur les lèvres enrobées de ton épaisse crème est exaucé, as tu envie de déshabiller une femme de pasteur?….. de foutre à poil une femme de pasteur?….. De la dénuder pour la posséder dans son lit!…… De la baiser à couilles rabattues!…..”

Nell se retourna alors lui tournant le dos, qui tendit la main pour saisir le curseur de la fermeture éclair de sa robe.

Zipppppppppppppppppppppp! de tout évidence il venait de descendre la fermeture éclair.

Il dégagea ses épaules et laissa choir la robe au sol, sa poitrine ferme fut bientôt dénudée, son soutien-gorge rejoignant sa robe au sol. Il malaxait maintenant ses nichons d’une main impatiente, titillant du pouce et de l’index ses mamelons raidis.

Il lui embrassait le lobe de l’oreille tout en pétrissant ses nibards, il lui demanda :

-“Que doit faire Billy Ray pour donner du plaisir à la femme du pasteur?…..”

Et tremblante elle répliqua d’une voix sourde :

-“Il faudrait lui bouffer le gazon Billy Ray …… elle adore se faire brouter le minou par un habile lécheur!…..”

Une fois sa femme transportée sur le lit, assise sur le rebord du lit, jambes pendantes, l’homme lui enleva sa petite culotte la faisant rouler le long de ses cuisses, de ses mollets avant de lui faire franchir la barrière de ses chevilles.

Puis le géant noir s’agenouilla sur la carpette se retrouvant juste à bonne hauteur, le nez enfoui dans sa toison dorée.

Nell agrippait de ses petites mains manucurées les épaules de son amant, Rich la voyait s’arquer sur les talons pour mieux offrir sa féminité à la langue gourmande de son invité alors qu’elle crispait les doigts dans sa chevelure crépue.

-“Oh oui ….. Ouiiiiiiiiiiii …. Bouffe moi le gazon Billy Ray ….. Encore …….. Oh ouuiiiiiiiiiiii …… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh …..” se mit à elle à hurler éperdue de bonheur, alors qu’on entendait les clapotis de l’habile langue visitant sa foufoune détrempée, il était évident que Billy ray prenait grand plaisir à brouter le gazon d’une ravissante femme de pasteur.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Le Chevalier Pervers 02

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bdsm

2

Je me relevais. Le choc m’avait secoué. L’autre combattant descendait de son cheval, à l’opposé. Il m’avait bousculé de la lance et j’avais durement atterri sur le dos. L’autre avait choisi l’épée et le bouclier. Je me levais lentement et marchait jusqu’à mon écuyer du jour, un vieux garde du nom de Gerbot. Il me tendit ma lame avec un air soucieux. Je revins vers mon adversaire. Il portait une tenue resplendissante, un bouclier rouge orné d’un lion d’or. Il chargea mon vieil écu cabossé de tout son poids. Je me dérobais à l’impact et abbattis mon arme à la volée sur la sienne. Sa lame se brisa avec un tintement froid. Il se tourna vers moi et je lui fis signe d’aller chercher son arme de rechange. Il choisit le fléau d’arme et chargea en faisant tournoyer la boule hérissée de pointes. Je n’avais pas peur. Le choc de la sphère secoua mon bras de bouclier. Je lui fauchais la jambe d’appui et l’envoyais embrasser la poussière. J’écartais le fléau du bout de la botte et me reculais. Le chevalier d’Erval se redressa, posa son écu et prit sa troisième arme, une hache à deux mains. Je pris la mienne. Et cette fois ci, je chargeais. La hache trouva la sienne et bascula sous l’impact pour que le pied gainé de fer frappe mon adversaire en plein dans sa visière. Celle-ci se tordit sous l’impact et du sang jaillit. Je me dressais en brandissant mon arme avec un cri de victoire.

Le chevalier d’Erval vint me voir le soir, alors que je buvais une coupe de vin. Il portait un linge sur son nez brisé dans notre opposition. Il voulait discuter rançon. Il me devait une forte somme, après sa défaite. bursa escort Il se demandait si un paiement en plusieurs fois s’envisageait. Je le regardais avec morgue et lui répondis que si sa charmante épouse venait me porter sa rançon et restait avec moi pour la compter, je ne m’apercevrais pas qu’il en manquait la moitié. Il se leva sans répondre.

Des coups discrets retentirent dans ma porte. J’ouvris. Sous un chapeau pointu de faible hauteur elle ouvrait de grands yeux noirs qui contrastaient avec ses cheveux clairs. Je m’effaçais pour la laisser entrer.

-Bonsoir, dame Mervie. Dis-je.

Elle me répondit d’une voix presque inaudible. Je lui pris le sac d’or de la main et le posais sur la table.

-Vous ne comptez pas? S’étonna -t’elle.

Je haussais les épaules. Je lui enlevais son chapeau et tirait sur son épingle à cheveux. Une cascade au reflets dorés tomba sur ses épaules. Je tournais autour d’elle comme un loup. Je me léchais les lèvres en songeant au festin qui m’attendait. Elle gardait la tête inclinée et soupirait. Je délaçais sa robe. Le tissu bleu glissa, dévoilant une épaule pâle. Je fis descendre l’étoffe qui se roula sur la taille fine de la belle. Elle avait des seins hauts et pointus et un ventre plat, très à l’opposé de mon épouse, beaucoup plus ample. Je posais mes mains sur ses hanches et appuyais pour faire tomber sa robe. Elle avait des fesses rondes et une touffe noire fournie. Je lui glissais un doigt et à ma vive surprise sentis ses chairs intimes humides et chaudes. Je croisais son regard trouble. Je la basculais sur le lit et la görükle escort baisais sans fioriture. Elle hoquetait sous mes coups de reins. Je la remplissais, profondément buté en elle. Je me levais et lui servait une coupe de vin. Elle hésita avant de porter ses lèvres sur le gobelet de bois. Elle devait avoir l’habitude de contenants plus raffinés. Je lui présentais mon sexe devant son visage et elle fit une moue interrogative.

-Ouvrez la bouche, ordonnais-je.

Mon gland fut englouti par ses lèvres fines et elle eut un hoquet. Je commençais à user de sa bouche comme d’un con, alors que des hauts le coeur la secouait et qu’elle aurait enlevé mon sexe de sa bouche si je ne l’avais pas tenue par les cheveux. J’étais dur comme la pierre et je quittais la bouche de la femme de mon adversaire malheureux du jour. Je la redressais et la poussais vers la table. Elle écarta un peu les jambes, montrant sa fente humdie et écarlate. Elle émit un “ho” sonore lorsque je butais sur son cul. Je forçais mon chemin dans son tunnel secret, et elle gémit de douleur, avant de pousser un petit cri quand je tapais mon pubis contre ses reins. Je commençais mes ruades en une chevauchée de plus en plus sauvage, et la dévastait avec méthode, excité par ses cris aigus. Lorsqu’enfin je me vidais, elle cria une dernière fois. Je la regardais se rhabiller. Elle avait les traits marqués et des cernes sous les yeux. Je lui tendis un écu d’or. Elle le garda dans la main et me regarda avec incompréhension.

-Votre époux vous a transformé en catin vénale pour économiser son trésor. Il est normal bursa escort bayan que vous ayez une bonne gratification.

Elle regarda la pièce dans sa main.

-Si vous payez vos catins en or, vous n’êtes pas près de vivre dans un château.

-Enculer une dame de noble lignée vaut bien le sacrifice.

Elle sourit. Elle m’embrassa sur les lèvres, et partit retrouver son cocu avec l’entrejambe bien rincée.

Je me rendais au château pour une ennuyeuse garde au château quand une grosse carriole traversa le village de part en part. Le blason m’était familier.

-Que fait une voiture d’Erval si loin de leurs terres? Demandais je à un colporteur qui devait avoir l’information.

-C’est dame Melvie, elle a été convaincue d’adultère. Répondit le marchand. Elle part pour le couvent de Mentrelle. Le seigneur d’Erval à déjà une nouvelle épouse.

Je regardais s’éloigner la voiture emmenant la pauvresse que son mari chassait après l’avoir vendue pour une poignée d’or. Je fis le serment de le faire payer. Je ne savais ni quand, ni comment, mais cet honteux cocu m’en rendrait gorge. Et pas dans un tournoi.

Le château était en ébullition. Le roi appelait ses vassaux pour faire la guerre à l’anglais. Par la cascade des obligations seigneuriales, le comte d’Angerviller se trouvait dans l’obligation de fournir un contingent de braves à placer entre les lances anglaises et son trône. Évidemment, la vieille crapule n’avait pas la moindre envie de lâcher son or pour le roi. Je quittais les terres du comte en compagnie, à la tête,plutôt, d’un contingent de gardes plus ou moins décatis, dont mon fidèle Gerbot. Au moins, nous allions sous ma bannière, même si le comte, dans son inénarrable pingrerie avait simplement fait coudre un seule chauve-souris sur un fond jaune pisse. J’allais à pied, guidant mon cheval vers la première aventure de ce siècle.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

La nouvelle vie de Christine Ch. 22

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Big Tits

Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

7 mois après le début de la nouvelle carrière de Christine, je reçois un appel de Francis, son patron, me demandant de passer le voir. Je lui réponds affirmativement en pensant à tous les chèques qui tombent tous les mois grâce aux attributs de ma belle-mère. Donc, dans l’après-midi je me dirige vers son entreprise et à 14h00 je frappe à la porte de son bureau.

– Bonjour, heureux de vous voir. Asseyez-vous. Me dit-il en désignant un fauteuil en face de son bureau.

– Y’a-t-il un problème Francis? J’espère que Christine est toujours aussi performante et fait gagner beaucoup d’argent à l’entreprise. Demandé-je avec un grand sourire sur le visage.

Il rigole et me confirme qu’elle est toujours un atout pour l’entreprise :

– Christine travaille très bien. D’ailleurs elle est juste en train de régler une grosse affaire. Vous savez que les Russes sont très dures en affaire. C’est pourquoi je remercie Dieu d’avoir Christine pour faciliter les négociations difficiles.

– Y’a-t-il une chance que je la voie travailler? Je n’ai plus beaucoup l’opportunité de la faire.

Francis hoche la tête. Il ne peut nier que c’est grâce à moi que Christine est devenue une salope pour sa clientèle. Il tend la main vers la télécommande d’un grand téléviseur à led sur le mur. Il allume l’écran et le grand bureau de Christine apparaît ainsi que de grands cris bruyants de plaisir. Ma belle-mère se retrouve actuellement sur le canapé avec la grosse bite d’un homme assez grand dans sa chatte. Assis sur un tabouret, complètement nu, sa queue en érection, se trouve un homme un peu plus petit.

– Le plus grand, celui qui baise Christine est Artur. Et celui sur le tabouret se prénomme Vadim. Ce sont tous les deux des hommes très riches et très puissants en Russie. Et je crois qu’avec l’aide de votre belle-mère, nous allons conclure un partenariat très lucratif. Mais ce n’est pas pour cela que je vous ai fait venir.

Ces derniers mots détournent mon regard de ma soumise qui fait ce qu’elle sait faire le mieux en se faisant baiser. Je demande :

– D’accord. Que se passe-t-il?

– J’ai dû licencier Etienne JARSON. Cet imbécile s’est fait détester de tout son service. Il était trop arrogant et coléreux. Si bien qu’aujourd’hui nous risquons de perdre un bon contrat. Christine avait passé une journée à l’obtenir mais Etienne a complètement salopé le boulot. Nous n’allons pas pouvoir respecter les délais, car les ouvriers ne réussiront pas à les tenir.

– D’accord. Et en quoi cela me concerne-t-il Francis? Je ne comprends pas. Dis-je.

– Est-ce que je pourrais utiliser Christine pour motiver le personnel de ce service et les faire travailler pour qu’ils respectent les délais. Elle pourrait répondre à quelques besoins. Demande-t-il un peu désespéré.

– Quel avantage vais-je en retirer? Vous n’allez pas gagner plus d’argent. Comment vais-je être récompensé?

Je pose la question tout en regardant la télévision dans laquelle ma belle-mère se fait embrocher par la queue du petit Russe.

– Je pense que je pourrais calculer un pourcentage supplémentaire si les délais sont respectés. Déclare Francis.

– Je pense que deux pour cent supplémentaires sur ce que vous fait gagner Christine reste raisonnable. Dis-je tout regardant ma belle-mère avoir un orgasme.

– Marché conclu. Dit Francis avec satisfaction.

Je lui demande alors :

– Quand et comment allez-vous présenter au personnel cette proposition?

– Je pense le faire ce soir lors du changement de poste. Il y aura moins de personnel. Je leur expliquerai et je pense que Christine devrait leur faire une petite démonstration de ce qu’elle peut leur offrir. Il va y avoir des négociations mais je suis préparé.

– des négociations? Comment ça? Demandé-je.

– La date limite n’est pas avant Noël mais nous avons beaucoup de retard. Alors le personnel pourrait vouloir des séances d’incitation régulières si je veux qu’ils restent motivés pour les quatre ou cinq prochains mois. Répond Francis.

– D’accord. Donc pour chaque séance supplémentaire que devra accomplir ma belle-mère, je m’attends à une belle gratification dans l’enveloppe mensuelle.

Je souris alors que Francis hoche la tête en riant pour me signifier qu’il a compris.

– Une autre chose : J’aimerai rester là pour voir la réunion et les personnes dont Christine devra s’occuper. Y’a-t-il un endroit où je pourrai regarder ça tranquillement? Dis-je en pointant du doigt l’écran de télévision.

-Oui, vous pouvez utiliser le bureau de Daniel, il n’est pas là aujourd’hui. Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas loin. Je vais préparer un accord par écrit pour le personnel de l’entrepôt. Dit-il juste avant que je ne me prépare à sortir de son bureau.

Mais je m’arrête bursa escort à la porte, alors que j’ai une dernière doléance :

– Francis, Ne dites pas à Christine que je suis là jusqu’au moment où nous irons à la réunion.

– D’accord. Dit-il.

Je sors de son bureau et me dirige vers celui de Daniel pour finir de regarder ma belle-mère en action.

Je ne sais pas depuis combien de temps Christine était avec les deux russes avant que je n’arrive à 14 heures mais je la regardai jusqu’à 15 heures 15. Elle saisit la bite du plus grand pour la positionner à l’entrée de son cul puis elle s’assit complétement dessus. Elle se pencha en arrière sur la poitrine poilue de l’homme et, sans qu’on lui demande, elle écarta les jambes et demanda à l’autre russe de pénétrer sa chatte.

L’homme n’eut pas besoin qu’on lui dise deux fois. Il glissa facilement sa queue dans le sexe bien utilisé et bien lubrifié de ma belle-mère. Elle se trouva ainsi prise en sandwich entre les deux hommes. Vers 15 heures 15, son cul et sa chatte ayant remplis leur office, Christine est accroupie entre ses partenaires pour nettoyer leur bite. Le sperme coule de ses deux trous et tombe sur le sol.

Une fois que leurs sexes semblent bien nettoyer, les hommes parlent en russe et se rapproche de leurs vêtements. Comme Christine, je les regarde s’habiller puis se diriger vers la sortie. Ma belle-mère, sur ses jambes un peu flageolantes, se rapproche de la porte et dit ce qu’elle a l’habitude de dire aux clients de l’entreprise :

– Merci d’avoir utilisé ma bouche, ma chatte et mon cul avec vos grosses bites. Ça fait partie du service.

Elle reste droite près de la porte donnant l’impression que c’est normal pour elle au bout de sept mois.

Quand le dernier russe, Vadim, s’éloigne, il se retourne et dit en anglais avec un fort accent russe :

– Espèce de sale pute, grosse trainée.

Puis il s’en va, laissant ma belle-mère immobile près de la porte. Elle semble indifférente à ces propos. Elle est habituée maintenant à être utilisée et humiliée par des hommes puissants et riches. Elle a déjà entendu pire.

Je la regarde se nettoyer et prendre une douche, puis se revêtir d’une des nombreuses tenues que lui ont achetées les hommes de l’entreprise. Ce matin, elle avait quitté la maison en pantalon et chemisier. Là, elle enfile une petite culotte blanche en dentelle, ouverte à l’entrejambe, qui ne cache rien de ses petites lèvres encore gonflées. Ensuite, elle met des bas et les fixe au porte-jarretelles. Elle monte sur ses talons hauts. Le soutien-gorge qu’elle prend est en dentelle. Il est conçu pour laisser voir un peu de l’auréole sombre autour de ses mamelons. Elle arrange ses cheveux et son maquillage dans le miroir et la voilà redevenue une vraie salope à baiser.

Elle a ensuite quitté la pièce. Je cherche autour de moi une télécommande comme celle de Francis. Je la trouve sur un classeur dans le coin du bureau de Daniel. Je suis maintenant en mesure de faire défiler les différentes caméras installées par l’ami de Francis et ses deux employés. Je vois dans un bureau, Francis qui rigole avec les deux russes. Évidemment les prestations de Christine avaient été bien perçues.

J’ai finalement trouvé ma belle-mère dans la zone d’attente se situant près de l’ascenseur.

Elle est penchée sur un tabouret, se tenant sur les avant-bras, ses seins tombant, son cul face à l’ascenseur. J’aime ce qu’ils lui font faire. Je l’ai vu plusieurs fois dans cette position lorsque je me connecte aux caméras. Elle doit rester dans cette position jusqu’à ce qu’elle soit appelée par un des administrateurs ou gestionnaires, ou éventuellement par un client.

Environ une heure plus tard, l’ascenseur s’ouvre et Robert WILFRIED en sort suivi de Michel FAURE.

– Même après sept mois, on ne peut pas s’ennuyer d’une vue comme celle-là lorsqu’on arrive ici. Qu’en penses-tu Michel? Dit Robert WILFRIED en riant, son collègue se joignant à lui et disant en approchant de Christine.

– C’est impossible Robert

Il se place derrière ma belle-mère, et rentre trois doigts dans sa chatte par l’ouverture de la culotte.

– Tu sors de réunion avec des clients salope? Dit-il en la regardant et pistonnant sa chatte avec trois doigts

– Oui Monsieur FAURE, c’est ce que je viens de faire. Dit-elle, les dents serrées alors qu’il continue à la fourailler.

L’homme enlève sa main, la porte à son nez pour la sentir, puis tourne autour de Christine et la pousse vers sa bouche pour qu’elle la nettoie. Cela fait, il sourit, prend un des tétons pour le pincer avant de s’éloigner en riant et en disant :

– Continue de faire du bon boulot.

Une fois de plus, ma belle-mère est laissée ainsi, complètement exposée, montrée comme un trophée ou un objet de décoration. Elle attend, obéissante, d’être appelée ou de se laisser tripoter par celui qui voulait. J’ai entendu les deux hommes entrer dans leur bureau. Vingt minutes plus tard, j’entends Francis dans le couloir. Il görükle escort vient avec les deux russes Artur et Vadim pour montrer où attend Christine.

Je regarde la femme tandis que les voix approchent du bout du couloir. Quand elles arrivent, Christine regarde les hommes et leur sourit. Ils continuent d’avancer jusqu’à ce qu’ils soient debout à côté d’elle. Francis dit aux deux russes :

– Bien, Merci Artur et Vadim d’avoir conclu un contrat qui nous promet un partenariat très lucratif.

Il s’arrête de parler pour toucher le sein droit de Christine et pincer entre le pouce et l’index le téton afin de la faire gémir. Puis il ajoute en souriant :

– Et si à l’avenir, il y a quelque chose que nous pouvons faire pour vous, n’hésitez pas à nous appeler.

– Votre hospitalité a été des plus généreuses. Nous sommes contents de l’avoir découvert. Dit Artur en souriant à Christine.

Il tend la main vers la poitrine offerte et la caresse doucement avant de se diriger vers l’ascenseur, son associé à la remorque.

Une fois qu’ils sont partis, Francis s’approche de ma belle-mère avec un large sourire sur son visage. Aussitôt qu’il est à portée, il donne une grosse claque sur son cul.

– Aiiiieeee! Crie-t-elle en reculant après cette punition inattendue.

Il l’attrape par les cheveux et la force à se redresser. Les gros seins ballottent. Il se penche à son oreille et lui dit :

– Tu es une bonne pute Christine, une autre affaire dans le sac, merci à ta chatte.

Il la relâche pour qu’elle puisse reprendre sa position.

– Merci Monsieur MULLER. Dit-elle.

Comme ma belle-mère ne sait pas que je suis sur les lieux, il est bon pour moi de voir comment elle réagit et comment elle est traitée. Bien sûr, à la maison, je peux me connecter au système de caméras. Mais je ne peux pas m’asseoir toute la journée pour regarder même si j’aime bien.

Je regarde l’horloge et je commence à me lasser d’attendre. Plus rien ne se passe avec Christine alors qu’elle attend comme une pute.

A 17h00, je remarque que ma belle-mère commence à s’agiter et n’arrête pas de regarder l’horloge. Je me demande si elle est obligée de rester là tant qu’on ne lui dit pas le contraire. Çà serait logique. Donc je présume, qu’elle se demande pourquoi elle est encore là, abandonnée. Au bout de dix minutes, elle est encore plus agitée et ce n’est qu’après avoir entendu une porte s’ouvrir qu’elle reste immobile.

Un instant plus tard, on frappe à la porte du bureau où je me trouve et j’entends Francis dire :

– C’est l’heure.

– J’éteins la télévision et pose la télécommande. Puis j’accompagne Francis.

Avant d’arriver à la salle d’attente, il s’arrête devant un placard pour en sortir un long imperméable.

Quand nous arrivons dans la pièce où elle attend, le visage de Christine est perplexe et étonné de me voir avec un sourire ironique sur la face.

– Salope! Dis-je

– Maître! Répond-elle.

Puis elle ajoute :

– Que faites-vous ici?

Je pose un doigt sur mes lèvres et elle se tait.

– Peu importe pourquoi je suis ici salope, c’est mon affaire. En passant, bon travail avec les deux russes, le chèque devrait être intéressant. Dis-je.

Elle baisse les yeux, honteuse. Pourtant elle connaît très bien son rôle et elle sait que je le sais.

Francis l’aide à se redresser puis lui tend l’imperméable en disant :

– Mets cela. Nous avons une réunion à l’entrepôt.

Il l’aide à mettre les boutons et la ceinture. Il s’assure qu’elle soit bien couverte. Seuls ses talons hauts restent visibles. Pour quelqu’un qui ne sait pas qu’elle est en sous-vêtements dessous, elle paraît très bien habillée.

Je suis Francis et Christine dans l’ascenseur, puis dans des couloirs et à travers une multitude de portes. Comme Francis l’avait dit, l’entrepôt est presque désert à cette heure. Seuls restent quelques employés qui vont pointer pour sortir. L’équipe de nuit doit commencer à 18h00. Tout est calme.

Finalement nous arrivons à l’extrémité de l’entrepôt où se trouve un petit bureau entouré de palettes et cartons. S’y trouvent huit hommes en bleus de travail et gilets de protection. Nous avançons vers eux qui se mettent en demi-cercle. Ils se taisent à l’arrivée de leur patron.

– Bonjour Messieurs. Dit Francis avec Christine et moi derrière lui.

Je le laisse conduire la réunion, sachant le but alors que ma belle-mère ne le sait pas encore. Le patron continue :

– Vous savez que j’ai licencié Etienne. A cause de lui et de son arrogance, le moral semble être faible dans ce service et la productivité a anormalement chuté. Nous avons jusqu’à Noël pour remplir le dernier contrat mais nous sommes très en retard.

Les employés commencent à murmurer. J’ai l’impression qu’ils n’ont pas trop envie de se remuer pour faire le travail. Alors Francis lance la négociation :

– Voilà, pour résoudre ce retard et faire en sorte que la commande soit respectée, je souhaiterai que vous acceptiez de bursa escort bayan travailler 6 jours sur sept dans les prochains mois. Alors est-ce qu’un bonus pourrait vous persuader de m’aider?

Bien qu’il parle aux huit hommes, il regarde le plus âgé, qui semble être le chef d’équipe, pour obtenir une réponse.

– Eh bien Monsieur MULLER, Etienne a vraiment été désagréable et beaucoup d’entre nous se sont sentis rabaissés d’où le manque d’entrain au travail. Déclare le chef d’équipe.

Un murmure d’approbation des autres hommes se fait entendre. Francis dit alors :

– Bien sûr, vous serez financièrement récompensés pour les heures supplémentaires. Mais je peux peut-être vous proposer en plus une autre motivation. Par contre, il s’agit d’une chose spéciale qui demande une grande discrétion envers les autres employés de l’entreprise. Toute divulgation entraînera le licenciement immédiat de son auteur et la fin de cette récompense qui devrait vous plaire.

Je remarque que Christine semble mal à l’aise quand Francis parle d’incitation au travail. Je la connais assez bien pour savoir qu’elle a probablement deviné quelle serait la motivation.

Le chef d’équipe, en gilet vert, demande à ses collègues s’ils sont intéressés. Ceux-ci répondent que cela dépend de ce qui va être offert.

Je regarde le groupe d’hommes qui va profiter des charmes de ma belle-mère. Le chef d’équipe, assez mince, semble avoir entre quarante et cinquante ans. Les autres sont beaucoup plus jeunes, entre dix-huit et trente ans. Deux d’entre eux semblent peu soignés et fatigués. D’autres sont grands et forts comme des athlètes. Mais je constate qu’aucun d’entre eux ne portent d’alliance donc ne semblent pas mariés. Et je pense que la proposition de Francis ne rencontrera pas d’opposition chez des célibataires.

– Viens ici Christine! Dit Francis en montrant le sol devant lui.

Avec hésitation, elle se déplace pour se tenir debout devant son patron. Celui-ci lui demande de se retourner et de se mettre face aux hommes. Elle obéit et sent huit paires d’yeux se braquer sur elle. Il -est évident que ces employés la connaissaient et l’avaient déjà vue, mais sûrement dans son ancien poste, ce qui explique la confusion sur leurs visages.

Alors, pendant que Francis s’adresse à ces hommes, tout en restant derrière ma belle-mère, il défait la ceinture de l’imperméable puis les boutons en commençant d’en haut.

– Vous connaissez probablement tous Christine qui était la responsable des comptes…

Il enlève la ceinture et le premier bouton des six que comporte l’imperméable.

– Il y a sept mois, de nouvelles compétences ont été détectées chez elle. Depuis elle a un nouvel emploi au sein de notre société…

Je bouge légèrement pour voir deux autres boutons être défaits et l’apparition de son décolleté.

– Les compétences de Christine nous ont permis de gagner des contrats et conclure des offres de vente. Elle est équipée pour nous permettre d’atteindre les résultats escomptés en fin d’année.

L’imperméable s’ouvre sur les seins de ma belle-mère. Ses tétons apparaissent devant le regard des hommes. Instantanément, l’ambiance semble plus sereine.

Francis se penche et enlève les deux derniers boutons qui empêchent de dévoiler la chatte de Christine. Dès que l’imperméable est complètement ouvert, de grands sourires se répandent sur le visage de tous les hommes ainsi que des remarques chuchotées et des grognements. Le patron ôte l’imperméable des épaules de Christine et le jette sur une caisse à côté. Ensuite il tapote l’intérieur des cuisses de la femme qui fait glisser ses pieds pour écarter les jambes. Mais pas assez pour Francis qui tape un peu plus fort pour qu’elle écarte plus.

Ensuite, il se positionne à côté d’elle et recommence à parler aux hommes comme pour présenter Christine :

– Je pense que vous êtes tous d’accord pour dire que Christine est une belle chatte.

Il attend que ses employés répondent. Finalement, un des hommes, un des plus grands et des plus jeunes, brisent le silence gênant :

– Oui sur! Elle est splendide pour son âge. Et ce look lui va sûrement mieux que ses costumes tailleurs de marque.

Libérés, tous les autres commencent à s’exprimer. Certains choisissent de commenter ses seins. Mais tous sont d’accord avec leur jeune collègue pour dire qu’elle semble mieux dans ce rôle que dans son emploi précédent.

Francis sourit en comprenant que son plan fonctionne. Il déclare :

– Oui je suis d’accord. Les costumes qu’elle portait auparavant ne valent pas ceux qu’elle porte maintenant. Je vais vous expliquer comment va fonctionner l’incitation au travail. Pendant le 1er mois, je regarderai le taux de production à chaque fin de semaine et si je suis satisfait, Christine sera à l’entrepôt dès le lundi matin et y restera jusqu’à ce qu’elle ait donné à chacun de vous votre récompense hebdomadaire.

Le patron regarde tous ses employés qui sourient et continuent à regarder les seins et la chatte de ma belle-mère.

– Il reste trois mois pour finir ce contrat. Pour le premier mois, l’incitation au travail sera donnée par la bouche volontaire et très capable de Christine.

En parlant, Francis met ses doigts dans la bouche de ma belle-mère. Il lui ordonne ensuite :

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

La déchéance d’Hélène 02

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asa Akira

J’étais maintenant la chose de Vincent, il me conduisait dans son van vers une destination inconnue.

Je reconnaissais vite la destination, marquée par la présence des prostituées sur le bord de la route. C’était donc ça, il voulait me prostituer telle une catin de bas étage…je savais que je ne pourrais pas.

Il me posa sur le trottoir en m’ordonnant : « maintenant Stacy, tu te poses la devant les phares, et tu vends ton gros cul de putain » je repasse vers 4h du mat, t’as intérêt à ne pas rentrer bredouille… »

Il me laissa à peine répondre et remonta dans le van.

Je restai la comme une conne. Je savais que faire la pute était au-delà de mes forces. Je passais la soirée sur le trottoir, mais sans jamais répondre à la moindre sollicitation. Vincent allait hurler, mais tant pis, tout sauf ça.

Il passa me récupérer à l’heure.

« Passe-moi le fric Stacy »

« J’ai pas pu Vincent, s’il vous plait, pas ça… »

« Quoi, t’as rien foutu!! tu te fous de ma gueule? » il hurlait, je pleurais

« Pitié, ne fait pas ça, je vous sucerais si vous voulez, mais pas ça » je posais ma main sur ses cuisses pour tenter de le calmer.

« Tu feras ce que je te dis, un point c’est tout!!, bon, maintenant que je suis-là, je vais quand même te baiser, mais attend toi à une punition qui te fera passer le trottoir pour des vacances au club Med »

En disant cela, il baissa son pantalon sur ses chevilles et m’écarta les cuisses, tout en allongeant le siège passager. Il me pénétra ensuite sans ménagement, et entrepris de me bourrer la chatte.

Ce viol fut presque un moment rassurant pour moi, je m’attendais à servir de vide couille pour Vincent, alors j’étais en terrain connu, habillée comme une pute, en train de me faire sauter sur le siège passager d’une camionnette. Il me tripotait comme une poupée, et ne tarda pas à se vider dans ma chatte en poussant un gémissement de plaisir.

Il me ramena ensuite, sans dire un mot. Il me remonta quasiment de force dans l’appartement, visiblement sa colère froide ne passais pas. Il m’ordonna de me déshabiller, ce que je fis sans oser le défier une nouvelle fois. Il me dit : « ce soir tu dors à même le sol, et je ne veux pas t’entendre »

Il me réveilla tôt, me jeta au visage une jupe plissée à carreau et un bandeau en guise de cache sein, accompagnée de bas blanc avec des petits nœuds.

« Tu connais la musique, maintenant, et met la dose sur le maquillage, je t’emmène en rendez-vous”

Il me jeta bursa escort à l’arrière du van comme du bétail. Il me sorti de la, nous étions dans une cité glauque de la ville, il me traîna rapidement dans un immeuble, puis nous descendîmes au sous sol. On entra dans un cave, a peine éclairée par une ampoule au mur. Il y avait un matelas par terre, et des bassines.

Il me dit alors : « Ecoute bien petite pute, dans 30 minutes, les mecs de la cité et leurs potes aurons le droit de descendre ici. Ils sont prévenus qu’il y a un jolie vide couille dispo. Pour te punir d’avoir refusé l’honneur de faire la putain sur le trottoir pour moi, tu vas rester 3 jours ici, pour t’apprendre la discipline. T’aura le droit à 4 heures de sommeil. Le reste du temps, ton seul devoir sera de maintenir tes cuisses de pute bien ouverte »

Je ne répondis même pas, résignée…

30 minutes pile plus tard, mon premier violeur rentrait, un black titanesque, mais mal membré par rapport à sa taille. Il m’allongé sans aucune difficulté, et ne fit aucun effort pour me rendre cela agréable. Il me pénétra avec brutalité et commença instantanément son va et vient, et moins de 10 minutes après, se déversa les couilles dans ma chatte. Je me recroquevillais sur moi-même, mais il y avait déjà un autre male, je tentais inconsciemment de resserrer mes cuisses, mais face à la force de l’homme, je ne pouvais lutter longtemps, il profita de ma jeune chatte encore moins longtemps que le précédent, mais m’éjacula sur le visage.

Les hommes enchaînèrent à la queue le leu, pour mon plus grand supplice pendant une vingtaine d’heure. Je ne luttais plus, j’ouvrais ma bouche pour qu’on me baise la bouche, mes cuisses toujours écartées. De temps en temps, un des hommes me retournait pour m’enculer sauvagement.

Du foutre était rependu partout a l’intérieure et sur moi, mais après les 10 première heures de viol, je ne faisais même plus attention.

A 4 heures du mat, Vincent arriva. Je me précipitais, pleine de sperme, dans ses bras :

« Pitié, Vincent, sortez-moi de la, pardonnez-moi, je ferais tout ce que vous voulez, mais plus ça! je serais votre pute, je ferais le trottoir quand vous voulez, je vais mourir si vous me laissez la encore deux jour, pitié…”

Mais non, ne t’inquiète pas. Je suis juste venu là pour te laver et te nourrir, je ne transige jamais sur les châtiments”

“Pitié….”

Ferme la parce que sinon je te fille rien à bouffer »

Je dormais pendant les 3h30 görükle escort qui me restait. En fait, ce qui me réveillât, c’est une bite se frayant un passage dans ma gorge, je ne luttais pas, et il se vida avec plaisir dans ma bouche.

Les viols recommençaient, sur un rythme soutenu. J’avais longtemps perdu le compte, mais j’étais leur paillasson à bite. Parfois il me semblait reconnaître un homme de la veille, mais ils étaient tellement nombreux que je n’étais jamais vraiment sur. J’étais par ailleurs épuisé, et je m’endormais régulièrement, même pendant qu’un homme me pénétrait. Cela n’avait pas l’air de les gêner plus que cela.

Je ne sentais plus rien, juste mon corps qui vibrait au rythme des coups de reins des males divers et varié qui profitèrent de mes trous.

Quand Vincent revient pour me rincer de ma souillure, je ne dis rien, résignée, et prête, autant que possible à encaisser encore une journée complète de bite.

Ce fut mon anus qui me réveilla, quand un rebeu visiblement bien monté forçait ma rondelle. Cette journée passa plus vite, car je dormais pendant une part non négligeable de ma prestation.

Quand Vincent me récupéra, il me laissa dans mon foutre jusqu’à 8 heures du matin, se contentant d’une pipe rapide (un baisage de bouche serait plus exact).

« Bon tu vois t’as survécu, j’espère que maintenant tu seras une bonne pute bien servile, ou je devrais recommencer ce genre de chose, j’ajouterais juste des chiens la prochaine fois… »

Terrorisée, nous sortîmes pour retourner au van, je fus alors stupéfaite. Une sorte de haie d’honneur nous attendait, probablement les mecs qui m’avait passé dessus pendant ces quelques jours. Ils nous applaudirent à notre passage vers le van, me félicitant, me disant que j’avais été une pute à la hauteur, etc…

Je n’osais pas croiser leur regard, et une fois dans le van, je m’endormais instantanément, sachant déjà que j’accepterais les prochaines soumissions de mon maitre sans discuter à présent…

Je me réveillais dans un lit, chez Vincent. J’étais nue, mais je sentais encore clairement le sperme séché.

Vincent avait posé sur une chaise ma tenue, une courte robe blanche, avec des escarpins noirs. Je ne savais pas combien de temps j’avais dormi, mais j’avais très faim.

Je m’habillais, rapidement, et sortit de la chambre.

Vincent m’attendait, a table, il avait préparé le petit déjeuner…. Une délicate attention tellement j’avais faim.

« Tu peux t’assoir bursa escort bayan et manger Stacy »

« Merci » répondis-je, en me jetant sur le petit déjeuner. J’avais à peine fini quand il me demanda de venir vers lui. Il me fit assoir sur lui, face à lui.

« Tu sens encore tes exploits , ma petite putain à moi. » dis t-il , tout en malaxant mes gros seins.

« Tu vas aller prendre une douche, et ensuite t’aura le droit à une après-midi tranquille, car ce soir, tu vas te prostituer comme une gentille catin… »

Je séchait une larme, pendant qu’il avait fait glisser le haut de ma robe , découvrant mes seins, encore couvert de sperme séché, je sentais son membre grossir à travers le pantalon.

« Car tu sais que tu es ma pute, n’est-ce pas?, dis le moi »

« Je n’osais pas répondre, alors qu’il commençait a pétrir mes seins

« Alors »?

« Je suis votre pute » répondis-je timidement.

Bien, répond y t’il lourdement, ces mains commençaient à pétrir mon intimité, a peine reposée de l’avalanche de bite que j’avais subis…

Je me laissais faire, lutter ne servait à rien. Il me souleva, j’étais maintenant assise sur la table., il écarta mes cuisses, et se rapprochait, en continuant ses caresses. Il m’embrassa avec douceur ; je n’avais plus l’habitude, ma bouche ayant surtout servi à sucer des hommes en grande quantité ces derniers temps

Il se retira rapidement « Ouch, désolé mais ta bouche sens encore trop la bite pour ça… », il me retourna alors avec grande force, puis souleva ma nuisette, pour avoir accès à mes parties intimes. Il continua de ma caresser longuement, et franchement, j’avais un peu honte de ressentir ce plaisir. Cette honte passa, quand il présenta son gland à l’entrée de ma chatte, et poussa avec douceur.

Il savait y faire, me besognant pendant de longue minute dans cette position. Il alterna ensuite, m’allongé sur le dos, et recommença son travail. Malgré toute mes tentatives pour ne rien montré, je prenais beaucoup de plaisir à chaque coup de rein, Je jouis ensuite d’un orgasme extrêmement intense, et passablement honteux….

Vincent se retira ensuite, il n’avait pas joui, mais je le vis se branler frénétiquement, puis jouir sur un croissant….

Il quitta la salle. Je dévorais mon petit déjeuner tellement j’avais fin ; le croissant au sperme, c’est pas bon, mais se faire baiser comme une vraie femme, ça me changeait tellement de ces viols dans une cave que je n’allais pas faire la difficile.

Je pus ensuite prendre ENFIN une douche, pour me laver de tous ces hommes, puis je refis une sieste, épuisé par ma punition…

J’appréhendais le soir, Vincent aller me forcer à faire le trottoir ; l’idée me dévastait, mais l’idée de mon châtiment était encore pire…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Hypnose Mécanique 08

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Jonas : Jeune inventeur de dix-huit ans. Il a inventé une nouvelle pilule dix fois plus efficace que le petit médicament bleu qui aide à bander. Il a également inventé un petit appareil, qui met les gens en transe, comme sous hypnose, lui permettant de prendre le contrôle de leurs cerveau. Il va s’en servir pour se venger de sa famille, ainsi que d’autres personnes de son entourages. Tous l’ayant maltraité physiquement ou psychologiquement.

Hugues : Quarante-et-un an, le père de Jonas. Si lui même n’a jamais maltraité son fils, il n’a rien vu de ses tourments. Son fils l’aime, il le fera participer à sa vengeance. L’homme vient d’ouvrir un bar à pute, où travaille de nouvelles putes, contrôlée mentalement par l’invention de Jonas.

Martha : Jolie rousse de trente ans. La belle-mère de Jonas. L’une des principales instigatrice des souffrances du jeune hommes. Ce sera l’une de ses principale victime.

Léa : Superbe jeune femme de dix-neuf ans. Un vrai canon blond. La sœur de Jonas. C’était la pire de toutes avec lui. C’est la première victime de son frère.

Radiu : Maquereau roumain, âgé d’une cinquantaine d’années, indic des flics. Il est le nouveau patron de Martha et de Léa. Il va les faire prostituer dans son bar « La chatte sauvage ».

Siobanne : 23 ans, superbe métisse d’origine indienne d’Amérique et Suédoise. C’est la meilleure amie de Léa, ainsi que l’amour secret de Jonas. Son corps parfait, sa peau mat, ses superbes yeux verts émeraude, en font une des plus belles femmes du monde. D’ailleurs son titre de Miss Univers en a fait, pour l’année précédente, la plus parfaite humaine sur terre. Dorénavant, Jonas sort avec.

Lin : Jeune japonaise de vingt ans. Une vraie femme-enfant. Lesbienne, elle fait pourtant tourner la tête de beaucoup d’hommes, par sa beauté et son aspect si frêle.

Cindy et Laure : Deux jumelles de dix-huit ans, blonde, canons. Ce sont les préférées de Jonas, parmi les nouvelles putain de Radiu et son père.

Romina : Une superbe femme de quarante-trois ans. Blonde, mince, des formes pulpeuses. Physiquement, elle paraît vingt ans de moins. Elle est juste un peu moins belle que Siobanne. Elle tombera sous le joug de Jonas, qui la violera longuement.

Maja : Dix-huit ans. La fille de Romina. Châtain claire, la jeune fille a un corps parfait, avec les mensuration rêvée de toutes femmes, elle semble avoir été dessinée par la main de dieu. Elle sera elle aussi longuement violée par Jonas. C’est un vrai canon, la seule fille que Jonas connaisse qui puisse soutenir la comparaison avec Siobanne, mais dans un style différent. Si on devait départager leurs beauté, Siobanne gagnerait une fois de plus, mais d’un cheveu.

Aurélie Dumont. Châtain, très belle et sexy.Vingt-cinq ans, professeur dans la même université que Jonas. Ils enseignent la même matière. Elle était la star des profs avant l’avènement de Jonas. Depuis elle lui vous une haine farouche qu’il le lui rend bien.

Simone. Cinquante-six ans. Une superbe brune qui ne fait pas plus que quarante ans. Un corps de jeune fille. Bien malgré elle, il dégage de sa personne un vrai appel au sexe. Jonas l’a rencontré dans un supermarché, il décide de jouer un peu avec elle.

Je suis chez Paolo un réalisateur de porno célèbre. Ma sœur, Léa vient de se faire baiser et sodomiser par deux chiens. Elle à eut un orgasme à chaque éjaculation mais n’a pas aimer du tout.

Je viens de proposer à Paolo un gang bang canin, mais pas avec ma sœur.

– Qui sera l’actrice si ce n’est pas ta sœur?

– Ma belle-mère et Lin, une jeune chinoise que ma copine déteste. Je vois le truc comme une battle de baise canine, où chacune des deux femmes jouira tout du long. Celle qui demandera grâce la première perdra.

– Putain c’est une idée géniale, par contre il faudra beaucoup de chiens, il va me falloir quelques semaines pour organiser ça.

– Pas de soucis, tu as tout ton temps, fais d’abord le film avec Léa, puis organise-toi. Je ne suis pas pressé.

– Je préfère faire les deux en même temps, cela peut être sympa.

– Pourquoi pas, c’est toi le spécialiste.

– Bien je t’appelles dés que c’est bon. J’espère juste que tes actrices apprécieront vraiment, qu’elle ne simuleront pas.

– Je te garantis que non.

– Ce sera une première, vraiment.

– Tant mieux. Quand tu as finis avec ma sœur, renvoi la moi, mais fais la rentrer à pieds, elle se démerdera.

– Comme tu veux.

– Tiens.

J’ai donné une robe à Paolo.

– C’est quoi?

– Ma sœurette doit porter ça pour rentrer.

– Mais cela va être vraiment court et moulant.

– Oui, comme ça elle trouvera peut-être des clients sur la route.

Je suis partie laissant Léa avec Paolo. J’ai hésité à aller chez Romina, mais je n’aurais pas le temps, j’ai un cours à donner. Je vous en ai parlé dans le début de l’histoire, j’ai une chaire dans une université de la ville. Si j’étais étudiant dans l’autre, c’est juste pour Siobanne. Trois après-midi par semaine, je donne des cours, trois heures par journée. Si au début bursa escort mes cours n’étais suivit que par une cinquantaine d’élèves, maintenant ma salle est pleine. Tous veulent voir le monstre qui tombent autant de fille, la gnome qui est en couple avec une ancienne Miss Univers. Bien entendu, je suis un pro, mes cours sont parfait, travaillé. L’université à une particularité, c’est qu’elle donne sa chance à beaucoup de jeunes professeurs. Lui donnant la réputation d’être avant-gardiste. En fait tout est recherché, ils recrutent seulement les meilleurs jeunes profs, les plus prometteur, qu’ils trouvent à travers le pays. Ou des jeunes comme moi qui sont bardés de diplômes de haute voltige. Ces sont eux qui sont venu me chercher.

A l’époque je me suis empressé d’accepter cet emploi tombé du ciel, avec mon physique jamais je n’aurais cru être un jour prof d’université. Sans parler de mon jeune âge. Aussi ces neufs heures du cours par semaine furent pour moi un véritable cadeau. Au début j’ai laissé indifférent les autres profs, tandis que je fantasmais sur une quinzaine de jeune et jolies professeur. Aujourd’hui je suis une star, et je suscite la jalousie de beaucoup de mes collègues. Bizarrement ce sont surtout les femmes qui sont jalouse de moi, les hommes eux, admirent mes talents de Don Juan. Si je me suis promis de me faire toutes les profs sur qui j’ai fantasmé, il y en a une à qui je voue une haine farouche. Aurélie Dumont. Jeune, elle a vingt cinq ans, splendide, un superbe corps. Depuis le début je l’ai dégoûtée, elle me parlait mal, m’humiliait dés qu’elle le pouvait. Mais cela c’est dégradé encore plus depuis que je l’ai supplantée. En effet, c’est elle qui étais l’ancienne prof star de l’université. On se battait pour assister à ses cours, la liste d’attente était énorme, des élèves suivaient ses cours assis sur les marches. Maintenant son amphi n’est plus qu’a moitié vide, et encore, les jours de grande affluence, sinon la moyenne est d’un tiers de remplissage. A son grand désespoir.

Depuis deux mois, j’ai entamé ma vengeance, j’interdis à tout élèves suivant ses cours de suivre les miens. Lui vidant donc peu à peu son amphi. Mais cela fait deux semaines que je n’ai pus me renseigner sur le nombres de ses élèves. Aussi je suis surpris quand après mes cours, préparant le prochain tranquillement dans mon bureau, ma porte s’ouvre brutalement. Aurélie telle une furie y pénètre dedans. Je la trouve encore plus belle en colère.

– Espèce de salaud, c’est de ta faute tout ça?

– Quoi?

– Ne fais pas l’ignorant!

Je suis vraiment surpris, je ne sais pas de quoi elle parle, je sais juste une chose, la demoiselle est toute rouge, et cela ne me surprendrais pas qu’elle cherche à m’étrangler.

– Je ne vois pas de quoi tu parles?

– Je sais que tu n’accepte pas dans ta classe les élèves suivant mes cours!

– Oh, c’est juste ça.

– Juste ça! Juste ça!

Aurélie hurle vraiment comme une folle.

– Pour la troisième fois de la semaine, je n’ai eus aucun élèves. Zéro! Peanuts!

– Ben il ne fallait pas donner les mêmes cours que moi! Ceux qui viennent à ton atelier de cinéma ne sont pas interdits de suivre les miens.

– Salaud, je n’ai aucun élève dans cet atelier qui suit la filière que l’on enseigne, tu le sais très bien!

Elle s’approche de moi, je sens qu’elle va me frapper, j’appuie vite sur mon invention. Aussitôt Aurélie se fige, droite.

– Tu es qui?

– L’esclave.

– Et moi?

– Le maître.

– Parfait.

Je pose quelques questions à Aurélie, ses réponses me surprenne. Je réfléchis vite. Un plan me vient à l’esprit. Un plan machiavélique qui me fait bander immédiatement. Je me mets alors à donner des ordres à Aurélie.

Une heure plus tard, la porte de mon bureau s’ouvre violemment. Aurélie telle une furie y pénètre dedans. Je la trouve encore plus belle en colère.

– Espèce de salaud, c’est de ta faute tout ça?

– Quoi?

– Ne fais pas l’ignorant!

– Je ne vois pas de quoi tu parles?

– Je sais que tu n’accepte pas dans ta classe les élèves suivant mes cours!

– Oh, c’est juste ça.

– Juste ça! Juste ça!

Aurélie hurle vraiment comme une folle.

– Pour la troisième fois de la semaine, je n’ai eus aucun élèves. Zéro! Peanuts!

– Ben il ne fallait pas donner les mêmes cours que moi! Ceux qui viennent à ton atelier de cinéma ne sont pas interdits de suivre les miens.

– Salaud, je n’ai aucun élève dans cet atelier qui suit la filière que l’on enseigne, tu le sais très bien!

Elle s’approche de moi, je sens qu’elle va me frapper, mais je n’ai pas le temps d’esquiver cette folle. Deux gifles m’arrivent en pleine face, faisant voler mes lunettes, heureusement qu’elles sont incassable. Aurélie marche dessus, les brises en morceau. Heureusement j’en ai toujours une deuxième paire de secoure avec moi. J’ai peur qu’elle me tue, elle est devant moi, les poings serré. Elle m’attrape par le col de ma chemise. Approche sa tête de la mienne, je sens son souffle görükle escort sur mon visage quand elle me hurle dessus. Je ne pense même pas à me servir de mon invention.

– Je vais me venger, tu entends salaud, je vais me venger. Je vais faire de ta vie un enfer, je vais te détruire, tu vas payer pour cela. Je te garantis que dans moins de deux mois, tu me supplieras de faire cesser tout ce qu’il va t’arriver. Mais je ne ferais rien, je te laisserais t’enfoncer jusque à ce que tu te suicide, tu n’auras pas d’autres issues à cela.

Aurélie me lâche enfin, toujours en mode furie, elle sort de mon bureau. Avant de refermer ma porte, elle se retourne.

– Un conseil, lundi, je veux que tu dises à tout tes élèves de suivre mes cours. Peut-être qu’alors je me montrerais magnanime envers toi. Je t’aurais bien cogner encore un peu, mais j’ai mon atelier cinéma à m’occuper. De toute façon ce qui t’attends sera bien pire que quelques coups, vraiment bien pire.

Elle claque la porte en sortant, je reste dubitatif mais surtout effrayé. Une seule chose est certaine, je ne cède pas au chantage, je n’en ferais rien. Avant de partir, je passe voir le directeur de l’établissement. J’ai une petite conversation avec lui, puis je rentre chez moi.

Le soir c’est sur ma belle-mère et Lin que je passe ma frustration. Elles se souviendront longtemps de cette partie de baise, ressemblant à un viol sordide. Mais l’image d’Aurélie ne quitte pas ma tête, me gâchant un peu le plaisir.

Aurélie quand à elle, se rend à son atelier cinéma. Passionnée du septième art, la jeune femme à fondée cet atelier. Bien entendu elle à réussit à rattacher l’atelier à la filière cinéma de l’université, ce qui fait que les notes qu’elle donne sont comptée dans le cursus continue de l’élève, le zéro étant éliminatoire. Mais après son engueulade avec Jonas, c’est énervée que la jeune femme se rend à son cours. Surtout que aujourd’hui elle est en groupe restreint. Il n’y aura que ses cinq plus mauvais élèves. Si il ne font pas un bon boulot aujourd’hui, elle leur mettra un zéro, ceux qui les giclera de son atelier, même si cela signifie pour eux la fin de leurs rêve. Aurélie bien que très belle n’est pas une fille gentille, elle déteste la médiocrité et ces cinq là le sont particulièrement. Ils leurs restent deux heures pour se sauver. La jeune prof n’aura pas de pitié.

L’atelier se trouve au fin fond de l’université, dans un vieil hangar autrefois désaffecté. Seul un tiers de la salle est occupé par son cours. Le matériel provient de certains studio de cinéma qui les lui ont donné plutôt que de les jeter. Le matériel n’est pas de première jeunesse mais il suffit largement. Seul l’ordinateur chargé de gérer les caméras, d’enregistrer ce que les élèves tournent est de dernier cri. Un vrai matos de pro, neuf, financé par le fond cinématographique universitaire. Le reste de la pièce est occupé par de vieux trucs de l’université. Matelas, bureau, tapis de gym. Cela ne sert plus, mais on les gardent en cas de besoin. En entrant dans la salle, les cinq élèves l’attendent. Aurélie retient une grimace de dégoût. En plus d’être nul, deux sont vraiment laid, un est horriblement gros, les deux derniers sont sale et puant. C’est vraiment la lie de l’humanité. La prof ignore qu’ils se sont plus inscrit à son atelier pour la mater plutôt que pour le cours en lui même.

Aurélie est très sexy même si elle s’habille sagement. Aujourd’hui elle porte un chemisier blanc et une jupe lui arrivant juste en haut des genoux, avec de jolie talon aiguille noir. Bizarrement elle sent une chaleur l’envahir en voyant les cinq jeunes. Ils n’ont que dix-sept ans, mais ils lui font un petit effet. La prof de vingt-cinq ans se dit qu’il est largement temps de se trouver un mec, si elle ressent un petit truc avec ces ado horrible, c’est qu’elle a vraiment besoin de sexe, pourtant elle a toujours détestée ça. Surtout l’éjaculation du mec en elle, sentir le sperme couler, beurk, elle trouve cela vraiment dégueulasse. En y réfléchissant, elle se dit qu’il est temps, quatre ans que personne ne l’a touchée. Elle a consacrée tout son temps à son travail, il est temps de penser un peu à elle. Quitte même à se payer un gigolo pour une nuit. Au moins lui mettra une capote, elle n’aura pas à sentir ce liquide horrible jaillir en elle. Oui, un gigolo, c’est une des meilleures idées de sa vie.

Bien entendu, le cours se passe mal. Aucun des cinq n’est capable de filmer un truc correctement. Pas une seconde de sauvable sur les deux heures de tournages. Aurélie n’a pas le choix, elle va leur mettre le zéro. Elle réunit le petit groupe.

– Messieurs, je suis désolée, mais vous êtes nul, je vais devoir vous mettre un zéro à tous.

– Mais ce n’est pas possible mademoiselle, on va être virer.

– Vous êtes nul, je vais vous montrer ce qu’est un vrai bon résultat. On discutera de tout ça après.

La jeune femme fait mettre un matelas au milieu de la pièce, puis elle met en place six caméra qu’elle règle. Elle fait semblant de lancer l’enregistrement bursa escort bayan de toutes les caméras. Elle fait mettre ses élèves au milieu de la pièce. Devant les caméra. Tout sera filmé, mais pas enregistré. Il faut qu’ils croient à ce qu’elle va leur raconter.

Aurélie fait face à ses cinq élèves. Elle prend la parole.

– Messieurs, vous êtes la honte du cinéma.

Ils la regardent éberlués.

– J’ai décidée, comme je vous l’ai dis, de vous mettre un zéro à tous!

Là, les cinq jeunes garçons sont abasourdi, ce n’était pas juste un coup de colère. Le gros, qui s’appelle Joey, prend la parole.

– Madame, pitié, on va tous être virés!

Aurélie les regardent, puis une idée lui vient, elle sait comment piéger Jonas, même si ce qu’elle doit faire pour ça la dégoûte plus que tout. Elle peut joindre le très utile à l’un peu agréable. Oui, le plan qui vient de jaillir dans sa tête peut-être vraiment sympa. Bien mieux que ce qu’elle avait prévu pour Jonas.

– Bon je vais vous laisser une chance d’avoir une bonne note. Vous êtes stupide et nul, mais là je pense que vous y arriverez!

– Tout ce que vous voulez mademoiselle.

– Parfait vous allez tous me baiser. J’ai un fantasme depuis toute jeune, mais je n’ai jamais pus le faire. Trop dangereux. Mais vous, si vous voulez avoir une meilleure note, vous le réaliserez avec moi, et surtout vous fermerez vos gueules après.

Aurélie n’en revient pas de ses paroles. Ses élèves non plus. Mais sa haine pour Jonas est plus forte que tout.

– Ne faites pas cette tête. Vous m’avez bien entendu. Vous allez me prendre ensemble. Par devant, par derrière, dans la bouche. Vous allez me violer, enfin faire comme si. Par contre se sera l’un après l’autre, pas ensemble, sauf dans la bouche. Là, je vous autorise à ce que l’un me prenne par le vagin ou l’anus et l’autre m’oblige à le sucer. Mon fantasme c’est d’être violée par un groupe d’élèves. Vous jouerez ce rôle. Tout sera filmé, comme ça je pourrais me caresser plus tard, en regardant le film.Je vous rassure ce que je vous dis actuellement est filmé aussi, la preuve les caméras sont en rouge. Comme ça vous pouvez être certain que je ne vous la fais pas à l’envers.

Aurélie sait très bien, qui si ce que filme les caméras est retransmis sur les écrans, rien ne s’enregistre. Mais les jeunes n’ont rien à craindre, ce n’est pas eux qui sont la cible de sa haine.

– Mais madame…

– Ta gueule Joey, laisse moi parler. Ne fais pas un truc con pour une fois dans ta vie. Toutes façon dites-vous bien que ce sera la seule fois de votre existence où vous avez la chance de baiser un canon comme moi. Belle, bien foutue. Je suis vierge de l’anus en plus, peu de femme accepteront que vous les sodomisiez, alors des pucelles du cul je serais sûrement la seule. Mais un seul mot sans que je ne vous pose une question et j’annule tout. Compris?

Joey déglutit difficilement.

– Oui mademoiselle.

– Bien, maintenant si un ou plusieurs d’entre vous ne veulent pas, qu’ils sortent immédiatement.

Les cinq garçon se regardent. Aucun n’a envie de partir, ils vont pouvoir baiser l’objet de leurs fantasmes. En plus, tous son puceau.

– Parfait, appelez vos parents, vous allez m’avoir pendant deux heures. Pas plus longtemps.

Tous approuvent, baiser leur prof même deux heures, cela va bien au-delà de tout ce qu’ils ont pus rêver.

– Bien voilà comment cela va se dérouler. Comme je vous l’ai dis, vous allez devoir me baiser de partout. Je veux que cela soit violent, comme un véritable viol. C’est ce que ce sera, vous serez des violeurs et moi votre victime. Vous me ferez ce que vous voudrez, je suis certaine que des épaves comme vous matent des tas de film classé X.

Tous la regardent éberlués.

– Vous pourrez tapez, mais pas trop fort quand même, juste de quoi laisser des bleus sur mon corps. Vous pourrez me mordre, vous me défoncerez, me prendrez le plus violemment possible. Mais attention, pas de marque sur mon visage ou mes mains, ni en dessous des cuisses, rien ne doit être visible quand je suis habillée.

Aurélie à l’impression d’être folle. La jeune femme n’en revient pas qu’elle dise tout ça. Elle qui déteste déjà le sexe quand il est fait en douceur, là c’est vraiment aberrant qu’elle demande cela. Elle haï Jonas, bien plus qu’elle ne le pensait. Son plan à vraiment intérêt à fonctionner.

Aurélie s’éloigne, elle va chercher des accessoires, trouve ce qu’elle veut. Elle les lancent sur le matelas. Il y a un chiffon, une paire de menottes. Elle regarde ses élèves.

– Vous me menotterez les bras dans le dos. Le chiffon c’est pour faire office de bâillon. Vous me l’enfoncerez dans la bouche à chaque fois qu’aucun de vous ne se fera sucer. Des questions?

Personne ne parle.

– Parfait. Je vais me mettre hors champ. Vous m’entraînerez sur le matelas, comme si vous me forciez. Vous allez m’enlever es vêtements. Je vais me débattre pour de vrai, alors si vous voulez tremper votre biscuit dans mon corps à vous de faire le nécessaire. C’est la seule fois où vous aurez le droit de frapper mon visage. Mais que des gifles. Vous allez me baiser de toutes vos forces, comme si vous vouliez me tuer avec vos bites. N’ayez aucune pitié, si je hurle que cela ne vous arrête pas. Pareil pour mes suppliques. Compris?

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Changements de vie pour Jessica 14

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Girlfriend

Je remercie Cathartico de m’avoir permis se traduire son histoire “Jessica’s Change Management” que vous pouvez trouver sur la partie anglophone de ce site.

*******

La fausse glace.

*** Semaine 3 — Mardi ***

Mon réveil commence à sonner à 6h30. Somnolente, je me dirige vers la salle de bain. Mes fesses me font encore mal et me rappelle la correction que j’ai reçue hier.

En prenant une douche je me remémore les événements de la veille. Ce fut la journée la plus longue au travail de toute ma carrière. Les dés de Daniel m’avaient gardé tout le temps excitée et ça avait empiré quand le latino avait intégré les autres stagiaires dans le jeu.

Quel connard ! Bordel, pourquoi avait-il fait ça ? Que voulait-il ? Je suis toujours en colère contre ce putain de connard macho. Après tout, il me laisse dans une sale situation.

À partir de maintenant, les trois autres stagiaires sont au courant de mon rôle de Pute de Bureau de Daniel. Et pire encore, ils m’ont baisée et utilisée comme une salope facile. C’est ce que je voulais éviter depuis le début.

Maintenant, je dois faire face à l’inévitable. Daniel est peut-être le chef de la bande, mais je suis devenue la salope officielle des stagiaires. Ma vie au bureau va s’aggraver avec les autres garçons.

Aujourd’hui va être un jour crucial. Il y a beaucoup de choses en jeu. La fessée d’hier devant les stagiaires fut pour moi plus qu’une simple leçon. Ce fut un avertissement. Daniel est capable d’impliquer plus de personnes dans ma déchéance au bureau.

Imaginez-le en train de mettre Ortéga au courant ! Je ne peux pas risquer ça ! Je dois tout faire pour l’empêcher.

Mon boulot est très clair pour moi. Je dois tenir Daniel constamment occupé. Je ne peux pas prendre le risque qu’il se mette à s’ennuyer et qu’il prépare d’autres idées d’humiliation envers moi. Mon Dieu, cette seule pensée de me motiver pour satisfaire ce jeune voyou latino fait mouiller ma chatte.

Oui, je veux que Daniel prenne le contrôle de moi. Oui, je veux qu’il m’utilise comme il veut. Non, je n’oublie pas qu’il me fait chanter. Non je n’ai pas oublié les dégradations, les actes sexuels vicieux, les gifles et les fessées qu’il m’a donnés.

Cependant, il est indéniable qu’une part croissante de mon être apprécie la domination de ce jeune latino et accepte toutes les humiliations sexuelles. Même si mon moi sophistiqué et bourgeois continue à se sentir avili et rabaissé, le rejet de me soumettre diminue de jour en jour.

Étrangement, le fait de me faire baiser par les autres stagiaires a renforcé mon lien avec Daniel. Matt a bien essayé de le défier sournoisement en essayant de se montrer plus dominateur. Mais même si je me suis montrée soumise, il est devenu clair pour moi que je ne veux que Daniel pour Maître. Il sait exactement comment me faire réagir. Et il sait bien comment me traiter.

Je veux être son jouet de luxe. Je veux me montrer classe pour lui. Je veux qu’il me contrôle, lui et personne d’autre.

Houlà, ça paraît peut-être un peu exagéré ! Mais pourtant c’est ce que je ressens.

Cependant, je ne dois pas être étonnée. Au cours des deux dernières semaines, ce sentiment a régulièrement enflé, peut importe si je l’avais nié. Finalement ça a abouti à la situation actuelle. Maintenant, je veux servir ce voyou macho arrogant et lui plaire du mieux que je peux. Même si pour cela, je dois montrer à Matt qu’il ne deviendra jamais mon Maître.

Ce jeune homme ne m’a pas plus du tout. Pourtant il a été le plus audacieux et le plus dominant de tous les stagiaires. Il s’est comporté en gamin snob. Et il m’a traitée de poupée moins chère, moins jolie et plus vulgaire qu’une Barbie. Il a dit que je devais améliorer mon apparence. Ses remarques m’avaient emplie de colère. Il devait sûrement plaisanter ! Avec mon faux bronzage, mes ongles manucurés et mes faux tatouages, je ressemble déjà à une star du porno non ?

C’est ridicule je sais ! Après tout, je déteste tout ce qui concerne ces bimbos vaniteuses. Le fait que ce petit prétentieux ose m’humilier devant Daniel et dénigre mes efforts me met en rage. Je veux être à côté de mon homme et prouver que cet imbécile a tort.

Bien sûr, Daniel ne peut pas laisser le défi de Matt sans réponse. Après tout, il doit prouver qu’il est le patron non ?. Je me suis donc retrouvée au centre commercial avant d’aller travailler pour trouver quelque chose qui me transforme en vraie poupée de luxe.

Avant de quitter la maison, je prends beaucoup de temps pour choisir une tenue. Après tout, je veux faire plaisir à Daniel tout en prouvant à Matt qu’il a tort. Finalement je suis les recommandations du jeune latino et je décide de porter des vêtements sexy sous une robe de soirée.

Je choisis le vêtement le plus osé que Daniel avait trouvé lors de notre virée shopping au centre commercial. En le mettant je me souviens en avoir discuté avec lui. Je lui avais dit qu’il n’y avait pas d’endroits sur terre où je puisse porter une chose comme ça. Mais bursa escort il s’était moqué de moi et l’avait pris quand même. Aujourd’hui je suis presque contente qu’il ait gagné.

Il s’agit d’un chemisier rouge avec un effet mouillé. Sur le devant, il y a des lanières croisées. Elles laissent exposer mon ventre plat et elles mettent en valeur mes gros seins. En gros, la moitié intérieure de mes nichons est visible jusqu’à mes mamelons. Ensuite la couleur rouge éblouissante agit comme un signal d’alarme et le tissu d’aspect mouillé est moulant.

Pour contrebalancer ce chemisier plus que osé, je revêts par-dessus une élégante robe pour le bureau. Il s’agit d’une robe sans manche qui descend presque à mes genoux. Le col en V est assez profond pour laisser imaginer ma grosse poitrine sans être trop révélateur. Le tissu en patchwork noir et blanc lui donne un air à la mode. Le devant est blanc alors que les côtés et le dos sont noirs. Ça donne à la robe un look en forme de crayon et ça met parfaitement en valeur mes courbes.

Je complète ma tenue avec des hauts talons. Je mets une paire d’escarpins classique noir et blanc, avec des talons pointus de 12 centimètres. Ensuite je mets des accessoires : la paire de boucles d’oreilles en argent en forme de cœur, le collier assorti et la bracelet en argent avec la petite règle.

Vu de l’extérieur ma tenue semble élégante et prude. Après tout, je ne vais pas à un défilé de mode mais au bureau. Pourtant je sais que ça ne va pas. Les garçons veulent que je ressemble à une poupée de luxe. Dans cette tenue je me sens comme une femme à la mode à l’extérieur et comme une vraie salope avec mon chemisier rouge à l’intérieur.

En me rendant au centre commercial, je ne peux m’empêcher de réfléchir à ce que je suis sur le point de faire. Pourtant la tâche est simple, je dois ressembler à une vraie poupée de luxe. Mais la réalisation n’est pas si simple. Après tout, je suis déjà assez sexy comme ça non ?

Je n’arrive pas à croire que je vais me dégrader encore plus. Surtout que je ne veux pas que mon apparence change encore. Le pire dans cette affaire, c’est que je choisis moi-même les changements. Je prends une part active à ma dégradation et je deviens la complice obéissante des stagiaires.

Les gars ont magistralement réussi à créer un conflit dans mon esprit. Je déteste ressembler à une Barbie maquillée, mais je veux avoir l’approbation de Daniel. Je déteste jouer la pute, mais je veux lui plaire et impressionner ses copains stagiaires.

Et merde ! Aucun dirigeant d’entreprise qui se respecte n’agirait de la sorte. Aucun dirigeant d’entreprise qui se respecte ne se serait fait faire des tatouages.

D’autre part, les mots de Matt résonnent toujours dans ma tête. Il m’avait traitée de « Miss BRATZ » et m’avait comparée à ces poupées vulgaires et bon marché qui étaient loin d’égaler les poupées Barbie plus classes. Je ne peux laisser passer ça. Cette insulte me fait réagit de façon non rationnelle. Tout ce qui peut me changer en poupée de luxe va me convenir tant que je peux donner tort à ce gamin. Je veux qu’il reste ébahi.

En arrivant au centre commercial, je ne sais toujours pas ce que je vais faire. Lentement la panique monte. Daniel m’a déjà tellement changé que je ne sais que faire d’autre. J’essaie de me souvenir des choses qu’il avait suggérées auparavant.

Me faire décolorer les cheveux en blond ? Non sûrement pas ! Je ne peux pas me présenter au travail avec les cheveux teints. Mes subordonnés ne me prendront plus au sérieux.

Un collier et une laisse ? Je ne veux pas acheter ces objets. Je ne veux pas imaginer ce que Daniel en fera. Je ne vais pas me promener au bureau avec une laisse autour du cou n’est-ce pas ?

Des piercings ? Ça ne me plaît pas non plus. Je ne veux pas de changements permanents sur mon corps.

Bon sang, je n’arrive pas à trouver quelque chose. Mon intelligence m’a quitté car mon esprit est trop pris dans l’anticipation des choses à venir. Je me sens réellement comme une bimbo et je suis tellement excitée que je ne peux plus réfléchir correctement.

Et ça ne m’aide pas à résoudre mon problème actuel. Je dois trouver quelque chose. Il faut que j’aille bientôt au bureau, je ne peux pas me permettre d’être en retard. Les cheveux teints et les piercings qui sont permanents sont hors de question.

Mais je veux que Matt soit bluffé et se taise dorénavant. Il n’y a pas moyen que j’oublie. Je dois trouver quelque chose de voyant et accrocheur. La perspective de couper le sifflet à ce bâtard arrogant est trop motivante.

Ils veulent que je ressemble à une poupée glamour non ? Et qu’est-ce qui est fashion actuellement ? Je me souviens avoir regardé une émission à la télé sur une nouvelle tendance chez les jeunes filles. Ça s’appelle du « vajazzling ». Ça consiste à faire briller son pubis de mille feux en appliquant des strass partout. C’est presque aussi bien qu’un piercing et encore plus scintillant et brillant non ?

Ma décision görükle escort est prise et je me dirige vers le salon de beauté. Après avoir expliqué mes souhaits, la jeune esthéticienne blonde me regarde avec un mélange de perplexité et d’amusement. De toute évidence, elle n’est pas habituée à ce qu’une femme plus âgée demande un « vajazzling ».

Je choisis des cristaux blancs comme décoration et deux ornements différents. L’esthéticienne me jette un drôle de regard quand je lui explique mes choix. La perplexité a définitivement disparu et a été remplacée par du dédain. Je suis mal à l’aise. Après tout, cette jeune fille ressemble bien à une Barbie, avec ses cheveux blonds et ses ongles longs. Même une fille comme elle me méprise.

Pourtant, je reste déterminée. Toutefois, me déshabiller me demande un gros effort. Et l’étonnement de l’esthéticienne ne fait qu’augmenter lorsqu’elle voit mon tatouage de bronzage. Et bien sûr, elle remarque que je ne porte pas de culotte non plus.

Rougissant honteusement, je me sens plus que vulgaire. Pendant qu’elle applique les cristaux, je peux voir que la jeune fille se demande si je suis une star du porno ou une de ces femmes-trophée salopes. Je ne peux pas vraiment m’en offusquer, vu la façon dont mon corps est déjà décoré.

Quand elle a fini son travail, je me regarde dans un miroir. J’ai atteint mon objectif, mon corps est pailleté. Une couronne de cristal étincelante encadre le tatouage bronzé « LGZ » lui donnant un aspect encore plus marquage de bande. Et un cœur de cristal encadre ma chatte rasée, ma faisant paraître décorée comme un sapin de Noël.

L’esthéticienne blonde ne peut s’empêcher de secouer la tête lorsque je sors du salon, ce qui me rend toute rougissante et gênée.

En arrivant dans ma société, je fais de mon mieux pour être aussi discrète que possible. Je ne veux pas que mes collègues m’interrogent sur mon nouveau style.

Quand j’entre dans mon bureau, je suis surprise. Les quatre stagiaires y sont assis sur des chaises. Et Matt est assis à ma place, les pieds sur le bureau.

– La réceptionniste a été gentille de nous laisser entrer. Après tout, nous avons des dossiers dont vous avez besoin dès ce matin n’est-ce pas ? Me dit Daniel avec un grand sourire sur le visage.

Bon sang, ces salauds investissent mon bureau comme si c’était le leur. ORTEGA, O’BANNON et moi sommes les seuls à disposer d’un bureau individuel. C’est un symbole d’autorité important. Non seulement ces bâtards contrôlent mon corps, mais ils prennent également possession de mon bureau maintenant, me dégradant encore plus. Quels enfoirés !

– En fait, ce n’est pas pour les dossiers. Au lieu de ça, j’ai un cadeau pour toi. Vois ceci comme un encouragement. Tu t’es bien débrouillée hier, mais tu peux faire mieux. Ajoute Daniel.

Sur ces mots, il se lève et se dirige vers moi. Avec un grand sourire, il sort un nouveau bracelet qu’il accroche à mon poignet gauche. Il s’agit d’une petite chaîne en argent avec six petits dés alignés. Chaque face du dé a une lettre différente gravée dessus. Et tous les dés tournent librement afin de créer des mots.

Mince ! Maintenant, j’ai un bracelet à chaque poignet qui me rappelle mes défis précédents.

– Tu n’oublieras pas les défis que tu as tant aimé Miss Allumeuse. Remarque Daniel avec un petit rire.

Et il a raison. J’ai joué et j’en ai bien profité. Du moins jusqu’à ce que les autres stagiaires entrent dans le jeu. En conséquence le nouveau bijou n’est pas seulement le rappel du défi du jeu de dé, mais aussi un rappel de ma nouvelle position en tant que jouet de luxe des stagiaires. Le simple fait de regarder les dés argentés provoque une boule dans ma gorge et me fait penser au harcèlement que je m’apprête à subir au travail.

– Quand mes collègues ont appris que j’avais un cadeau pour toi, ils n’ont pas voulu être en reste. Alors ils ont quelque chose pour toi petite chatte. Dit Daniel.

Justin a les honneurs de représenter les autres. Il s’approche de moi en gardant quelque chose derrière son dos. D’un geste théâtral finalement il me le montre.

Un bâtonnet de glace ? C’est quoi ce bordel ? Je regarde l’objet en étant totalement confuse. Il a une couleur rose et la forme typique d’un bâtonnet de glace. Soudain mes yeux s’écarquillent. Je réalise finalement ce que c’est vraiment.

Il s’agit d’un gode ! Un gode extrêmement gros en silicone rose et lisse. Je n’arrive pas à croire que ces gamins ont amené un jouet sexuel si vulgaire dans mon bureau. Cela ne fait que renforcer ma peur de leurs projets s’ils me poussent à jouer constamment avec cet objet.

Le gode ne peut être décrit que comme une grosse bite. La longueur est d’environ 22 centimètres. Et la circonférence s’élargit vers le bas jusqu’à atteindre 15 centimètres.

– Je savais que tu aimerais ça ! Sucer une sucette glacée rend ta journée plus agréable pour un animal de compagnie comme toi ! C’est la friandise parfaite pour une salope.

Justin bursa escort bayan se moque de moi quand il voit mon visage abasourdi. Il ajoute :

– Et la taille le rend encore meilleur. Nous avons pensé que tes trous de putain ont besoin d’un peu d’entraînement afin qu’ils correspondent à ton statut de salope.

Daniel soutient son camarade en disant :

– Tu ne peux pas discuter sur ça, n’est-ce pas ? A partir d’aujourd’hui tu pourras l’utiliser pour ton régime quotidien. Je parie que tu t’ennuies de toute façon avec tes doigts.

Debout au milieu de mon bureau, avec un gode à la main, je ne sais pas quoi faire. Je suis complètement déboussolée. Je suis tellement ahurie que je fais une chose sans réfléchir. Je commence à porter la fausse glace à ma bouche pour la sucer.

Mon Dieu, que c’est embarrassant ! Je m’arrête à la dernière seconde. Malgré tout, les stagiaires ont remarqué mon geste et éclatent de rire. Le visage rouge et les mains tremblantes, je range le gode dans un tiroir de mon bureau.

Daniel me dit alors avec sarcasme :

– Je vois que tu aimes tes nouveaux cadeaux. Mais assez avec nos améliorations de salope. Voyons les tiennes !

Il ajoute en faisant l’éloge de mes vêtements :

– Belle tenue que tu as choisi petite chatte. Mais qu’en est-il des améliorations ?

Me remettant lentement du choc, je me rappelle de ma mission. Je veux faire plaisir à Daniel et faire ne sorte que Matt ne puisse plus la ramener. Ma robe en patchwork noire et blanche ait un bon début. Je me retourne et verrouille la porte de mon bureau. Je vais me donner en spectacle donc je ne veux pas être interrompue.

Face aux gars, je descends rapidement la fermeture à glissière de ma robe et je la laisse tomber par terre, exposant ainsi mon chemisier rouge. En tournant légèrement les hanches je présente le vajazzling qui entoure le tatouage « LGZ ». Avec mes ongles longs, je fais le tour de la couronne étincelante. Ensuite je saisis le bord de mon chemisier et je l’écarte pour montrer ma chatte et le cœur scintillant qui l’entoure. Finalement je laisse tomber ma chemise et je me penche pour laisser mes gros seins pendre. Puis levant les bras, je serre mes gros nichons avec les avant-bras tout en exhibant les deux bracelets en argent.

Les réactions des garçons ne la déçoivent pas. Daniel sourit fièrement tandis que les autres stagiaires sont complètement ébahis. Leurs yeux sont écarquillés et leur bouche grande ouverte devant le vajazzling. Ces réactions me font trembler et je rayonne en retour. Rendre Daniel heureux est devenu aussi attrayant pour moi que d’attirer l’attention des hommes avec mes charmes.

– Vous aimez mes nouveaux bijoux les garçons ? Je suis maintenant une vraie pute de luxe au bureau n’est-ce pas ? Ronronnai-je.

Puis en m’adressant à Matt directement, je dis :

– Qu’est-ce que tu en dis maintenant Matt ? Je suppose que tu avais tort. Je ne suis pas Miss BRATZ, je suis Miss Chatoyante.

Bien sûr, je ne peux pas laisser passer cette chance de lui rétorquer. La façon dont il me regarde est un bon retour sur investissement. Visiblement, il ne croyait pas que j’aille si loin dans les modifications. Vajazzling, ongles manucurés, faux bronzage avec tatouages, bijoux et tenue élégante, si ça ne fait pas de moi une poupée de luxe, je ne sais pas que faire d’autre.

« Oui, c’est ça gamin. Tu es impressionné non ? Sois content d’avoir le droit de me toucher » Pensé-je tout en me retenant de le dire tout haut. Mais je n’ose pas me moquer de lui aussi cruellement. Et ça n’a pas d’importance. Le voir presque humilié est aussi bien. Tout du moins c’est ce que je croie à ce moment.

– Regardez ! La salope s’est fait faire quelque chose de bien. Dit finalement Daniel.

Waouh ! Quelle remarque désobligeante ! Pourtant ça ressemble à un compliment que l’on me fait et je souris. J’ai réussi !

– Viens ici chienne de bureau ! Ordonne-t-il.

Seulement vêtue du chemisier rouge, je me suis approchée de mon homme et je me suis agenouillée devant lui. Il a simplement attrapé mon bras et a inspecté le petit bracelet qu’il a acheté. Apparemment, il avait de bonnes raisons de le choisir. En tournant chaque dé, il semble réfléchir. Les autres reprennent lentement leur sens et se rassemblent autour de lui. Ils le regardent jouer avec les dés.

– Hé hé, c’est génial ! Hurlent-ils quand Daniel a formé un mot avec les dés.

En baissant les yeux, je vois les lettres qu’il a rassemblées : « PUTAIN ». Je reste ébahie. Quelle dégradation !

– Laisse-moi essayer ! S’exclame Justin en prenant la relève.

Il tourne les dés pendant que les autres le pressent avec impatience. « COUGAR ». La lecture du mot me fait tressaillir brièvement. Je ne peux pas me promener dans les bureaux en affichant ce mot, c’est trop vulgaire.

A la demande de Daniel, Taylor prend la relève. Le joueur de football tourne timidement les dés. Il semble toujours nerveux et réticent. Il semble incertain sur la situation actuelle.

– Ouais celui-là est bon aussi ! Dit Justin quand Taylor a finalement formé un nouveau mot.

Cette fois la signification fait battre mon cœur plus rapidement avec fierté. « POUPEE ». Il me considère comme le jouet de luxe pour lequel je me suis battu.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Du Bonheur à L’horreur 04

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ffm

Ça y est le grand jour est arrivé j’allais enfin me marier avec l’homme de ma vie. La simple perspective de cet évènement me réjouissait dès le réveil. En effet j’étais surexcitée en sortant du lit de ma chambre d’enfance chez mes parents. Je me sentais prête pour ce grand jour surtout après la séance d’hier chez le père Emile qui j’en suis sûre portera ses fruits. En tout cas j’étais déterminée à ne plus jamais me laisser faire comme cela avait été le cas ces derniers jours.

La journée allait être très chargée car toute la matinée était concentrée sur ma préparation. Mes amies ne devaient pas tarder à arriver pour m’aider à me coiffer, m’habiller dans ma robe de princesse, etc. Je devais être parfaite pour mon beau Julien. J’avais une petite appréhension car Carlos et Atif en tant que collègues de Julien allaient être présent pour le vin d’honneur mais j’étais convaincue d’arriver à stopper le moindre geste déplacé de leur part.

Je sortais de la douche pour enfin commencer ma préparation quand on toqua à la porte de ma chambre.

– Coucou ma chérie pas trop stressée?

– Non maman je suis même impatiente de rejoindre l’hôtel au bras de papa.

– C’est bien vous êtes parfait tous les deux.

– Merci maman

– Tiens j’ai trouvé ça dans la boite aux lettres pour toi. On dirait un petit cadeau de mariage.

– Merci maman je regarderai ça plus tard.

– Bon courage ma chérie

Je posais le paquet sur mon lit sans y prêter trop attention. Cela devait être un cadeau d’un ami ou de la famille. Je pu enfin mettre mes beaux sous vêtement blanc tanga et soutien-gorge assorti très sexy choisis spécialement pour ma nuit de noces. J’étais pressée de montrer mon corps satiné dont le bronzage sera parfaitement mis en valeur dans cette lingerie à mon futur mari. Pour enfin faire l’amour sans culpabiliser avec l’homme de ma vie.

Mes amies n’allaient pas tarder à arriver quand mon portable sonna et je reconnu immédiatement le numéro de Carlos. Je pris mon courage à deux mains et lui raccrochais au nez sans hésiter. Un deuxième appel ne tarda pas à arriver puis un troisième vu que je raccrochais à chaque fois. Je reçu donc un message et quelle fut la panique qui me saisit quand je l’ouvris. En effet c’était une vidéo de moi en train de me faire baiser par Carlos et Atif dans les bureaux de mon mari et je jouissais vraiment fort. Quand un nouvel appel arriva je fus contrainte de répondre.

– Coucou ma petite chienne

– Bonjour Carlos

– Alors la petite vidéo t’a plu? Une vraie pro haha

– Vous êtes vraiment des salauds d’avoir filmé ça!

– Haha j’ai des films de tous tes exploits Adèle. Il me fallait des souvenirs de ton petit cul avant ton mariage. Tu as reçu mon paquet cadeau?

– Oui mais je ne l’ai pas encore ouvert

– Ouvre ça tout de suite.

Je m’exécutais avec la peur de découvrir le contenu. C’était un genre d’œuf en plastique d’une certaine taille.

– Tu sais ce que c’est?

– Non aucune idée

– C’est ce que tu vas te mettre dans le vagin toute la journée d’aujourd’hui

– Non c’est fini tout ça! Plus jamais je ne subirais tes perversions. Je ne veux plus jamais faire ça. C’est compris?

– Hahha déjà tu vas changer immédiatement ce petit ton avec moi sale chienne. Je vais t’expliquer la situation, si tu ne fais pas ce que je te dis la vidéo que tu as reçu sera diffusé comme diaporama a ton mariage donc tu as intérêt à obéir

J’étais prise au piège, je ne pouvais pas permettre que tout le monde voit ça surtout que Julien n’était pas au courant de cela. Ce connard me faisait un odieux chantage que j’étais obligé d’accepter.

– D’accord Carlos mais s’il te plait si je mets cela aujourd’hui tu pourras effacer ces vidéos?

– On verra si tu es sage. T’inquiète ce n’est pas si horrible que ça haha. On se voit tout l’heure fais toi belle petite pute.

Il raccrocha et je me retrouvais désespérée dans ma chambre ne sachant comment me sortir de cette situation. En attendant de trouver une solution j’étais obligé d’obéir et avant que mes copines n’arrivent m’insérait l’objet dans mon vagin. Il était quand même épais et me remplissait bien. Je ne savais pas comment j’allais faire pour tenir toute la journée avec cet œuf en moi. La sonnerie de la porte annonçant l’arrivée de mes amies me sortit de mes réflexions.

La préparation dura un bon moment et mes amies me permirent de me détendre jusqu’à oublier la présence de l’intrus dans mon sexe. Après 2-3 bonnes heures j’étais enfin prête et j’étais vraiment magnifique dans cette robe qui mettais mon corps de rêve en valeur. Je pense que Julien allait être tellement fier de se marier avec une jeune femme aussi splendide. Nous devions prendre la route jusqu’à l’église avec mon père dans une belle voiture.

La foule d’invités était déjà sur place quand la voiture se garait devant l’église et c’est avec fierté et émotion que je descendais au bras de mon père. Mon avancée dans le long couloir de l’église sous le Canon de Pachelbel ressemblait bursa escort à un rêve. La silhouette de Julien qui se rapprochait petit à petit avec son sourire et son regard amoureux était une des plus belles choses pour moi. J’étais dans un état d’euphorie en arrivant à sa hauteur devant le père Emile que j’en avait même oublié l’intrus dans mon vagin. La cérémonie pouvait débuter

La messe se déroulait comme nous l’avions planifiée, les lectures, les chants, le sermon du prêtre. Une intense vibration dans mon sexe me fit sortir de mon rêve éveillé. En effet l’œuf se mit à vibrer me procurant une décharge de sensations sexuelles. Je devins rouge pivoine et avait du mal à rester silencieuse. Je m’efforçais de montrer le moins possible mon désarroi. Carlos était vraiment un sadique et un sale pervers de me faire ça maintenant. Je dû passer toute la fin de la cérémonie avec un œuf en vibration maximale dans mon vagin et la lecture de mes vœux ainsi que le fameux oui furent difficile a exécuter. Je me retenais de toutes mes forces mais lorsque je pus embrasser Julien je le fis avec une telle ardeur que l’orgasme éclata en moi au même moment. Ce fut le baiser de mariage le plus passionné de l’humanité je pense.

Les vibrations ne s’arrêtèrent pas pour autant à la sortie de l’église et quand j’ai croisé le regard de Carlos il était en train de rire avec Atif jouant avec une petite télécommande. Heureusement pendant le trajet jusqu’au lieu de réception cela s’arrêta car le signal de la télécommande devait être trop loin.

– Je t’aime tellement mon amour nous sommes enfin mari et femme tu te rends compte?

– Oui Julien enfin nous allons pouvoir commencer notre vie d’adulte pleinement

– C’est clair et ce baiser était magnifique ma chérie.

– Tu m’as tellement manqué ces derniers jours mon cœur

– Toi aussi heureusement on va bien profiter de notre fête maintenant.

Nous arrivâmes au lieu de réception et le vin d’honneur pouvait commencer, malheureusement pour moi les vibrations également et mon excitation repris de plus belle. Les gens venaient nous féliciter durant tout le vin d’honneur et quand vint le tour de Carlos sa bise appuyé me fit froid dans le dos.

– Félicitations les amoureux

– Merci d’etre venu Carlos j’espere que la celebration vous plaira

– Profitez bien les jeunes et pas trop de bêtise ce soir

Il me fit un clin d’œil des plus déplacé suite à cette réflexion bien lourde. Moi je restais silencieuse luttant pour ne pas avoir un autre orgasme. Je le détestais. Je dus avoir l’air rouge et suante sur mes photos de mariage. Je n’en pouvais plus cet œuf qui me rendait folle il fallait que je jouisse.

La fin du vin d’honneur approchait et cela signifiait le départ de Carlos. Je décidais de passer aux toilettes me refaire une beauté et surtout me laisser jouir en paix dans ma chambre de mariée. A peine entrée dans ma chambre je n’avais pas vu que Carlos m’avait suivi il entra rapidement avec moi.

– Bah alors ma belle on partait sans que je puisse te dire au revoir

– Dégage Carlos Julien pourrait entrer

– T’inquiète Atif l’occupe. Alors comment tu trouves ce petit cadeau?

– Je n’en peux plus c’est horrible

– Tu as envie de jouir ma petite salope.

– Arrête-le s’il te plait

– Hahah je n’ai plus la télécommande je l’ai donné à un des invités qui avait l’air de bien t’apprécier ne t’inquiète pas.

– Non tu n’as pas fait ça? A qui?

– Ah ça ne serait pas marrant de te le dire comme ça.

Il se rapprochait de moi. Je le repoussais mais j’étais trop excité par cet œuf que ma résistance devait vraiment être molle

– Laisse-moi Carlos.

– Laisse-toi faire je sais que tu es ma pute. Et puis rappelle-toi que j’ai tes exploits en vidéo. Et puis je sais que l’œuf est en train de faire son effet. Avoue que tu as envie d’une bonne grosse bite?

– …

– Demande là moi

– Oui mais je veux la bite de mon mari

– Haha tu vas savoir attendre jusqu’à ce soir?

– Oui

– Je respecte ton choix ma petite chienne et te souhaite une bonne journée et voyage de noces. Par contre ne t’avises pas de retirer l’œuf car ton nouveau tourmenteur à mon numéro et je n’aurai qu’a envoyer tes exploits a ton mari et sur tes réseaux sociaux

J’étais surprise de le voir partir sans même avoir été plus loin dans sa tentative. J’étais fière de lui avoir résisté malgré le fait que mon supplice allait encore durer et mon excitation était déjà énorme. Maintenant il me fallait trouver qui avait la télécommande et cela me fis entrer en panique. En redescendant seuls les invités restant pour le repas et la soirée étaient présents et tout le monde était installé à table. Je fis le tour de l’assemblé de mon regard essayant de trouver des indices sur mon tourmenteur. Il ne restait que la famille et les amis proches. Seulement Julien et moi avons des familles nombreuses donc ça offrait pas mal de possibilités.

Les heures passaient et les plats défilaient görükle escort sans que les vibrations n’arrêtent même une seconde. Ce fut un énorme calvaire car je me retenais de jouir et ma culotte était maintenant détrempée. J’étais enfin contente de me lever pour ouvrir le bal car la position assise augmentait les sensations de l’œuf. Je pus quand même effectuer la valse de manière parfaite et mon Julien me fit magnifiquement danser. J’étais tellement pressé de faire l’amour avec lui ce soir que ça sera un véritable feu d’artifices.

La soirée avançait et les danses s’enchainaient, mon enquête était toujours au point mort mais les suspects se réduisaient au fur et à mesure que les invites quittaient la fête. Julien commençait à être un peu saoul au vu de sa manière de danser mais il avait l’air si heureux que je ne lui dis rien. Il devait être 4h du matin quand mon oncle Gerard vint m’inviter à danser. Cela me surprit car nous n’étions pas proche du tout. C’est le frère de ma mère, un fermier vulgaire et divorcé, il a la cinquantaine, est gros et rustre. Je l’ai toujours un peu méprisé pour son attitude vulgaire et parfois malsaine notamment quand il me faisait la bise près de la bouche quand j’étais ado. Il a un fils Dylan qui l’aide à la ferme, qu’il a eu jeune et un peu simple mentalement. Il a la même apparence que son père et partage le même caractère vulgaire.

Je ne pouvais cependant pas refuser une simple danse surtout le jour de mon mariage. Par malchance c’était hôtel California des Eagles et en live du coup on en avait pour 6-7 minutes de slow, la poisse. Il me colla à lui son ventre bedonnant était collé à moi et ses bras me serraient fort contre lui.

– Comme tu es belle ma nièce

– Merci Gerard c’est gentil.

Il me serrait de plus en plus et je sentais ses mains me caresser le dos nu, très malsain.

– Tu peux arrêter s’il te plait

– Arrête de faire ta prude je sais que tu es une salope et que tu mouille depuis tout a l’heure.

Je fus choqué par sa phrase et réalisais directement l’horreur de la situation.

– Heureusement que j’ai dit que tu étais bandante, le patron de ton mari m’a entendu à l’église et m’a donné ce petit cadeau. Tu dois être en chaleur petite chienne.

En effet je dégoulinais sous la robe après des heures de vibrations mais il me dégoutait a un point inimaginable.

– Arrête Julien pourrait voir ça

– T’inquiète Dylan et Robert s’occupent de lui

Robert était le parrain de Julien c’était son oncle, la cinquantaine également. Il était garagiste et c’était un homme énorme de deux mètres pour 110kg il m’a toujours impressionnée par sa carrure mais était en général bienveillant et Julien l’adorait. Je vis en effet Julien en train de boire des shooters dans un genre de concours avec les deux hommes.

– Ils ne sont pas au courant pour ce que tu as dans le cornet. Je leur ai juste dit de faire bien boire Julien pour fêter son mariage et vu leur descente Julien ne va pas faire long feu.

J’étais un peu déçu que Julien tombe dans ce piège mais comment lui en vouloir il n’allait pas jouer le rabat joie avec son parrain adoré. Il était déjà bien bourré et ne tenait pas droit sur sa chaise. Je sentais que ça allait mal finir. Je me rendis compte qu’il ne restait plus grand monde dans la salle a part nous 5 d’ailleurs.

– Qu’est-ce que tu veux espèce de salaud.

– Que ton bonheur ma belle ne t’en fais pas

Je sentis sa langue passer dans mon cou, et ses mains descendre sur mes fesses. Heureusement personne ne faisait vraiment attention à nous sur la piste. Pour ma part la situation bien que malsaine m’excitait encore plus que je ne l’étais déjà et inconsciemment mon corps ondulait quelques peu ce que ne manqua pas de remarquer Gerard qui se frottait maintenant sur moi.

– Jamais je n’aurais imaginé que tu étais une salope comme ça. Et dire que je veux te baiser depuis que tu as 14ans.

Heureusement la musique se terminait et je pus m’extirper de son emprise surtout que le DJ paraissait terminer la soirée. Je me dirigeais vers Julien pour lui dire d’aller se coucher. Il était affalé sur la table complètement bourré.

– Désolé Adèle je pense qu’on a un peu abusé sur le rhum. Dit Robert

En effet Julien paraissait complétement KO et s’était littéralement endormi sur la table. Par chance nous dormions sur place du coup pas besoin de prendre la route.

– T’inquiète on va t’aider à le transporter dans la chambre. Hein les gars?

– Non merci Gerard

– Tu ne vas pas le porter tout seul sois pas bête.

Robert et Dylan prirent Julien et commencèrent à l’emmener vers l’escalier menant à la chambre. Gerard une main sur mes fesses me poussait à les suivre. En entrant dans la chambre les gars déposèrent Julien sur le lit et s’apprêtaient à sortir.

– Adèle tu n’as pas besoin d’aide pour enlever cette robe?

– Hhaha papa toujours la bonne blague

– Je suis très sérieux. Je sais qu’elle a besoin d’aide et qu’on est les mieux placé bursa escort bayan pour l’aider hein Adèle?

Son clin d’œil appuyé était là pour me rappeler qui connaissait le numéro de Carlos et qu’il pouvait donc détruire ma vie. Je ne pris même pas le temps de répondre et était resignée. Voir l’homme de ma vie allongé complétement bourré alors que j’avais attendu cette nuit de noce toute la journée m’énerva. Gerard s’approcha, mit en confiance par ma non réaction et fit tomber les bretelles de ma si belle robe de marié dévoilant mon petit soutif discret en dentelle blanche. Dylan et Robert était complétement dépités et abasourdis pas la situation. Gerard arracha littéralement mon soutif et d’une main me palpa le sein droit sans aucune douceur. De son autre main il me prit le menton et commença a me lécher totalement le visage. Il puait l’alcool c’était tellement humiliant mais l’œuf vibrant toujours en moi j’étais dans un tel état d’excitation que cela me fit encore plus mouiller.

– Gerard arrête de déconner c’est quand même la femme de mon neveu

– Hahah mais ce n’est pas du viol Robert cette petite pute ne demande que ça. Pas vrai Adèle.

Je ne répondais pas me laissant palper les seins. Gerard fit passer une main sous ma robe attrapa et déchira mon tanga d’un geste brusque et le jeta a ses deux camarades.

– Wouah je n’ai jamais vu une culotte aussi trempée c’est fou. Tu as raison Gerard c’est vraiment la pire des chiennes.

– Hahah je vous l’avez dit les gars.

Sa main était maintenant sous ma robe et il me titillait le clito. L’autre main passait d’un sein a l’autre et sa langue parcourait toujours mon visage. Il finit par m’embrasser a plein bouche entrant sa grosse langue dans ma gorge. Je n’en pouvais plus de résister j’avais envie de sexe peu importe avec qui mais il fallait que je jouisse. Je répondais donc à son baiser en ondulant le bassin sur sa main. II entra même deux doigts pour retirer l’œuf et le mettre dans sa poche. Ce retrait me fit l’effet d’un vide insoutenable.

– Dis-nous ce que tu veux Adèle?

Il avait remis sa main sur ma vulve et commença à me doigter fortement. Je n’en pouvais vraiment plus et émis quelques râles de plaisirs. Les 2 autres n’en revenaient pas de cette situation des plus glauques. Une jeune mariée carrément canon se faisant doigter par son oncle vulgaire devant le fils de ce dernier et le parrain de son jeune marié.

– Tu veux que j’arrête?

– Non s’il te plait

– Qu’est-ce que tu veux?

– Unnne biiite

– Alors vient la chercher.

Gerard s’allongea sur le lit a coté de Julien. Je me mis à quatre pattes sur lui et entrepris de baisser son pantalon et son slip faisant apparaitre un sexe énorme plein de poils. Il appuya sur me tête et je pris en bouche cet énorme matraque. Je le suçais avec enthousiasme tellement j’étais excitée. Je vis du coin de l’œil les deux autres hommes enlever leurs pantalons et ils avaient l’air super bien montés également surtout Robert qui avait un sexe digne de sa carrure. Toujours en train de pomper Gerard qui imprimait un rythme avec ses deux mains sur mon crane, je sentis qu’on relevait ma robe au-dessus de mes fesses dévoilant mon intimité. Deux mains écartèrent mes fesses et une langue commença à me lécher totalement le sexe. J’eus un orgasme quasi immédiat c’était tellement bon et je compris que c’était Robert car Dylan plus timide se masturbait debout à côté du lit.

– Tu ne vas pas le laisser comme ça petite chienne branle mon fils!

Je pris donc le gros sexe de Dylan d’une main et commençais à le branler doucement. Au bout d’un moment Gerard se leva pris Julien et le mit complétement par terre au pied du lit.

– Les Gars allongez vous la place est libre

Les trois hommes finirent de se déshabiller. Ils étaient moches. Dylan et Robert s’allongèrent sur le lit et je dus les prendre en bouche a tour de rôle selon ou leurs mains dirigeaient mon crane. Profitant de ma position a 4 pattes Gerard se place derrière et me pénétra d’une traite dans un cri de bonheur de ma part. Il imprimait de grands coups de reins au plus profond de moi tout en s’agrippant à mes deux fesses.

– Depuis le temps que je rêvais de cela Adèle. Jamais je n’aurais pensé pouvoir baiser ma nièce la plus belle surtout le jour de son mariage.

Malgré l’humiliation je savourais la pénétration tant attendu toute la journée et tant pis si ce n’étais pas Julien c’était vraiment trop bon. Le rythme des coups de rein s’accélérait et j’avais du mal à bien sucer les deux chibres devant moi. Robert, maintenant en pleine confiance, prit mon crane et enfonça sa colonne de chaire au plus profond de ma gorge que je faillis vomir. Il se retira et Dylan imita directement cette pratique. J’alternais donc les gorges profondes à un rythme fou que mes yeux pleuraient abondamment. Je sentis Gerard se cambrer et sortir son sexe pour éjaculer sur ma robe.

– Comme on ne lave jamais une robe de marié tu auras un souvenir. La place est libre les gars.

Robert se leva et prit la place de Gerard et entra d’un coup sec. Son sexe étant encore plus gros cela déclencha un autre orgasme. Pendant se temps la Dylan se servait de ma tête comme un sexe et les allers-retours de son chibre au fond de ma gorge allaient à un rythme effréné.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bishop Takes the Queen Ch. 02

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Foreskin

**This chapter comes directly after Ben Loves a Challenge ch 14. While there is no sex in this one, I promise it’s coming soon.

It’s not necessary to read Ben Loves a Challenge first, this story will still make sense, but I feel like it’s better all together. Either way, I hope you enjoy.

-Penny****

Carlin’s words haunted D’metrius for the rest of the week, and he felt all of the emotions. He was distracted at work, irritable and angsty. Christmas came and went with barely a thought, not that he celebrated anyway. And for the first time since he’d started dressing in drag, he was nervous about becoming Zion.

It was bad enough that he skipped his weekly friday night hook up, which he hadn’t done in a very, very long time. His recent encounters, especially with Topher the week before, his emotional state since Carlin came out, and called him out, just, everything was wrong. It felt like D’metrius was toxic, and if he dressed in drag right now he’d somehow contaminate Zion, too.

He couldn’t risk contaminating Zion. He knew it sounded dumb, and dramatic, but until he kicked his funk he had to keep Zion locked up, safe and secure.

Which meant he had exactly four days to figure it out before the New Year’s Eve drag show.

He’d been headed through the courtyard of his apartment building, on his way to Jimmy’s house to practice their act for the show when he realized he’d forgotten the duct tape and their matching corsets, which had just come in the mail.

He ran back to get them, shoving them into a reusable shopping bag, then rushed back out into the courtyard. Just as he reached the steps, ready to vault down them two at a time, he nearly collided into the last person he wanted to see just then.

His toxic emotions pushed him past a point that he couldn’t stop himself from snapping at Carlin. “You’ve ruined everything,” he growled, stomping down the steps. Carlin’s hands were full, two bags of groceries in his arms, and his backpack on his back.

Carlin looked surprised, which was actually pretty satisfying when he usually looked so calm. So cool. Carlin blinked at him, halting in his tracks as D’metrius stormed into his personal space. “D’metrius?”

It was a mistake, because Carlin smelled good enough to stun him for a second. He blinked, then retreated back up the steps just to be away from his smell. “I can’t, you’ve, you, it’s all your fault!” he stammered. He hadn’t exactly been prepared to confront Carlin, he had no idea what to say next.

“Hey, hey, what’s wrong?” Carlin asked, shifting bags around in his arms when he reached the top of the steps. “Why don’t you come over, I can put this stuff down and you can tell me what’s wrong.”

How had he already recovered? How was he also so calm! It pissed him off to no end. “Nevermind, forget it,” he barked, stepping around Carlin. “Just, whatever.”

“D’metrius,” Carlin said in that calm yet demanding voice. “Come back here and talk to me. Going out like this isn’t going to help anything.”

“You don’t know me! I’ll go out however I want. And, this’s all your fault, anyway,” he snapped, turning back around. “It’s all ruined, everything. I’m all, I just, it’s all-” He stopped talking when he saw the little girl who did the flowers upstairs leaning over the banister, watching them both. She ducked when she saw that he saw her.

“D, please,” Carlin said. “Come to my place. These bags are heavy, and we can talk it over.”

“I’ve got nothing to say to you,” D’metrius growled. “And don’t call me D.”

Carlin sighed. “Fine, you know where to find me, if you change your mind. Bye, D’metrius. See you later, little lady,” he said, nodding up to the girl on the banister.

“Bye, Mr. Bishop,” the girl squeaked from above. “Mr. Pretty Lady, you should be nicer to Mr. Bishop, he’s very nice.”

Carlin snorted, then hid his laugh. “Mr. Pretty Lady?” D’metrius said, blinking at the girl, the wind gone from his sails. “Why’d she call me Mr. Pretty Lady but you Mr. Bishop?”

Carlin sniffed a laugh as the girl ran away. D’metrius looked at Carlin, who was biting his lower lip to keep from laughing more. He shrugged when he noticed him looking. “I mean, Bishop is my last name. And, she’s not wrong. You’re very pretty when you’re Zion.”

D’metrius scowled, then turned away from Carlin and stormed down the steps. Jimmy was waiting for him at the street in his beat-up junker.

Just as Carlin predicted he just couldn’t get himself together, and the night was shot earlier than it should’ve been. He couldn’t focus, couldn’t do makeup for shit, couldn’t seem to get his pitch right, and he’d broken one of Zion’s favorite pairs of stilettos. His left arm still throbbed where he’d banged it up to save his face from a table as he flailed. To add insult to injury, now Jimmy was mad at him, too.

Neither of them talked as Jimmy drove him home, both of them in sour moods for different reasons stemming from the same issue.

D’metrius paused before climbing out of the idling car outside his apartment building. Jimmy escort şişli looked up at him and the pissy look in his eyes just made D’metrius feel even worse.

“Lover, if you don’t get your shit together, the show’s gonna go up in flames and you can kiss our crowns goodbye. And, I think it goes without saying, but there is no way I’m losing my title to Stella Stelagtits. Get your shit together and shove it in your uptight backpack already.”

“Get off my back, Jimmy, I just had an off night. If you want the crown so much, why don’t you just do it without me.”

“Do it without you?” Jimmy’s scowl deepened. “That’s not what Zion would say.”

“Well, I’m not Zion right now, and it’s what I’m saying,” D’metrius snapped. He slammed the car door and stomped to the building.

“You need to figure out whatever crawled up your ass and died and dig it out by New Year’s Eve, Metri,” Jimmy called after him.

He didn’t turn around, just raised a middle finger high above his head and held it there until he needed it to unlock the door. There was nothing to figure out, he knew exactly what had crawled up his ass. He climbed up the stairs, half afraid and half wanting Carlin to be reading at the table, but he wasn’t tonight. He refused to acknowledge the disappointment that bubbled up in his gut as he crossed the softly lit courtyard and headed to his apartment.

It was late and the building was mostly quiet. He heard the landlady’s TV when he passed her door, something with canned laughter, it faded as he moved down the hall. He unlocked his door and took his coat and shoes off, then stood in the doorway.

Dread settled in his stomach as he saw Zion’s touch in every aspect of his apartment. Pictures of Zion and Bambi, Jimmy’s drag persona, at pageants and drag shows on the walls. The open closet, full of dresses and corsets and silky undergarments, an entire wall rack full of shoes in every color of the rainbow. His dressing table surrounded by the rainbow of wigs Zion used to coordinate with his every outfit.

It took physical willpower and a slow count to five to get him inside.

Once inside, he couldn’t bear to touch any of Zion’s things, afraid that the slightest touch would begin the slow contamination of everything that made up his other life. It made it difficult to weave through his apartment until he made it to his bedroom.

He showered and changed into sweats, but Zion’s touch was heavy in his bedroom and bathroom, too, of course. Every spare space was covered with more makeup tools and cleansers and lotions than he cared to admit he owned right now. He skipped his normal routine of moisturizing and skin care that had become second nature to him, feeling guilty for not doing it, but also too afraid to do it, too.

It made him uncomfortable, but not for the reason he’d been expecting. He couldn’t escape Zion’s presence, Zion’s personality, and he didn’t feel like he deserved to be around Zion’s things as he was. It usually felt liberating, turning into Zion was often what got him through the day. Today everything relating to Zion was smothering, and he didn’t like it at all.

His chest grew tight and he had to close his eyes and focus on his breathing for over a minute before it stopped feeling like something was sitting on his chest. It was suddenly too much, and he couldn’t bear to be there for another minute or he knew he’d contaminate Zion past redemption. It wasn’t rational, and he couldn’t explain why he felt that way, but he did. He backed out of his apartment and closed the door behind him.

He instantly realized he was barefoot, but he couldn’t go back, not right now, not even for shoes.

The smooth, worn wooden floor was dusty under his feet as he walked to the courtyard. Without thinking about it too much he threw himself down on the worn leather couch, staring up at the soft, dirty chandelier, and above that, the night-dark sunroof. He sighed and closed his eyes. He was up again before he could stop himself, full of nervous, stress-filled energy he couldn’t control. He paced the courtyard for a moment, then decided to just go to bed.

His gut clenched when he got back to the door to his apartment with the sudden realization that he’d locked himself out. He tried the handle anyway, confirming that Zion was appropriately locked in, safe from his corruption. He sighed again, then rested his head on his door, eyes shut tight.

He headed towards the landlady’s apartment, but hesitated in the middle of the hallway. Ms. Stewart was maybe still up, and would unlock his door for him if she was, he just had to get there. The problem was, the apartment to his left stopped him like a physical barrier. He forced himself to pass it, but just a horror movie he found himself quickly turned around again, stopped in front of it.

What was it about Carlin that messed him up so much? He knocked.

What was he doing? Standing in the hallway barefoot, knocking on the man who drove him crazy’s apartment door after midnight on a Sunday night? He turned istanbul eskort away, but not before the door hinges squeaked open.

“D’metrius?”

“Oh, ah, sorry. Nevermind,” he dismissed, back still to Carlin. “Wrong door.”

Carlin snorted. “Sure, sure.” He didn’t move, couldn’t move. “Well, good night, then,” he said.

D’metrius swallowed hard, then pirouetted around quickly. “Wait!”

Carlin’s door was almost closed, but he stopped, pulling it just open enough for his head to peek through. “What’s up?”

D’metrius looked down at the pale, worn wood floor. “Oh. Um. I, ah. Um, locked myself out. Of my apartment,” he said, feeling beyond stupid.

“I’m sure Mary probably has a spare, she could let you in.”

“I, ah, nevermind. I mean, she’s prolly sleeping, it’s after midnight.” He looked at Carlin, meeting his eyes for a brief second before quickly turning away. His hair was sticking out of his man bun in a sexy-messy way, and D’metrius realized he might have woken Carlin up. “Sorry, I woke you up, too, didn’t I? Sorry, man, sorry.” He took a step back.

“You didn’t.” Carlin looked down. “You locked yourself out without even shoes?”

“It’s been a bad night,” he growled, suddenly angry with Carlin for no singular reason in particular.

“I can tell.” He didn’t say anything else, and neither did D’metrius. A tense moment passed.

“I should go,” D’metrius said when he couldn’t stand the silence any longer.

“Wanna come in?” Carlin asked at the same time.

D’metrius flushed, at first angry, but that deflated quickly into resignation. “If you don’t mind,” he replied, feeling sheepish.

Carlin pulled the door open and ushered him inside. D’metrius’s unit was a one bedroom with an open floor plan, hence how Zion dominated his living space, where as Carlin had a much larger apartment with a separate room for his dining and kitchen area. D’metrius stepped inside feeling like a child as he scanned Carlin’s home.

It felt like Carlin, and as dumb as it sounded, it was true. The room was filled with warmth, deep red and beige walls finished with beautiful cherry wood bookshelves, soft, overstuffed couches, and a coffee table that matched the bookshelves. The walls were adorned with abstract art that matched the room, and also a large TV.

D’metrius had never seen an apartment so tidy. Carlin shut the door behind him and he jumped. “I just realized you’ve never been here,” Carlin noted. “Make yourself at home. You’re welcome to sleep here tonight until Mary’s up for the morning, if you’d like.”

“Sleep with you?” he squeaked.

Carlin smirked at him. “I figured you might want the couch, actually. Not saying my bed isn’t available, just figured you’d feel much more comfortable on the latter. Believe what you’d like, but my intentions are pure.”

D’metrius scowled, crossing his arms over his chest. “I didn’t, I mean, whatever, man.”

Carlin snorted. “Would you want a drink or something?” Carlin asked, then turned away from him and moved to the kitchen area.

“Yeah, sure,” he agreed. Carlin returned with two glasses and an amber bottle of liquid with the label covered by his hand. Carlin opened the bottle and poured about two fingers or so of the amber liquid into the glasses before handing one to D’metrius.

He took it, careful to avoid touching Carlin’s fingers. The older man didn’t notice, or if he did, he didn’t pay it any attention. D’metrius sat down on the oversized armchair to the left of the couch he assumed he’d be sleeping on tonight.

At least it was comfortable, though he wasn’t sure he’d be able to sleep at all so close to Carlin. Was it possible to relax when surrounded by Carlin on all sides? Not likely.

He sniffed the liquid in the glass. Whiskey of some sort.

“What?” Carlin asked, sipping from his own identical glass.

“What’dya mean what?”

“You chuckled. Just wondering what made you chuckle.”

“I didn’t chuckle,” he said with a sniff.

Carlin snorted. “If you insist.”

A quiet second ticked by. “Just, it was pretty expected. I mean, for you to be a whiskey guy.”

Carlin raised an eyebrow. “Why’s that?”

“Um, well, just,” he said, flustered that he’d even said anything at all. “Just, you look like you could be a model for a whiskey advert, that’s all.”

Carlin sipped again, then shrugged with half a shoulder. “I dunno about that.”

More silence. D’metrius went to sip his whiskey, but was so nervous he ended up downing it like an oversized shot. It burned on it’s way down and sat in his stomach like angry shrapnel.

“Woah, slow down. That’s sipping whiskey, not shooting whiskey,” Carlin said, looking both amused and concerned at the same time.

D’metrius just bit his lip and held the now-empty glass between his legs, staring down into it so he didn’t have to look at Carlin. “I’m fine.”

“Mmm-hmm,” Carlin agreed with a chuckle. “Good thing you’re not going home tonight.”

“What’s that supposed to mean?”

“It was a joke!” Carlin escort mecidiyeköy exclaimed. “Like, you’re not driving, I mean, I wasn’t…” He sighed, then ran his free hand over his messy, tied back hair. “I can go back to my room and shut the door, if it would help. I wasn’t trying, like, I just wanted to hang out for a minute or something.”

“Hang out?” D’metrius blinked twice, then laughed. “You’re around your students too much, it’s rubbing off on you.” He looked up, enjoying the flustered look on Carlin’s face until he hid it again. D’metrius smirked. “Why do you even like me? I’m way outta your league.”

“Outta… What?!” Carlin frowned. “I’m not that bad,” he grumped, looking offended.

“What? I never said you were.”

Carlin sipped again before he met D’metrius’s eyes. “You said I’m outta your league.”

D’metrius’s stomach fluttered. “You are. I’m not even close.”

“You’re not… I don’t understand,” Carlin muttered. “I mean, I know I’m not into your scene, but I take care of myself and-“

D’metrius was feeling lighter, more relaxed, and more than a little buzzed. When had he eaten last? “Seriously? Carlin, you’re a trip.”

Carlin looked surprised, then hid it with another sip. How did he still have so much left? It looked like his glass was still as full as when he’d poured it. D’metirus looked down at his own glass with nothing but the faintest wheat-colored puddle at the bottom.

“You’re the one who’s outta my league was what I meant,” D’metrius clarified, finding it easier to talk to Carlin after downing hundred-proof liquor. He held out his cup, wordlessly asking for more. “Like, you can do much better than me.”

Carlin eyed it suspiciously, but he still picked up the bottle and uncorked it. “You sure you want more?”

“I can handle myself,” he snapped. Carlin shrugged and poured more sharp smelling liquid in his glass, but it was significantly less than the first time. He downed it all like another shot, knowing he’d regret this later but not emotionally under control enough to care or stop himself right now.

“How so?” Carlin asked, and he knew he was being baited, but it didn’t piss him off like it normally would. “Why do you think I’m out of your league?”

“Hmm,” he said slowly, drawing out the feeling of temporary superiority the conversation was giving him. “Well, you have a good job, you’re smart, and good with kids. You look super dignified-“

“Dignified?” Carlin cut in.

He snorted. “Yes, dignified.”

“With a man-bun and premature greying hair?”

“Oh yes,” D’metrius agreed. “You’re very hot.” Why had he said that? Carlin’s eyes darted down and he turned a pale pink just over the top of his beard. Carlin’s reaction melted his regret instantly, egged him on. Or maybe it was the alcohol. It didn’t matter which it was as his mouth kept on spilling his secrets. “You are, you know. Like I said, you could be a whiskey model.”

“Not true,” Carlin corrected, seeming to recover slightly. “I’m old, and-“

D’metrius snorted. “You don’t think I know how to spot a beautiful man?” He no longer wanted to control his mouth, not when his words made Carlin make all these adorable little reactions. His head felt light, and his heart did, too. It was a welcome surprise.

“I never said that,” Carlin noted, sipping again. D’metrius noticed his drink was finally a little lower. “I said I’m old. You said so yourself.”

“I was being mean,” he agreed. “But you are pretty easy on the eyes.” He smiled with half his face, watching for Carlin’s reaction.

Carlin scraped his teeth over his bottom lip as he thought about his response. “So, like, drag Queen beautiful? Would you wanna see me in drag?”

D’metrius rolled his eyes and sniffed. “As if. You’d make a terrible Queen Carlin. You’re a beautiful man, beautiful as a man. Not all of us are that lucky. I’m not normally into older guys, but you’re really stunning. Handsome-style beautiful, not Queen-style.”

“You don’t think you’re beautiful?” Carlin asked, too perceptive for his liking.

D’metrius frowned. “Zion is the beautiful one.” His good mood soured.

Carlin sighed. “You are Zion, dingus.”

He snorted. “Like I said, you’re around high schoolers too much. It’s rubbing off on you.”

“I’m not joking,” Carlin said. “You’re beautiful.”

“Zion is beautiful,” D’metrius corrected. “I’m boring.”

“You are Zion! You’re beautiful!” Carlin growled. “You are Zion. Zion is beautiful, and since you’re the same person, D’metrius is, too!”

Carlin’s outburst startled him enough to suck his good feelings away faster than a Dyson. He turned away and put the glass on the floor before pulling his knees up to his chest. “I’m boring, Kermit, that’s why Zion, I mean, right?”

Carlin sighed. “Back to the name calling, eh?”

“I have no idea what you’re referring to, Carlito.”

He didn’t have to look to know Carlin was rolling his eyes. A quiet moment passed before Carlin spoke again. “Of course not. So, why would you say I’m beautiful when you aren’t attracted to me?”

More bait. He turned back to Carlin and instantly regretted it when he was trapped by piercing steely eyes. “I didn’t say I wasn’t, uh, like, you’re attractive. Of course you’re, like, your eyes, your face, your body. You’re just… Who wouldn’t find you attractive?”

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

A Night Alone With My Thoughts

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Big Dicks

After a long day at work, I came home and went about my usual nightly routine. After all of that was done and out of the way, I felt I should allow myself some much needed relaxation. Of course, I needed a little more than just relaxation, but we’ll get to that later. So, I decided I would draw a bath.

I turned on the hot water, making sure it was just the right temperature. Then I grabbed my Jasmine scented Bubble Bath and poured it under the faucet. Watching the bubbles start to form I could already start to feel some of the tension slip away, just at the thought of sliding into the hot, bubbly water. So, while the tub was filling up I started to get undressed. First my shirt and pants, and then I undid my bra and slid off my panties. Then I pulled my hair up on top of my head in a bun. All that was left to do was light the candle, turn on some music and shut the lights off. The sum of all these things together is just what I needed. taksim escort The instant my body made contact with the mass of bubbles. ahhhhhhhhhh. Slinking down with the water up to my neck my body is now fully immersed.

It has been one of those weeks in work where I just wanted to disconnect myself from the world, listen to some good ol’ rock and roll and have a little ‘me time’. I believe that is something everyone is entitled to.

Lying there, feeling the warmth surround my body was all that I was looking for. I relaxed for a while and let my thoughts drift. All I could think about was you. I was thinking about all the things you have said that you want to do to me. How you have said you want to lick me, fuck me and do all sorts of naughty things to me. The thought of that alone is a complete turn on for me. Especially, the thought of things I have never done before.

My hands start to drift istanbul eskort downward. I’m thinking of how it would feel right now to have you licking my slit. How you would take your hands and spread her lips apart. Then you would lean down and take your tongue and lightly touch her. My hands are mimicking the motions I am imagining you would do. My legs are spread apart. My fingers of one hand are holding the lips of my pussy apart and my other fingers are rubbing in an up and down motion across her. If only it were you. I would give anything right now to have it be you and not just my imagination. My fingers start to probe her, explore her. I wonder how you would feel right now to know I was fantasizing about you. If you knew that I was fingering my pussy, imagining that it was you. Would that turn you on?

The more I run my fingers over and around my clit I feel myself longing for satisfaction. So, I rub her a bit faster. beşiktaş escort My other hand is now cupping my breast, pinching my nipple a bit. I can feel something building inside of me. My fingers are now moving even faster. As I am sliding up around my clit in circular motions rubbing her, probing her, I’m imagining that it is you. Faster and faster. Thinking also of how you would guide my hand down around behind me. As I do this, my other hand runs down my body and slides around to my ass cheek. My finger searches and finds the tiny pucker of my ass and I slide my finger inside. This sends a sensation through my body from head to toe. It is so tight it feels like it sucks my finger inside. Slowly I probe my hole while I am rubbing my clit feverishly. Ohhhhhhhhh Ahhh Ah Ohhh this feels so good. Ohhh I can feel you now, your tongue sucking on her pulling at her a bit, fingers moving inside of me now. Faster, that’s it, right there, you know the spot. I can feel that I am about to cum. Suddenly, I feel my pussy tighten around my fingers and my hole tighten around my other finger. Clenching my legs together, feeling the pulse of my pussy. I lie there in the water and giggle a bit to myself. Oh, how I truly wish it were you.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Early Morning Sunshine

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bdsm

I open my eyes to realise I am in a sunlit room on a white bed, the sheets crumpled up in one corner barely covering my naked form. I can feel the sun warming my skin. The door creaks open and I see him walk in. I don’t know who he is but I do notice his chest. Bare and catching the sunlight. He walks towards me as I take in more of his naked body, my eyes linger over his thighs, sleek and powerful as they bring him towards me.

He crawls onto the bed over me, bringing his face close to mine. A soft kiss and then he cuddles into me, his head on my chest as he lowers his body onto mine. The weight of him is oddly comforting. I can feel his manhood resting on my leg. I run my hand down his strong back arousing a small moan. I continue my single handed massage as I feel him starting to harden. Thinking about what is to come is causing a stir in my own loins. I caress his face and pull him towards me. I lean in for another kiss; his lips on mine feel so natural. I could really get used to kissing this fine specimen of a man.

I gasp as he places his hand on my leg. He slowly runs it up my flesh; I shiver with desire knowing where his manly hand is going. Higher and higher his hand is moving while his tongue explores my mouth. Never before have I been kissed by beyoğlu escort bayan a man, never has a man explored my body as he is now.

I realise I am hard with anticipation, I want his hand on my cock, I want to experience this forbidden pleasure. He pauses on the tops of my thighs; I can sense his hand near my manhood mere seconds before I feel the firm grip encircling me. His first tentative strokes bring forth a groan of deep longing from me.

We break our kiss as I inhale deeply, feeling him squeezing me. He kisses my face and trails down my neck. I know where he is headed and I know I want this more than anything else.

But he has different plans. He knows I am completely at his mercy. He circles my nipples with his mouth, alternating between them. As he centres on each nipple he quickly strokes my cock and then backs off again, just holding me, teasing me. He keeps heading south; his kisses are more passionate, lingering upon my torso. He has reached his goal.

I beg him, “Please, please take me in your mouth, I need you to suck it.” He hovers above me, his tongue tantalisingly close to my sex. I run a hand through his hair, I try to guide him onto my cock but he’ll have none of that. He grips my istanbul escort bayan cock in one hand as he licks from my balls to the head of my swollen cock. I groan in ecstasy, I am putty in his hands. He repeats the manoeuvre over and over. I writhe on the bed.

Finally he takes me into his mouth. I feel his lips around me, warm and wet against the throbbing, burning hot flesh of my sex. I feel absolute pleasure as he takes more and more of me into his mouth. I look into his eyes and he stares into mine. I can see the pleasure he is getting from pleasing me. He isn’t doing this because I want him to; he is making love to me because it gives him joy.

I know I won’t last long under his ministrations. He kicks it up a notch, I feel him run a hand up my thighs towards my most sacred of spots. He lubes up a finger and I feel him gently pressing against my ass. Bobbing on my dick, he presses in as he swallows my cock, my ass parting as he probes me gingerly. His knuckle pushes past my tight ring; he is deep inside me as my cock is deep inside his mouth. He finds my prostate, and with a gentle rub he calls forth a gush of precum.

He pulls off my cock long enough to smile at me, the look in his eyes shows a burning urge for my cum. I merter escort bayan know I am close already, the combination of his finger in my ass and his mouth on my cock are doing extraordinary things to me.

Working in tandem, his mouth and finger work a treat on my pleasure centres. My ass clenches trying to keep his probing finger inside my wanting hole as he pulls out. His mouth has made my cock slick with his saliva. I feel it running down my shaft and over my balls, lubricating his finger further.

He penetrates me deeply, faster and faster. My cock is practically a hose of precum, filling his mouth. I can feel my orgasm building, he knows exactly where and how to touch me.

I run my hands through his hair as my cock begins to pulse. He opens his mouth further, my cock in his throat as his tongue massages my throbbing shaft. I arch my back. A moment of silence falls upon us as I feel the cum boiling from my tight balls and my cock starts pumping. I explode in his mouth.

It feels like I am emptying everything from my balls into his mouth. He just keeps sucking and working his finger inside me as my orgasm overwhelms me.

After what feels like ages I stop twitching from the pleasure and look down. My cock is still in his mouth and I can see my cum dribbling from his lips. Finally releasing my cock he crawls up next to me again and leans in for a kiss. I can smell myself on him. And I taste my salty cum upon his lips and his tongue as we embrace. The sun is still streaming in the window as we collapse together, cuddling and kissing as lovers do.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32