Cousins…, cousines, tante (3)

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Cousins…, cousines, tante (3)Cela faisait maintenant un bon moment que ma chère cousine ne parlait plus…Lunettes de soleil sur le nez, elle semblait s’être endormie.Ayant toujours son bas-ventre en vue, mais je ne pouvais rien voir, puisque elle était là, étalée en amont de moi. Je remarquai ses jambes plus largement ouvertes et offertes que d’habitude. J’échafaudai un plan, qui me permettrait de visualiser ma première chatte… Enfin. Je me levai et allai en direction de la douche, afin de me rafraîchir… Passant devant elle, je jetai un œil innocent à son entre-jambe, semblant de rien. Je n’osai m’attarder, au cas où, de derrière ses verres fumés, elle serait en train de me surprendre. Ses cuisses étaient pourtant assez largement écartées, au point de pouvoir recevoir tout un bataillon de légionnaires lubriques… Pourtant, ses maudits poils m’empêchaient d’apercevoir quoi que ce soit… Au retour, je décidai de m’attarder plus longtemps devant elle, au risque d’être surpris.Non… Il n’y avait rien à faire, sa foret vierge était aussi drue, qu’une giclée de sperme entretenue par Onanisme.Déçu, j’allai m’étendre sur ma couche, lorsqu’un grognement me fit sursauter… Rebecca, se leva et jeta ses lunettes à terre, fort énervée :« Bon…, tu ne vas pas me pister la chatte à chaque fois que je décolle les genoux… ! .. On dirait que tu n’en as jamais vue !!! Suis-je bête…, mais c’est le cas, puisque tu es puceau ! .. Tu me fais l’effet d’un obsédé sexuel en manque de victimes. ! .. Allez…, on va crever l’œuf dans l’abcès…, ou le contraire ! »Je la vis arriver vers moi et redoutai le pire. En quelques instants, je me promis à moi-même, de ne pas rendre les coups, galanterie oblige.Pour la calmer, je lui lançai :« Mais non, avec tes poils on voit absolument rien…, promis !!! »Arrivée à hauteur de mon visage, elle leva une jambe, m’enjamba et posa le pont de ses jambes à moins de dix centimètres de mon nez.Les doigts de ses deux mains, agrippèrent d’énormes touffes de poils et la porte de sa salle de jeux pour adultes s’ouvrit devant mes yeux ébahis.La première chose qui me sauta au visage…Enfin si je puis dire, ce fut un énorme éperon de chair, emmêlé dans deux grands draps de satin couleur rosée, descendant vers l’antre miraculeux et débordant avantageusement de ses grandes lèvres.L’humidité qui se dégageait de son antre à prépuces, m’enivra d’une nuée d’effluves odorantes et sucrées, me rappelant le vendredi, lorsque maman faisait “moules-frites”. J’étais au paradis, lorsqu’une voix grondante et tonitruante me sortit de ma léthargie :« Voilà…, ça te va, là…, prends des photos, des notes, imprime même si tu veux…, mais arrête de me pister comme une bête curieuse… ! .. Bon !!! Je peux refermer ma boite de Pandore ? »Elle leva une jambe et pivota, me retirant cette vue sublime. Elle allait s’éloigner, lorsque se ravisant, revint en arrière et repassa une jambe au-dessus de mon nez, mais de dos, me montrant ses fesses. Se cambrant en avant, posant ses mains le long de son sillon rhodanien, écarta impudiquement sa raie fessière, afin de me soumettre la vue d’une énorme rondelle éventail d’un rose bonbon encore jamais sucé… Elle n’hésita pas à commenter son action :« Ah oui…J’allais oublier…, peut-être, serais-tu intéressé par la vue d’un trou de balle bien ouvert… ? .. Ainsi pour ta prochaine branlette, tu pourras rêver d’éjaculer à l’intérieur d’un trou du cul plantureux ! .. Si le cœur t’en dit, tu peux goûter…, d’ailleurs, sauf erreur de ma part, dans cette position tu peux lécher les deux entrées… ! »Etant surpris par son franc-parler, je poussai ses fesses en dehors et elle alla s’étendre comme si rien ne s’était tekirdağ escort passé. Elle remit ses loupiotes fumées, et se tut… Une demi-heure plus tard, elle commenta la position du soleil et décréta qu’il était l’heure de profiter du panier que sa mère nous avait préparé. D’un bond félin, elle se leva, me sourit comme si nous étions dans une soirée mondaine…, alors que nous étions nus comme des vers, et qu’elle venait de m’exhiber tout son attirail sous le nez. Je regardai s’éloigner son petit cul…Elle se retourna et dodelina de la tête en soufflant très fort : « Damned J am pris ». Je plongeai, yeux fermés, dans les bras câlins de Morphée…Je fus réveillé par une douce voix :« Eh ben, dis donc…, tu as bien dormi…, excuse-moi, j’avais à faire dans la salle de bains ! »Rebecca était de dos et posa un panier débordant de victuailles près de moi. Elle se retourna, et une énorme chatte me sauta au visage… Elle s’était épilée complètement, et, pour la première fois, je régalais mes yeux d’un sexe de fille sans entrave quelconque. Elle bougeait tout le temps, ne me laissant pas le temps de remarquer les détails… Puis, comme si elle s’apercevait pour la première fois que j’étais intéressé, elle revint placer son mont de Vénus devant mes yeux et dit :« Allez…, vas-y…, rince toi l’œil, je sais ce que c’est d’être jeune !!! »La vue de cet amalgame de chair rosée, autant que mystérieuse, me mit dans un profond émoi… Elle ne manqua pas de s’en apercevoir.Bloquant son regard sur mon bas-ventre, elle sursauta d’étonnement :« Mazette…, quand tu bandes, tu ne fais pas semblant, t’es sûr que tu n’es pas hors-normes, toi ? .. Je plains les pauvres chattes que tu vas dépuceler ! »Je finis par débander, quand nous nous assîmes en tailleur de chaque coté de ma chaise longue servant de table. Nous fîmes un déjeuner extraordinaire. Dans la cuisine, elle lavait pendant que j’essuyais… Elle remarqua que sur la trace du maillot, des rougeurs suspectes présageaient de graves coups de soleil et me promit de me soigner cela lorsque je serai de nouveau étendu. Lorsque la vaisselle fut terminée, elle me fit une demande :« Dis Julien…, tu veux bien que je t’embrasse avec la langue…, ma mère me l’a déjà fait, mais ça doit pas être pareil avec le sexe opposé… ! .. Je voudrais que tu me dises si je roule bien les pelles ? »J’aurais eu mauvaise conscience à refuser et fit oui de la tête… Elle se colla le pubis contre le mien et ses lèvres vinrent asticoter les miennes. Heureusement, j’avais le d****au en berne et mon sexe, en reprenant son envol, se coinça entre ses cuisses, le dos contre le sillon de sa chatte chauve. Sa mère devait être une femme d’une très grande expérience et une pédagogue accomplie. Après moins de cinq secondes, je pensai que j’allais pouvoir soulever ma cousine rien qu’avec ma queue. Certainement qu’elle avait ressenti l’intérêt que je lui portais, car ses cuisses s’écartèrent un peu plus et elle glissa sa fente sur le dessus de ma hampe en miaulant comme une bête blessée. Sans en avoir l’air, son bassin commença à osciller d’avant en arrière, me procurant des sensations jusque là inégalées par mes nombreuses branlettes solitaires. Au bout de quelques frémissements, une douche chaude et abondante, me noya tout le bas-ventre et dégoulina sur mes testicules… Elle desserra les lèvres pour s’excuser :« Excuse moi, Juli…en, ooohh, mais je mouille beaucoup trop… ! »Ne voulant pas être en reste, moi :« Euh…, non, ce n’est pas grave…, tant pis ! »Ses dents enserrèrent ma langue, et m’obligèrent à la sortir à l’extérieur…Elle se mit à me la sucer telle une bite en érection… Des süleymanpaşa escort décharges électriques envahirent toute mon âme…, donc, ma queue et mes couilles. Elle me lâcha un instant, et grommela :« Tu sais, si tu veux, je peux faire la même chose à ton sexe…, maman m’a montré en le faisant à mon majeur… ! .. Et si tu craches dans ma bouche, ben…, c’est pas grave ! »Moi, abruti, débile profond, et âne d’Abyssinie :« Oh non Reb…, nous sommes cousins, ça ne se fait pas…, ce serai un i****te… ! »Avant de me lâcher les fesses qui lui servaient de prise, toujours à cheval sur le dos de ma bite, elle se remit deux ou trois coups de ma longueur et sans dire mot, s’éloigna. Je réécoutais les conneries que je venais de dire, et faillis me claquer la tronche sur un angle de mur.Je la rejoignis prés de la piscine, elle avait remis ses lunettes et ne m’adressa plus la parole, au moins pendant trente secondes. Elle se leva, vint s’agenouiller près de moi, avec un flacon d’ambre solaire. Elle me demanda de me coucher sur le ventre, je sentis le liquide parfumé à la noix de coco s’écouler sur mes fesses. Ses mains étaient d’une douceur infinie, elles virevoltaient, tels des oiseaux de paradis sur ma chair intime. Lorsqu’elle entreprit l’intérieur de mes cuisses, elle me frôla de plus en plus les testicules, puis remontant, ses doigts enduisirent de miel l’intérieur de ma raie et, délicatement, passèrent semblant de rien, sur mon humble anus. Elle me demanda de me retourner… Avant d’obéir, je lui fis part de mon érection et elle haussa les épaules en signe de manque d’intérêt… Je me retournai, et lui soumis mon invalidité passagère… Elle étouffa un rire et reprit une dose de produit massant. Elle commença par le haut de mon pubis et, assez vite, descendit sur le haut de mes cuisses, évitant sagement mes organes génitaux exacerbés. Mais peu à peu, la polissonne se rapprochait de mes réservoirs… Par contre, ma verge ne la gênait en rien, puisque droite comme un I. En glissant, sa menotte enveloppa malgré elle une de mes prunes et Rebecca me susurra :« Qu’est-ce qu’elles sont grosses…, on voit que tu n’as pas vidangé depuis longtemps… .. Tu ne veux pas le faire devant moi, j’aimerais bien voir comment font les garçons ? .. Sinon, je peux essayer, moi…, tu sais, ça aussi ma mère me l’a expliqué… ! .. Et puis tu pourras me diriger…, allez, s’il te plaît, Julien ! »Elle me fit une moue à dépuceler une bite de cheval à distance… Comment refuser ?Je me pris en main et commençai la danse des coucougnettes… Rebecca n’en perdait par une image, les yeux grands ouverts, elle s’approcha à moins de vingt centimètres du bout de ma bite… De temps à autre, sa main libre passait nerveusement entre ses cuisses… L’autre, placée sur mon ventre, descendit dangereusement vers mes couilles. Elle me regarda, attendant la permission… Qui ne dit mot, consent… Elle m’enroba les oisillons et s’extasia devant leur velours et leur douceur. J’allais bon train, mais gêné d’expulser devant ma parente, je ralentis, pris de remord. Devinant mon désarroi, elle me remplaça d’un revers de main et enroba mon champignon avec une incroyable délicatesse. Les premiers mouvements, furent un peu confus… Mais très vite, son feeling féminin prit le dessus et je me mis à aboyer comme un vulgaire chacal dans la nuit désertique.La main qui me chatouillait les fondements accéléra aussi et, pour être sûre de bien voir sa première éjaculation, ma cousine eut l’imprudence de diriger vers son beau visage, le gland prêt à s’exprimer dans la seule langue qu’il connaisse…, c’est-à-dire, l’éjaculation. J’allai l’avertir, mais şarköy escort à la place de mes avertissements, un grognement rappelant le cri d’un marcassin à sa première branlette, sortit du fond de ma gorge, me cambrant, j’approchai d’autant plus le bout de ma bite du visage angélique de mon infortunée cousine. Je fermai les yeux, et expulsai ma première fournée… Puis la deuxième arriva très vite…Contre toute attente, la main secourable qui m’aidait à satisfaire les locataires de mes testicules, ne mollit pas et finit par me faire arriver aux non moins honorables saccades, délicieuses et libératrices. Je finis par ouvrir les yeux sur le visage de Rebecca. Cette dernière, toujours fixant mon méat, ne finissait pas de s’extasier… Puis, elle m’adressa un petit sourire coquin, et me fit un clin d’œil :« Je suis contente…, j’ai bien réussi, mais maman m’a toujours dit que ce n’était pas la mer à boire et que c’est pour cela qu’elle n’hésitait pas, dans ses fellations, à avaler le sirop… ! .. Ben…, on voit qu’elle ne t’as jamais sucé…, waouh…, j’en ai plein le visage et ça dégouline partout sur ma main et mon bras ! »Levant les yeux, je fus horrifié par l’abondance de crème s’étant figé sur son minois, des cheveux jusqu’au menton. Je m’en excusai, mais elle me signifia qu’elle en était heureuse et qu’elle se sentait femme, grâce à cela… Elle finit par me les lâcher et alla se doucher, en me conseillant d’en faire autant, vu que mon ventre et mes cuisses ressemblaient à un marécage. Je la rejoignis sous les traits d’eau revigorants, et elle se colla à moi…Après un long moment, elle murmura à mon oreille :« Merci…, aucun garçon n’a voulu de moi jusqu’à ce jour…, à cause du fait que je n’ai pas de poitrine, de toute évidence, toi, ça ne t’as pas empêché de jouir… ! .. Et j’en suis heureuse. ! »Elle resta collée à moi, ses mains me frottèrent le bas-ventre, à la recherche de la moindre trace de sperme.Puis, elle me saisit les breloques en pleines mains et commenta :« Elles sont vraiment grosses, hein…, j’ai l’impression qu’elles sont aussi lourdes qu’avant… ! .. Tu ne serais pas déjà plein de jus de couilles bien chaud ? .. Je vais mettre ta bite contre ma chatte et te frotter contre jusqu’à ce que l’on jouisse ensemble… ! ..Qu’est ce que tu en dis ? »Ce n’était pas vraiment une question, saisissant ma queue déjà en goguette, elle appliqua mon bout contre son clito, la faisant gémir… Puis me coinça entre ses cuisses, et me saisissant les fesses, elle commença à nous masturber tous deux. Son visage plongé dans mon cou, elle promenait ses lèvres sur la peau sensible de ma gorge. Sa main libre, se baladait avec aisance sous mes couilles, à la recherche de points sensibles, qu’elle trouva sans peine. L’eau dégoulinait sur nous, mais cela ne m’empêchait pas de sentir que sa mouille brûlante m’enrobait la bite, tendue à l’extrême. À chaque fois que mon gland passait devant son entrée féerique, il accrochait, mais in extremis, ne rentrait pas, cela était suffisant à elle et à moi pour nous faire grogner telles des bêtes aux abois. Me cajolant les pruneaux et sans décoller sa bouche, elle me précisa, en feulant :« Ahhh…, non…, je peux pas la faire rentrer maintenant…, je suis en pleine ovulation… ! .. C’est pour cela que ma chatte pleure comme une fontaine…, désolée… ! .. À moins que tu veuilles être papa… ! »Je lui saisis ses petites fesses de gamine, et en trois coups de reins, je nous terminai tous les deux… Elle m’urina dessus, dès que mon sperme lui lacera la vulve grande ouverte… Elle feula telle une tigresse… Elle me mordit le lobe de l’oreille à l’en faire saigner. Elle me finit les saccades à la main, me faisant juter sur son clito. Un fois assouvie, elle me glissa dans l’oreille :« Y a peut être du jus de couilles qui a pénétré dans mon trou…, tu seras peut-être papa ! »Elle explosa de rire, et plongea dans la piscine… Je la rejoignis et nous batifolâmes comme des gosses…, sauf quand elle me tirait par la bite…

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