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Casino RoyalJ’étais à un tournoi de poker Texas Holdem dans la région de Charlevoix où il y avait au total à peu près 500 participants. La cotisation d’entrée était jaugé à 1000 dollars. Étant un jeune joueur semi-professionnel amateur. Je me considérais comme un poisson assez agile pour éviter les gros requins puis les bons joueurs très fortunés. Même si je perdais un peu plus souvent qu’à l’habitude ces derniers mois. Je manquais seulement d’expérience et il fallait habituellement débourser beaucoup d’argents pour en acquérir. Alors pour entrer dans les bourses et ainsi pouvoir rembourser une partie de mes dettes d’études non achevées. Je devais terminer dans les cinquante premiers et espérer me rendre jusqu’à la dernière table. La première position était évaluée à 125 milles dollars ajouté d’un bracelet de champion. La seconde à 95 milles dollars et ainsi de suite en decrescendo. Mon parcours s’arrêta malheureusement à la 67iem places. Pour finalement me retrouver au bar et réfléchir à ma situation financière précaire. Lorsqu’une femme d’un âge avancée vint s’asseoir tout près de moi…Doreen – Salut…Moi c’est Doreen…T’as envie de discuter…Moi – Oui…Si vous voulez…Doreen – Alors…Je vois que tu as une carte d’accréditation du tournoi…Çà a bien été…Moi – Oui…En quelque sorte…Mais je devais terminer dans les cinquante premiers pour entrer dans les bourses…Je me suis fais éliminer à la 67iem position…Doreen – Ah…Dommage…Est-ce que je peux payer ton prochain verre…Pour te donner un peu de réconfort…Moi – Si vous voulez…Doreen – T’as quel âge…Moi – 23 ans…Doreen – Wow…Si jeune…Je te croyais plus vieux…Toujours aux études…Ou bien…Tu travailles…Ou bien…Le poker c’est ton travail…Moi canlı bahis şirketleri – Non…Le poker c’est juste un défi personnel…Je joue des parties en ligne aussi…Je travaille comme disquaire à Rimouski dans le Bas-Saint-Laurent… Mon patron ma donné dix jours de vacances pour pouvoir participer à ce tournoi…Doreen – Ah bon…Tu loges à l’hôtel…Ou bien…Moi – Étrangement…Dans une auberge de jeunesse…Je repars demain matin en passant…Doreen – Il te reste d’autre jours de congés…Moi – Le tournoi avait une durée maximale de trois jours…Alors il me reste six autres jours à ma disposition…Doreen – Ah…Et monétairement parlant…Çà va…Moi – D’une certaine façon…Doreen – Et si je t’invitais chez moi…Pour y passer la nuit…T’en aurais envie…(La madame me caressant tout doucement la cuisse gauche en me regardant droit dans les yeux)…Moi – Ok…Si vous voulez…Mes perceptions envers elle étaient plutôt amicale que charnelle. Même si elle était habillée d’une façon séduisante. Ma situation financière lui ayant peut-être titillé un peu le bout des mamelons. Doreen était une femme âgée de 61 ans. Pas très grande mesurant 5 pieds 3 pouces. Plantureuse avec un léger surpoids. Aux cheveux longs noirs et aux yeux bruns portant des lunettes. Avec une forte ressemblance à Glenn Close. Sa poitrine tombante était énorme. En plus de porter un parfum subtil et sublime. Elle était habillée d’un pantalon rose pâle et d’un chandail noir marqué de points blancs. Par intuition et à force de l’observer. J’étais résolu à croire qu’elle avait envie de se faire mettre par un petit jeune fauché en l’absence de son mari. On étaient maintenant chez elle dans sa petite maison conviviale. À discuter au salon canlı kaçak iddaa avec un verre Manhattan chacun à la main…Doreen – Mon mari est conducteur de camion remorque…Il devrait être absent pour le mois…Moi – Ah bon…Doreen – Il est quand même assez baraqué…Il mesure 6 pieds 3…Pèse 265 livres…Toute une pièce d’homme…Toi…Tu dois faire dans les 5 pieds 5…5 pieds 6 environ…Et 140 ou bien 150 livres…Moi – 5 pieds 6…Et 146 livres…Doreen – Mon mari est plutôt obèse…Tandis que toi…Je dirais…Assez musclé…(Le disant en me regardant de bas en haut)…Tu t’entraînes…Moi – Je fais des arts martiaux de façon régulière…Doreen – Ah bon…Doreen semblait de plus en plus nerveuse et enthousiaste à mes côtés. Assise sur le divan ses jambes étaient agitées. Elle caressait son cou par moment. Elle était visiblement en manque de sexe. Je pouvais sentir l’odeur de sa chatte mouillée tout près. Elle me faisait de l’effet. Ma tige était dressée dans mon pantalon. Elle s’était changée entre temps pour porter en ensemble de nuit plus léger de couleur bleu marin. Dénué de brassière ses gros seins plats semblaient dévier sur les côtés. En plus de s’affaisser presque au niveau de ses hanches…Doreen – Monétairement parlant…Tu m’as répondu d’une certaine façon…Çà va de ce côté ou bien…Moi – Disons que je m’en sors…Sans pour autant en faire une déprime…Doreen – Ah bon…Alors ta petite copine…Elle est…Moi – Je suis célibataire…Doreen – C’est ce que je croyais…Je ne le fais plus vraiment avec mon conjoint…On parles depuis plus d’une heure déjà…T’aurais envie de te taper une vieille grand-mère…Moi – Ah…Aussi directement que çà…Doreen – T’en as envie…Tu veux que je te donne combien canlı kaçak bahis pour me fourrer…Moi – Heu…Enfin…Je sais pas trop…Doreen – Je t’intéresse…Je le vois bien dans tes yeux…Donne-moi un chiffre…Moi – Je dirais…Deux cents dollars…Ce ne serait pas trop…Doreen – Viens dans mon lit…J’ai envie de me faire bouffer la chatte…Doreen était une chaude tigresse comme je n’en avais jamais vu. Une fois déshabillés rapidement tous les deux. Elle m’a fait une fellation agenouillée de plus de dix minutes en début d’hostilité. Pour ensuite bouffer sa vieille chatte grise dégoulinante de cyprine. Odorante, rosée et pulpeuse à souhait. Elle voulait se faire défoncer alors je lui donnais à fond en levrette dans sa vulve mouillée. Ma tige avait 5 pouces de longueur en érection avec un diamètre d’un pouce et demi. À l’inverse de son mari qui avait un énorme 8 pouces selon ses dires. Doreen aimait ma fougue au lit. Elle était prête à y passer la nuit à le faire dans toute les positions possibles. Elle était endurante et très prenable sur un bureau. Elle aimait se faire prendre sur le côté dans la positon de la pieuvre. Elle me chevauchait d’une cadence soutenue et rapide. Son odeur corporelle était tout à fait alléchante. Elle adorait se faire téter le sein comme si j’étais son nouveau né. Sa grosse poitrine était aussi flasque et molle que des mitaines de four. On le faisaient comme Victoria Abril dans Reykjavik 101. De la cyprine coulait vers l’intérieur de ses cuisses. Elle jouissait et me disait Oui fourre moi…Oui fourre moi…Mes frustrations monétaires me donnait juste envie de la remplir à nouveau. Fait à noter que le matelas de son lit était spacieux et très confortable. Elle ouvrait ses jambes tel les ailes déployées d’un aigle. Avec ses mains agrippées sur mon fessier pendant que je la besognais en missionnaire. Elle se faisait entreprendre telle Annette Bening dans American Beauty. Je n’étais apparemment pas son premier jeunot à tomber dans ses filets.