Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
Les délices du télétravailC’est devenu fréquent ces temps-ci : ma femme Karine et moi sommes en mode télétravail depuis un mois et demi. Certains s’en plaignent : pas nous ! Une fois que l’on maîtrise bien les outils numériques, c’est même le paradis. Elle et moi travaillons nus. Il faut juste passer une chemise pour les visioconférences, avec certains collègues. Karine travaille dur, plus que moi. Elle fait des horaires à rallonge et ne manque pas d’autorité envers ses subordonnés… et son mari ! — Stéphane, à genoux sous le bureau, ordonne-t-elle d’un ton qui n’admet pas de réplique. Masse-moi les pieds, dépêche-toi ! J’obtempère. Tant pis pour le rapport que j’étais en train d’écrire. Ma boss attendra. Avant de plonger sous le bureau, je récupère le flacon d’huile d’argan pour le massage des petons de ma douce et tendre. Et aussi le vernis, pour des ongles parfaits. Il me faut m’appliquer. Avec Karine, c’est une heure minimum. Si elle illegal bahis est contente, elle me permettre de retirer ma cage pénienne afin de me branler entre ses plantes de pieds. Mais là, c’est quand elle est très très satisfaite du travail réalisé. Alors, je m’applique, un pied après l’autre, doucement. Elle ronronne comme une chatte : c’est bon signe ! Puis elle écarte les cuisses et exige : — C’est bien. Maintenant, suce-moi la chatte ! Pendant ce temps, elle rajuste son maquillage, puis démarre une visioconférence avec un important client. Elle se débrouille toujours pour que la webcam ne filme que son visage et non pas le reste de son corps totalement dévêtu. Sous le bureau encombré de fils, j’avance à quatre pattes et glisse ma langue dans le sillon de sa vulve. Tous les parfums de sa féminité s’exhalent pour mon plus grand bonheur. Elle resserre les jambes afin d’emprisonner ma tête ; de plus, elle pose sa main autoritaire illegal bahis siteleri derrière ma nuque, au cas où j’aurais l’intention de dégager avant qu’elle m’en donne l’autorisation, ce qui serait assurément une très mauvaise idée. Le clito est là, je le sens, humide et salé, bien sensible, et tout excité, il dépasse déjà son fourreau. Je balaye l’organe du plaisir de haut en bas et de bas en haut avec une ardeur amoureuse. Karine, pendant ce temps, s’exprime comme si de rien n’était, dans un anglais parfait, alors que son bassin se tortille d’aise. Elle est au bord de l’orgasme. Elle écarte brusquement les cuisses, et att**** ma tête à pleine mains, les pieds posés sur les accoudoirs de son fauteuil. Souvent, elle agit ainsi au moment de la jouissance. Ma langue vrille encore et encore le petit bouton des délices. Mais elle est obligée de taire sa joie sexuelle, à cause de ce mystérieux client anglophone qui ne voit que son canlı bahis siteleri visage. Même au septième ciel, elle parvient toujours à préserver les apparences. La réunion est finie. J’attends ma récompense pour le travail bien fait. Mais au lieu de cela… — À genoux sur le bureau, aboie-t-elle. Le popotin bien relevé, cambré, les jambes légèrement écartées. Gentille fifille. N’oublie pas que ton cul m’appartient, ajoute-t-elle en ajustant son gode-ceinture autour sa taille, et que j’en dispose comme je t’entends. Commence par sucer, pour lubrifier. Regarde, j’ai acheté en ligne en nouveau gode : il est bien plus long et gros que l’ancien et va te défoncer de troufignon jusqu’au fond de tes tripes. Ça, je ne risque pas de l’oublier, suis-je en train de penser tout en me mettant en position de soumission pour le chevillage, alors qu’elle m’attache les poignets derrière le dos. — Au fait, ajoute-elle, j’ai perdu la clé de ta cage pénienne. On va devoir attendre le déconfinement pour aller chercher la clé de secours chez ta mère, et à cette occasion, je lui montrerai les progrès que tu as fait dans le domaine de la soumission aux femmes. Nous allons bien nous amuser, tous les trois.