Reconnaissance à une Putain

Anal

Reconnaissance à une PutainJe conçois qu’on nous enferme dans la catégorie des veules et deslâches. Un mâle est prêt à tout pour obtenir une femelle. Depuislongtemps je convoitais la femme de mon meilleur ami. Je savais ce genred’infidélité et de frasques assez banal et pour le coup sordide. Je nepensais pas qu’un jour je m’abaisserais à un si bas étiage. On devraitêtre plus humble. Les abjects ne sont pas si loin des nobles. Je fus cejour-là une canaille. Pour ma défense la miss en question n’était pas enreste. Je lui savais une réputation sulfureuse. Elle déployait à touségards et partout sa toile d’araignée.J’étais mortifié que d’autres familiers de l’entourage eussent joui sansscrupules des faveurs de la belle. N’avais-je pas sermonné maintes foiscelle-ci clamant qu’elle se déshonorait autant qu’elle humiliait sonmari ? L’air effronté et le sourire sardonique elle me toisait. Sonargument était toujours le même. « Tartufe tu n’en penses pas moins.Turêves autant qu’eux à me sauter. » me jetait-elle. Elle touchait eneffet à un point délicat. J’avais du mal à me débarrasser de la penséecoupable que j’exprimais davantage de la jalousie qu’une réellecompassion pour mon ami cocu.Une femme ne se trompe guère sur celui qui la désire. Tout est dans lesregards et les mimiques. Étrange ballet silencieux dont il est un jeu desurprendre les méandres. Le fin observateur dans un salon aime àdécouvrir l’intrigue qui se noue. Tout est chatteries et faux-fuyants.Le jeu de dupes n’est jamais loin. Une garce allume à tout-va et le faitmachinalement semblable à cet astre qui prodigue autour ses rayons. Leshommages muets, les regards éloquents et les sourires point équivoqueslui sont le miroir de son vice et de ses pouvoirs. Elle réclame desesclaves.Reine d’une ruche j’en étais le bourdon dédaigneux. Elle me percevaittel un nouveau Frolo, prêtre et censeur hypocrite. Elle me savait assezlâche pour ne pas révéler tout au supposé meilleur ami. Je me contentaisde ronger mon frein et de lui jeter de temps à autre, des regardsdésapprobateurs. Elle s’en faisait un jeu. Elle poussa un jour laprovocation lors d’une soirée à me donner rendez-vous près de l’endroitoù s’amoncelaient les autos. Je n’eus que le temps de la voir s’éloigneravec un type. Je crus qu’elle avait oublié notre engagement et lessuivis tous deux.Bien mal m’en prit. Le bon sens et la probité m’adjuraient de rebrousserchemin et de ne suivre leur couple. Je pus ce soir-là mesurer l’état dedépravation où cette créature m’avait mené. Ils allèrent peu loin. Ilss’installèrent dans un véhicule appartenant sûrement à l’homme.J’observais que celui-ci était garé à une encablure de la fête et qu’unlampadaire éclairait en sorte la scène. En effet à l’abri d’un bosquet àune trentaine de mètres j’eus le temps d’observer. Ils s’embrassaientimpunément. Je vis la tête de la garce disparaître. Il n’était guèredifficile de deviner l’objet de la manœuvre.Le type avait une tête d’ahuri, bouche ouverte et yeux exorbités.J’avais parlé il y a une heure avec cet imbécile. C’était un client dela boite et que mon ami avait cru devoir inviter ce soir-là. J’avaistémoigné à la miss tout mon mépris pour lui. Je comprenais trop tardqu’elle avait voulu m’humilier en se débauchant avec lui. En effet iln’était pas rare qu’en un soir maints mâles la sautassent. J’étaisfurieux ne parvenant à arracher mon regard de ce spectacle. Peu aprèsils sortirent pour s’installer à leur aise sur la banquette arrière. Onvoyait les pieds de madame s’agiter. L’effet était comique.Je parvins enfin à rompre le charme et m’éloignait. Je vidais impunémentquelques coupes de champagne. Mon humeur était sombre. J’eus du mal àfaire bonne contenance lorsque l’ami vint me joindre manifestementheureux. J’étais bolu escort abasourdi qu’il ne vit à quel point il était la riséede tous et que sa femme au su de tous le trompait avec le premier venu.Tristesse et colère se mêlaient en moi. L’ami me demanda si je n’avaisvu sa femme. Je fis un gros mensonge. Je l’avais vu monter aux étagesavec une amie. Pouvais-je dénoncer un client ? Celui-ci nous importaittrop.Je vis son visage s’illuminer, il venait de découvrir sa femmedescendant de l’étage. On eût cru quelle avait voulu accréditer monmensonge. Elle confirma qu’elle s’était là-haut changée et rafraîchie.Je concevais que toute l’eau de la Terre n’eût pas suffi à effacer sasouillure. Son visage était chargé d’un sourire méchant à mon endroit.Son mari l’adjurait de me dérider et que j’avais ce soir-là une minetrop morose. Elle affecta d’obéir me prenant le bras. Elle glissa àl’oreille. « Pardonnez je me suis souvenu de notre rendez-vous tandisque j’allais avec un ami au jardin. ».Elle fit un salut vers le fameux client, à présent son amant. Celui-ciétait en conversation avec son mari proclamant à celui-ci qu’il n’avaitdepuis longtemps passé une si bonne soirée. La garce fit vite de sedébarrasser de moi. Un homme de loin lui faisait signe. Je trouvaisinconvenant qu’elle me lâchât si vite. Le type avait des façons desoudard et elle d’une catin. On se fut cru dans un bordel. Elle disparutdans la nuit. Ils se jetèrent ensemble dans l’obscurité du jardin,bordel et haut lieu de perdition. De toute façon chacun savait etrigolait qu’on y forniquât à tout-va.Je n’attendis pas la fin et disparus à mon tour. La tête me pesait. J’aitoujours eu le vin mauvais. Autant aller cacher au loin mon dépit et moninfortune. Depuis ce soir-là j’étais assuré qu’elle voulait me punir etse moquer de moi. J’eus cette pensée terrible que n’importe quel hommese pouvait vanter de l’avoir sauté sauf moi. N’était-ce pas cette idéequ’elle voulait ancrer en moi ? Je pourrais dorénavant raconter qu’iln’y avait que le train qui n’eut passé dessus et que j’étais dedans.Je résolus de la fuir un temps. La seule victoire en amour n’est-ce pasla fuite disait Napoléon ?Le hasard voulut qu’un matin convoqué dans le bureau de mon ami, ellefut là. Elle venait souvent au bureau afin de lui parler de sesemplettes et lui montrer sa dernière toilette. Elle y avait aussiquelques amants. Je savais que dans le parking du coin certains nedédaignaient pas d’user d’elle au fond d’une voiture. Ce jour-là elleétait ravissante. Je frémis à ses cuisses serties de bas noirs. Elleportait assez court pour qu’on put s’aviser de beaucoup de choses. Monami n’y trouvait rien à redire. Un escarpin balançait au bout d’un pied.Geste qui ne semblait destiné.Un moment l’ami s’absenta. Nous pûmes avoir un propos substantiel. Elleme fit observer que depuis le fameux soir je semblais l’éviter. Faisantétalage de ma mauvaise humeur, je lui confirmais son diagnostic. Ouij’étais écœuré au suprême qu’elle cultivât des façons de putain.J’hasardais pour une fois crûment le terme. Elle n’en parut ni offusquéeni bouleversée. Au contraire elle sourit ajoutant : « Le cave serebiffe. Tu me plais dans de tels états. Serais-tu un homme, un vrai ? »Elle écarta à cet instant ses cuisses afin que je pus lui distinguer saculotte.Je l’avais vu faire ainsi maintes fois à l’égard d’hommes assis en faceà elle. Je vis ce que ceux-ci avaient pu reluquer. Sa culotte étaittransparente en sa base inférieure. Elle semblait saturée comme gorgéed’un trop de sexe. De sa chatte on distinguait de rares poils pubiens.Ceux-ci à son goût ajoutaient sûrement quelque chose de sale et devicieux. Elle semblait vous inviter à rouler dans la fange. Je ne pusréprimer une violente érection ce dont escort bolu elle semblait se réjouir. J’étaishonteux de cet effet obtenu. Elle triomphait. Triste pantin, j’étais àl’aune des autres.Avec un ton soudain empli de gravité et enfonçant ses yeux dans lesmiens, elle dit alors: »Je ne comprends pas tant de résolution àrésister à la tentation. Tu es le mec le plus stupide et malheureux queje connaisse. » La putain disait vrai. Loin de consentir à ma défaite jepersistais en un puéril combat d’arrière-garde point tant héroïque. Mavertu était minable et surjouée. Personne ne me serait gré d’avoirépargné une putain. J’eus du comme un chacun me servir. Les filles derue sont à la portée de tous. Il ne faut leur accorder point d’importance.Elle m’offrait sans vergogne sa chatte. La décence eût requis qu’ellereferma un moment ses cuisses ouvertes. Son mari ou un autre pouvaient àtout instant entrer dans le bureau. Pour prévenir un possible scandaleet sans doute par lâcheté je tins à me camper face à elle pour faireécran afin qu’on ne vit tout. La voix haletante je débitais des proposconfus. Je disais notamment : « Il faudrait repartir de zéro. Monintention n’a jamais été de vous être hostile. J’ai été victime de monorgueil. Vous avez raison. Vous n’êtes point une si mauvaise personne.Je suis un sot. »Je vis qu’elle concevait mon discours insincère : bouillie et baratin.Elle réclamait davantage et notamment des actes. Elle se leva pourpartir. Elle n’avait pas envie d’attendre le retour d’un mari. Elles’approcha soudain jusqu’à me frôler. Je perçus sa cuisse brûlantecontre la mienne. Ses yeux beaux et profonds versèrent dans les miens.J’entendis ses mots. « Je vais te donner un prochain rendez-vous. Nousnous y tiendrons l’un l’autre. » Je baissais la tête. Je compris que jene pourrais y déroger. On ne peut fuir un duel et l’heure du destin. Jene me déroberais pas.Je n’attendis pas longtemps. Ce fut d’abord un SMS lapidaire qui netolérait qu’on lui refusât. « Je t’attends à 13H15 sur le parking duCarrefour. » Ce parking était peu loin du bureau. Ce choix ne me disaitrien qui vaille. De toute façon je la savais toquée et provocatrice dansses manières. Tel un supplicié auquel on eût attachés les pieds et lesmains j’allais au rende-vous. Je reconnus de loin sa BMW garée vis-à-vis de deux poids lourds. L’un d’eux adressa un appel de phares endirection de sa voiture. Elle l’avait du le chauffer en attendant. Unebelle entrée en matière.Mo sang ne fit qu’un tour. Je n’ai jamais pu me départir d’une vastejalousie la concernant. Elle ne pouvait s’empêcher d’exciter un mâlebien qu’elle eût rendez-vous avec un autre. Elle en perçut à ma mine, lereproche. Cela sembla ajouter à sa bonne humeur. J’étais à cran. Elle mevoulait furieux et inexorable. Elle me fit signe de la rejoindre. Onprendrait son auto. Elle conduirait. Elle fit signe au cochon du camion.Elle triomphait. « Tu vois chérie tu fais un jaloux. Il sait que je vaiste sucer et que ce ne sera pas sa queue. » Je goûtais peu son étalage devulgarité.Elle se gaussait de moi tandis que je la rabrouais. Je n’en jetais pasmoins un coup d’œil par-derrière pour peu que le gars du camion eût idéede nous filer le train. Elle n’eut pas dit non de l’associer à nos jeux.Au bout de quelques minutes, je lui demandais le but de cette course. Ilme parût bientôt que nous échouerions sur les berges du canal propiceaux ébats et où tant de couples forniquaient. Des collègues m’avaientconfié s’être amusés là-bas avec elle. J’étais vexé de marcher dansleurs pas. Elle me marquait par là que je n’étais qu’une bite parmi tantd’autres.La garce néanmoins se fit chatte avec moi affectant un ton modeste commede repentir. Elle convint qu’elle avait surjoué avec moi et que sesméchancetés bolu escort bayan avaient dépassé sa pensée. Bref elle voulait faire la paixet que je me dénoue rapport à elle. Finissant son propos, sa main déjàétait parvenue à cet endroit du pantalon où une femme a intérêt àcaresser et réveiller la bête. Je vis avec dépit que mon sexe nem’obéissait plus. Il était incommensurablement durci. Il criait qu’on lelibérât. Avec dextérité elle ouvrit la braguette et fit surgir la têtede mon dragon.Elle reprit flegmatiquement son propos tout en me branlant. Sous lecharme de sa voix et l’emprise de sa main, je fermais les yeuxm’abandonnant enfin. Je capitulais sans effort. Je trouvais vaindésormais mes anciennes défenses. Tout cela n’avait été qu’un masque, unvernis de vertus et de principes sots. J’étais démasqué. Invétéré cochoncomme les autres. Penché sur moi, je caressais ses cheveux tandisqu’elle suçait. Elle faisait cela avec le plus grand sérieux. Telle uneprofessionnelle, elle mettait un point d’honneur à satisfaire le clientque je représentais.Il était indubitable qu’elle se délectait à singer la prostituée. Mamain se pouvait hasarder en tous ses orifices. Ne me retenant plusj’écartais le fil du string et fourrais mon doigt dans son cul. Ce gestene l’émouvant point dut lui paraître naturel. Elle interrompit enfin safellation. Sourire barrant son visage, elle dit : « T’es bien pourvu monsalaud. T’aime ma bouche ? Je ne veux poursuivre davantage. Tu seraiscapable de lâcher la purée et me frustrer. » Elle m’invita à passer surles sièges à l’arrière. Là relevant la jupe elle me dit de la fourrerpar-derrière. Levrette est truc de chienne.Elle dut m’exhorter pour la prendre avec plus de vigueur et moins deconsidération. Elle cria : « Vas-y ! Baise-moi ! Crois-tu que les autresse gênent ? » Ce dernier point acheva de m’irriter et de mener là oùelle voulait. Ainsi en vins-je à des coups de boutoirs vengeurs. Toutessortes de jurons déferlèrent sur elle. Le mot de putain revenant sanscesse. Peu loin dans les fourrés je perçus des ombres. On devait compteravec les inévitables voyeurs. Je perçus que cela l’excitait. Elle finitpar dire. »Mignon, encule-moi !. Je prends du lourd tu sais. « Jeparvins à entrer aisément.en son culSon anus dévorât en sorte toute ma bite. Sorte d’autoroute que nombre degueux comme moi avaient du emprunter. Je ne me reconnaissais plus. J’envoulais allais-je dire pour mon argent. Je songeais un instant quej’avais supplanté le camionneur de tout à l’heure et que je lui devaisde profiter de cette salope. J’étais devenu une entité bestiale. M Hydeavait pris le pas sur Dr Jekkyl. Enfin je lâchais ma purée dans le fondde son cul. Elle m’en sut gré. Elle n’en exigea pas à moins à sucerencore et à laver cette bite dans sa bouche. Elle exultait, ravie.Un peu penaud j’hésitais à la regarder et lui répondre. Elle avait gagnésur toute la ligne. Elle fumait à présent tranquillement. Son visageétait apaisé. Elle semblait transportée en un rêve fort loin de moi. Cesilence après la furie singulièrement m’indisposait. Nous étions l’un àl’autre étranger. Je ne fus pas étonné qu’elle me demandât qui j’étaiset faisais dans son véhicule. Au loin dans les broussailles on percevaitle départ de tous les voyeurs s’étant rincés l’œil. Leur présence nem’indisposait plus. Il était surprenant que je m’habituas si vite àtoutes ces circonstances.Heureusement sur le chemin du retour elle prit l’initiative de laconversation. Elle badinait à présent. Toute agressivité entre noussemblait s’être enfin évanouie. Nous étions bons copains. Cettedisposition à moi-même était devenue naturelle. Je ne me forçais pas. Aucontraire l’homme ancien que j’étais il y a encore une heure, meparaissait maintenant aberrant. Manifestement j’avais toujours joué unrôle. Cela m’avait rendu malheureux et elle en un instant m’avaitaccouché : âme nouvelle et heureuse. Je ne pus m’empêcher de le lui diredans un sourire et par un simple mot : Merci.

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