Catherine et les sortilèges – 5

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Catherine et les sortilèges – 5Episode 1 : https://fr.xhamster.com/stories/catherine-et-les-sortil-ges-1-994580Episode 2 : https://fr.xhamster.com/stories/catherine-et-les-sortil-ges-2-1004436Episode 3 : https://fr.xhamster.com/stories/catherine-et-les-sortil-ges-3-1007313Episode 4 : https://fr.xhamster.com/stories/catherine-et-les-sortil-ges-4-1017999Catherine sourit quand elle reçut, le lundi matin, un message sur son téléphone :GrégoireJ’ai passé un excellent week-end, on recommence quand tu veux.CatherineOui, c’était agréable. Tu fais ressortir des aspects cachés de ma personnalité…GrégoireJe préparerai un pique-nique, à la prochaine occasion. En attendant, on reste discret au boulot.Elle estima qu’il s’agissait de sa part d’une marque de délicatesse. Les collègues peuvent être de vraies concierges quand ils s’y mettent et ne serait-ce que les voir déjeuner ensemble régulièrement aurait tout de suite fait jaser. Elle tenta de se concentrer sur son travail mais les courbatures des fesses et des cuisses, la sensation de brûlure dans son vagin ne cessaient de lui rappeler le déchaînement libidinal des deux jours précédents.Le soir venu, à peine avait-elle eu le temps de se servir un rafraîchissement que l’on sonna à la porte. Catherine s’en étonna. Elle n’attendait aucune visite. Méfiante, elle jeta un rapide coup d’œil à travers le judas. Elle reconnut sa voisine du dessus et lui ouvrit aussitôt la porte.-Bonsoir Madame Caron, dit Catherine.-Bonsoir, vous allez bien ? Je ne vous dérange pas ?-Non, non pas du tout.-Oh ce ne sera pas long ! Vous m’avez bien dit que vous collectiez les bibelots ?-Oui des objets anciens.-Regardez ce que j’ai trouvé !Catherine sentit des picotements dans la nuque. Sa voisine lui tendait à bout de bras une statuette en bois représentant un démon priapique qu’elle ne connaissait que trop bien.-Qu’est-ce qu’il vous arrive ? Vous êtes toute pâle…-Non, non je vais bien, dit Catherine. Où l’avez-vous trouvée ?-En descendant les poubelles, devant la porte du local. Je me suis dit que ce genre de truc vous plairait. Vous le prenez ou pas ?-Oui dit Catherine en saisissant la sculpture.-Bonne soirée ! dit Madame Caron sans demander son reste.-Oui, bonne soirée répondit Catherine.Après avoir posé la statuette sur la table basse, elle s’assit sur le canapé pour réfléchir. Elle était persuadée de l’avoir jetée dans une des bennes à ordure de l’immeuble. Quelqu’un l’en avait sortie ? Ou bien… Les indices s’accumulaient : des fantasmes étranges et terriblement réalistes, un poltergeist porté sur la sodomie et un petit démon en bois voyageur. Catherine ne se souvenait pas d’avoir fait preuve pendik escort de superstition depuis l’enfance mais elle commençait à croire à une véritable manifestation surnaturelle. Un phénomène de possession. Persuadée que, si elle cherchait de nouveau à s’en débarrasser, la statuette se vengerait de la plus horrible des manières, elle se dit qu’elle devait chercher de l’aide. Elle allait trouver un spécialiste qui la débarrasserait de la malédiction. Faire appel à un représentant du Très-Haut pour combattre le démon ! La tâche s’avéra moins facile que prévu mais elle finit par obtenir un rendez-vous dans une église de sa paroisse, le jeudi suivant.Le mardi, Grégoire l’invita à aller voir un film policier américain. Dans l’obscurité de la salle, ils échangèrent un long baiser fougueux. Catherine, dans l’ivresse du désir, posa sa main sur la braguette bombée de Grégoire. Celui-ci lui chuchota à l’oreille que, si elle continuait sur ce rythme, ils se retrouveraient rapidement dans les toilettes du cinéma, ce qui ne lui déplairait pas, tout en faisant remarque que, tout de même, il avait bien envie de voir le film. Ils se calmèrent pour une durée des plus courtes. Juste après la séance, Catherine suivit Grégoire dans un parking. Il se déplaçait habituellement au travail en voiture de fonction mais, ce jour-là, il avait pris son propre véhicule, un luxueux 4×4 de marque allemande. « Cela paie quand même bien, responsable informatique, pensa-t-elle. De pire en pire… Voilà que je deviens vénale ! » Grégoire lui ouvrit la portière et, en prenant place à bord, elle apprécia le confort du siège en cuir. Une fois son collègue assis, elle reprit son petit manège, stimulant de nouveau l’entrejambe de celui-ci.-Où en étions-nous ? demanda-t-elle.-Décidément tu es affamée, ce soir, répondit-il.-J’ai envie de sentir le goût de ta bite sur ma langue.Elle joignit aussitôt le geste à la parole, extirpant la verge du pantalon pour en lécher le gland, tout en allumant Grégoire du regard. Il la saisit par les cheveux. Elle fit mine de résister, à peine, puis l’engloutit. La queue de Grégoire se raidit un peu plus. Il poussa un soupir, s’abandonnant à la délicieuse fellation. Au moment où il sentit le point de non-retour quasiment atteint, les vannes de ses couilles au bord de la rupture, Catherine se détacha de lui.-Garde des réserves pour tout à l’heure, dit-elle. On va chez toi ?Grégoire démarra. Il roulait vite et le couple se retrouva en peu de temps au pied de l’immeuble. Ils profitèrent de l’ascenseur pour se peloter, Grégoire caressant les seins de Catherine. Quand ils franchirent la porte de l’appartement, escort pendik le chemisier de la jeune femme était largement déboutonné.Grégoire vivait dans un trois pièces beaucoup plus spacieux que le modeste cagibi de Catherine. Dans la salle de séjour, un ensemble Home Cinéma dernier cri trônait entre deux étagères remplies de DVD et de disques blu-ray.« Laisse-moi deux minutes, je passe aux toilettes » dit Grégoire. Quand il revint, Catherine n’était plus dans la salle de séjour. Il la retrouva dans la chambre. Elle était installée à quatre pattes sur le lit. Elle avait retiré son chemisier et sa jupe et ne portait plus qu’une paire de bas noirs accrochés à un porte-jarretelle de la même couleur. Ses cuisses écartées, ses reins creusés, mettaient en évidence sa croupe charnue. Grégoire pouvait voir sa chatte en détail, les lèvres fines, fermes et roses, l’ouverture perlée de mouille, la fronce de l’anus, au-dessus. Catherine le regardait, la tête penchée sur le côté. Elle avait gardé ses lunettes, sachant que cela l’excitait. « J’ai été une très vilaine fille ce soir, punis-moi » dit-elle d’une voix rauque tout en avançant une main entre ses cuisses. Grégoire, très excité avait baissé son pantalon. Il se branlait doucement tout en s’approchant du lit. Il tendit l’autre main et la rabattit doucement sur une des fesses de Catherine. « Plus fort ! » dit-elle. Cette fois, un claquement retentit et elle poussa un petit cri de plaisir. « Encore ! » Il s’exécuta. Sur la fesse de Catherine, il voyait la trace rouge de ses doigts et ce spectacle le rendait fou de désir. Impossible de poursuivre ce petit jeu plus longtemps. Grégoire saisit un préservatif dans le tiroir de la table de nuit, en déchira l’emballage avec les dents et enfila l’étui en latex sur son sexe rigide qu’il plongea aussitôt dans la chatte trempée de Catherine. Il la saisit par les hanches pour la ramener vers lui. Il voulait la saillir sauvagement, s’enfoncer en elle à grands coups de reins, la faire hurler. Elle jouit très vite, en criant et se tordant. Ses jambes tremblantes ne pouvaient plus la soutenir et elle se laissa tomber sur le lit. Grégoire se coucha sur elle et la pilonna avec vigueur, jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour. Ils se laissèrent quelques minutes pour souffler, dans la position de la cuillère. Catherine cependant, insatiable faut-il croire, s’empara de nouveau de la queue de son partenaire, bien vite érigée, la guidant vers son sexe. Ils baisèrent pendant pratiquement toute la nuit.Les autres jours ne furent pas plus calmes : Catherine passait ses soirées à se masturber en imaginant sa vie au bordel, multipliant, dans pendik escort bayan ses rêveries, les ébats et les orgies furieuses. Aussi se présenta-t-elle à l’église ce jeudi-là dans un état de fatigue déplorable. Elle avait prétexté d’une migraine pour quitter le travail plus tôt et sa chef, voyant sa mine, lui avait conseillé de se reposer. Dans la rue, elle portait des lunettes noires pour masquer les larges cernes sous ses yeux. Elle les retira quand le Père Anselme l’accueillit. C’était un homme grand et sec, d’une soixantaine d’année, d’une attitude humble et bienveillante. Il se présenta et, après lui avoir proposé de s’asseoir, lui dit d’un air inquiet :-Vous avez parlé d’un besoin d’assistance spirituelle à notre secrétaire. Vous savez j’ai perdu l’habitude de prodiguer des conseils, dit-il en souriant. On ne fait plus appel à nous que pour les trois grands événements de la vie.A la suite à cette phrase, devant le peu de réaction de Catherine, il crut bon de préciser :-Les baptêmes, les mariages et les enterrements. Mais je vous en prie, dites-moi ce qui vous amène.-Par où commencer… Il faut que je vous dise que, jusqu’à ces derniers jours, je menais une vie très tranquille et puis j’ai acheté cette statuette chez un antiquaire que je connais bien. Elle représente une créature grimaçante et obscène, avec des cornes et des pieds fourchus, un peu comme le Diable… Et depuis que j’ai cet objet en ma possession, je suis poursuivie par des pensées obscènes, je me livre à la débauche…Le Père Anselme fit un petit geste de la main pour l’interrompre :-Catherine, êtes-vous célibataire ?-Non. Enfin, si, j’ai disons… un ami.-Lui en avez-vous parlé ?-Je n’ai pas osé. Mon Père, je crois que je suis possédée, que des démons viennent me rendre visite la nuit…-Pensez-vous que vos fantasmes pourraient être d’origine psychologique ?-Oui bien sûr, c’est une possibilité.-Il faut que je vous explique certaines choses, Madame. Des films comme l’Exorciste ont exalté l’imagination du public mais, en tant que prêtre, je ne suis pas habilité à chasser le démon. Les hommes d’église ne sont pas des charlatans. Le Diable, pour tout vous dire, ne se manifeste pas directement, il agit par l’intermédiaire de nos pulsions. Avant de pratiquer un exorcisme, il nous faudrait recourir à des procédures longues et complexes. Nos directives, et la Raison même, me dictent de vous renvoyer vers votre médecin traitant qui comprendra mieux que moi votre trouble et saura vous guider.Le prêtre se leva alors et raccompagna Catherine, un peu hébétée, jusqu’à la porte. Il ajouta pour finir :-N’oubliez cependant pas le pouvoir de la prière. Dieu n’est pas mort, il nous écoute encore !Sur le chemin du retour, Catherine se sentit plus abattue que jamais. Son médecin traitant ? Tu parles ! Il lui avait juste prescrit des somnifères. Personne ne pouvait donc l’aider ?

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