Rencontre au jardin (7)Martine appréciait, les coups de langues rapides qui lui fouillaient la chatte. Elle aimait beaucoup , quand il écartait un peut plus les lèvres de ses gros doigts rugueux et que sa langue entrait plus profondément. La position de Marc n’était pas très confortable et avec l’âge il eut vite mal au dos. Il se releva, balança sa cote à bretelles dans un coin et lui montra d’un doigt sa bite.-Suce moi encore, même si je ne bande pas, cela me fais du bien. Mais avant je vais mettre ce paillasson en coco sur la table. Tu te posera dessus, cela te gratteras les nichons pour exciter plus encore.Sans un mot, elle releva son torse pour qu’il glisse ce vieux gratte pieds, il prit a pleine mains ses nichons et les frotta sur la paillasse, aussitôt les bouts grandirent et durcirent. Il se plaça devant elle, de l’autre coté de la table étroite. Elle ouvrit sa bouche toute grande et englouti la bite et se mit à la mâcher. Lui attrapa le tapis et le fit naviguer de droite a gauche sous les seins, les bouts frottants le poil de coco rêche. Son mouvement du cul se fit plus rapide et elle joui en hurlant et cracha la bite en disant.-Il faut arrêter, j’en peut plus de jouir, mais c’est trop bon.Il rangea la pioche, lui servit un grand verre de vin rouge.-Tient bois, cela te donnera des forces. Il sorti du placard un saucisson, du pâté et du pain. Allez à table on va goutter. güvenilir canlı bahis siteleri Elle s’assied sur la vieille chaise paillée, restée nue, les nichons rougis. Elle le regardait, les yeux brillants avec un petit sourire.-Comment va ma salope. Lui dit-il-Bien mon vieux salaud. Je crois que je t’aime, toi.-Non, Martine, tu ne m’aimes pas, tu t’aimes comme tu es tout simplement. Allez mangeons, la journée n’est pas finie.-Mais comment je vais faire ce soir pour venir te rejoindre, Thierry et les gosses vont rentrer de chez mes beaux parents. Et le soir, il regarde la télé tard.-Tu n’aura qu’à lui préparer un bon petit repas, bien arrosé, il dormira mieux. Tu devrais rentrez chez toi maintenant, il est dix sept heures et ils vont revenir. Elle se leva, bu une dernière gorgée de vin rouge, lui tendis ses lèvres. Lui glissa sa main entre ses jambes, entra facilement un doigt. Elle est déjà prête à recommencer, pensa t il. Une claque sur le cul la fit sursauter.-Allez, sauve-toi !******Marie s’était levée en pleine forme, elle descendit à la cuisine complètement nue. Aujourd’hui’ hui, elle avait décidé de passer au nudiste. Elle ouvrit la fenêtre, poussa les volets, les seins à l’air sans se préoccuper, si on la voyait. De toute façon, avec la haie devant, c’était difficile, à part le passage pour aller au garage et le coté vers la voisine. Et puis elle s’en güvenilir illegal bahis siteleri foutait. Ses gros nichons tombaient sur son ventre. Ses gros tétons étaient souvent tendus et raides, c’était gênant des fois, sous un tee-shirt, les regards des hommes s’arretaient là, celui des femmes aussi quelques fois. Ses fesses fripées avec l’age était encore jolie. Son ventre pendait un peut trop et cachait une partie de son sexe haut. C’est vrai que toutes les femmes ne l’ont pas tous aux mêmes endroits. Certains sont bien en entrejambes voir sur l’arrière, d’autres devant, elle s’était devant et plus haut. Elle pris un bol de café noir sans sucre. Une biscotte, qui se cassa en deux et qui tomba sur ses cuisses. Elle ramassa les morceaux. Aujourd’hui, je vais rester chez moi à faire le ménage, et rester à poil, il faut chaud, pensa t-elle. Elle commença sa vaisselle, puis aller et venir le chiffon à la main. Un coup de balai et en s’accroupissant pour ramasser son tas de poussière. Elle écarta plus les jambes et la balayette lui toucha l’interieur de la cuisse. Elle frissonna. Elle prit un seau d’eau, la serpillière et le balai brosse puis commença à laver. Elle s’arreta rapidement, posa le balai et se mit à genoux sur le sol, la serpillière à la main, elle se mis à laver le sol. Ses nichons pendaient et ballottaient dans les sens du mouvement. Cela commençait güvenilir bahis şirketleri à l’exciter, elle cambra plus son cul et se prit à rêver que quelqu’un arrivait par derrière pour la prendre. Hélas, elle était seule, mais la position avait excitée Marie. Par la fenêtre ouverte elle entendit de voiture. Elle se releva, jeta un coup d’œil, le bruit s’arréta, rien devant chez elle. C’était chez la voisine, elle se pencha par curiosité et aperçu la femme sortir de sa voiture, elle était en robe légère à bretelles. Elle ferma sa porte à clé tout en regardant alentour et aperçu Marie, les seins à l’air qui se penchait par la fenêtre. Elle lui fit un signe de la main. Merde, elle l’avait vu à poil, elle se recula précipitamment dans la cuisine.Pas vraiment honteuse, se montrez à poil, elle s’en foutait, mais ici dans le village, cela pourrait faire jaser, voir plus. Elle repris son travail au sol, mais cette fois debout avec le balai-brosse.Un coup de sonnette, la fit sursauté alors qu’elle venait de terminer son ménage et voulait passer au repassage.-Qu’es-ce-que c’est dit-elle derrière la porte.-C’est Josette votre voisine, vous auriez pas un reste de beurre des fois.C’est bien la première fois en deux ans, qu’elle vient chez moi, pensa t-elle.-Si je vais vous en chercher. Elle prit du beurre dans le frigidaire, enfila son peignoir et ouvrit la porte.-Je m’excuse de vous déranger, mais j’ai pas envie de faire les courses aujourd’hui. Elle rentra et ferma la porte derrière elle. Marie la regarda surprise de la voir entrer comme ça chez elle.-Je vous dérange peut-être ?A suivre, si vous le souhaitez… et merci de vos encouragements et commentaires. Et surtout n’oubliez pas de voter