Stéphanie de femme fidèle à chienne _3Cette histoire est une fictionChienneQuand je rouvre les yeux, ma chambre est baignée de lumière. Pendant de longues secondes, je pense avoir rêvé la journée d’hier, mais cette présence entre mes fesses ne trompe pas. Le plug qui envahit toujours mes intestins me rappelle comment je me suis comportée.Paulo n’est pas allongé à côté de moi et les draps sont froids. Il doit être parti. Je suis de nouveau libre. Je me lève et vais dans la salle de bain pour effacer les traces de sueur et de sperme dont je suis toujours recouverte. Je retire le plug et me nettoie en profondeur. Chaque fois que mes mains remontent sur mon cou et rencontrent mon collier, j’ai une décharge électrique qui remonte du creux de mes reins. Je suis sur mon petit nuage quand les portes de la cabine de douche s’ouvrent. Paulo est là, il est nu. Immédiatement, mes yeux plongent sur sa queue déjà fièrement dressée.— Mon sac à foutre est enfin réveillé. Ça tombe bien, j’avais besoin de m’alléger les couilles.Il se jette sur moi. Je me retrouve écrasé au fond de la douche, son gros ventre s’enfonce sur le mien et me coupe le souffle. Sans perdre un instant, il se saisit de mes cuisses qu’il ouvre en grand. Sa queue dressée pointe à l’entrée de mon vagin et le transperce d’une seule et puissante poussée.— Oh ! Putain ! Tu me déchires !Paulo me gifle. Il sort de moi et me retourne. D’une main il me plaque le visage sur le carrelage pendant que l’autre s’enfonce dans mes reins pour me forcer à me courber et à tendre mes fesses vers lui.— Ma chienne se rebelle. T’as déjà oublié à qui tu t’adresses ? Je vais te rappeler ta place !Son gland se présente devant mon anus et pousse pour entrer. Après une nuit à porter un plug, il n’a aucun mal à me transpercer avec son obus de toute sa longueur. Ça ne m’empêche pas de pousser un cri quand il arrive tout au fond de moi.— Pardon monsieur. Je ne recommencerais plus.— Je vais m’en assurer, tu peux me croire. Je vais t’éclater le cul, tu vas pas marcher droit de toute la journée.Il sort du creux de mes reins pour s’y propulser avec un peu plus de forces. Il me pilonne avec une fougue démentielle, je me retrouve vite écrasée entre lui et le mur. Je suis réduit à l’état de simple trou qui se fait fourrer et je n’arrête pas de gémir. Je suis incapable de prononcer un mot, je ne peux m’empêcher de laisser ressortir le terrible plaisir que cet a****l me donne. Où est passée la femme fidèle, si propre sur elle ?Après un long moment à me pilonner, Paulo se fige au fond de mon anus qu’il remplit de nouveau avec son sperme. Son éjaculation terminée, il me tire avec lui, sa bite toujours plantée en moi. Il me traîne avec lui jusqu’au milieu de la salle de bain pour récupérer le plug qui retrouve sa place entre mes fesses.Il abat une main sur mes fesses— Allez, sors de là et va me faire à manger. J’ai la dalle. Ça creuse de dresser une chienne.Le déjeuner fut à l’image du repas de la veille. Je l’ai passée sous la table à le sucer. Son désert fini, il recule sa chaise, une main dans les cheveux pour me tirer avec lui. Il a besoin de place pour baiser ma bouche comme si c’était mon vagin. L’expérience est toujours aussi intense pour moi, il m’élargit méchamment les mâchoires. Je n’arrête pas de saliver et de pousser des gargarismes obscènes. Il s’arrête juste avant de cracher tout son sperme au fond de ma gorge. Il se lève et m’amène jusqu’à mon assiette.— Assaisonne-la.C’est à moi de le branler et de le finir, je dois être celle qui arrose mon repas de son foutre. Je n’hésite pas un instant. Je referme mes doigts autour de sa bite et je l’astique avec énergie. Il soupire de plaisir en me fixant de ses yeux sombres, pelotant sans vergogne ma grosse poitrine tombante. Quand je le vois grimacer, je comprends tout de suite que son éjaculation monte. Je dirige son gland vers mon assiette qui se retrouve recouverte d’une crème épaisse. Avant de pouvoir manger, j’accomplis la fin de mon devoir et nettoie consciencieusement son sexe.Je passe le début d’après-midi agenouillée devant lui, ma poitrine écrasée sur la table basse pour lui permettre à la fois d’admirer mes fesses tout en regardant la télé. Régulièrement, il pose une main sur mon cul, l’écarte, m’envoie une claque bien appuyée.— Ça te plaît ma salope de vivre avec ton gros cul plugué ?— Oui, monsieur.— Tu préférerais pas avoir mon obus à la place ?— Bien sûr, monsieur.— Si tu insistes. Je vais bien m’occuper de ton cul de chienne.Paulo descend de la banquette, retire le plug et s’enfonce sans délicatesse au fond de mon cul. Il empoigne mes hanches et se lance dans un pilonnage intense en me couvrant d’insultes. Il exprime toute sa bestialité. Je gémis, je crie, j’exprime mon plaisir d’être malmenée de cette façon, d’être soumise à ses pulsions. Il ne se calme que le temps de se vider au fond de mes intestins avant de me reprendre avec la même force.Quand pour la troisième fois de suite il se plante au fond de mon cul pour jouir, je suis emportée par un orgasme terrible qui me fait plonger dans l’inconscience.Je me réveille une heure plus tard dans mon lit. Un homme en blouse blanche et aux cheveux grisonnants est assis dans l’un des fauteuils de la chambre. C’est un docteur. Il récupère son stéthoscope et vient m’ausculter et me demander comment je vais. Je suis complètement épuisée, mais pour le reste je me sens bien si on fait exception du picotement dans mon anus.Son examen terminé, je vois apparaître Paulo. À leur façon de parler, je comprends qu’ils se connaissent de longue date et que Paulo a appelé Thierry, le docteur, après que j’ai fait mon malaise.— Elle va bien.— Pourquoi elle m’a claqué dans les mains comme ça??— Elle est très loin d’être aussi jeune et en forme que les chiennes que tu as l’habitude de dresser. Il faut que tu apprennes à la ménager un peu plus. Accorde-lui un peu de repos entre chacune de tes saillies et ça n’arrivera plus.— Ça veut dire que je peux pas la ramener dans mon camp pour l’y faire tourner ?Thierry sourit de toutes ses dents.— Si, tu peux, mais il faut que ça dure moins longtemps et que tu espaces les séances. Mais de ce que tu m’as dit, ce n’est pas encore pour tout de suite, tu veux la dresser encore pendant une semaine.— Oui.— Dans ce cas, je viendrais tous les jours pour vérifier si elle va bien et pour te donner le feu vert.— Cool. Et comment on fait ? Je te remercie comme d’habitude ou tu veux que je t’en trouve une autre.— Non, elle ira parfaitement. Un peu de nouveauté me changera aussi.Thierry serre la main de Paulo et me dit à demain avant de partir. Désormais, je connais mon programme pour les jours tekirdağ escort à venir et sûrement le restant de mes vacances. Paulo va me garder pour lui et parfaire mon dressage avant de me livrer à d’autres hommes pour des trios et plus encore et il m’offrira à son médecin pour le remercier de ses services.— Allez, lève-toi et va nous faire à manger.— Je vais devoir passer le repas sous la table, monsieur ?— Oui, c’est pas une pipe qui va te tuer et il faut bien que j’assaisonne ton plat.Paulo se contente de ça pour ce soir et il m’offre une nuit complète pour récupérer. Mon réveil par contre est bien intense. J’ouvre à peine les yeux qu’il roule sur moi pour me prendre ma chatte sans retenue. Il me prend dans bien des positions et me fait beaucoup jouir avant de se vider abondamment dans ma chatte.La semaine se rythme ainsi. Il dégorge ses couilles au réveil, me laisse tranquille jusqu’à environ onze heures où suivant les jours il me prend soit par la chatte, soit par le cul, souvent les deux. Mon déjeuner se passe sous la table pour le même final puis je suis tranquille jusqu’à ce qu’il fasse de moi son quatre heure où là il se montre a****l en me prenant par le cul. Le repas est à l’image des déjeuners. Le soir et les nuits cela dépend de ses humeurs.Je dois avouer que je n’aurais pas pensé me transformer si vite entre les mains, et surtout sous les assauts de cet homme. Jour après jour je lui suis plus soumise. Je n’oublie plus jamais de l’appeler monsieur ou maître et je suis désormais parfaitement à l’aise de rester nue toute la journée, un collier autour de mon cou et mes fesses remplies par un plug.Thierry revient quotidiennement avant le repas du soir pour s’assurer de ma santé et au bout d’une semaine il donne son feu vert à Paulo pour m’offrir à des groupes d’hommes.— Et quand veux-tu ta récompense ?— Maintenant si ça te convient, avant qu’elle ne soit complètement distendue.— Ok. Tu la veux pour combien de temps??— Ma femme n’est pas là du week-end, je pensais rester ici et m’amuser avec. Ça me permettra de vérifier mon diagnostic en la secouant un peu.— Pas de problème, elle est tout à toi.Ils se serrent la main. Paulo se tourne vers moi et me fixe.— Chienne, tu as intérêt à te montrer à la hauteur et ne pas me faire honte.Paulo tout juste sortit, Thierry se déshabille.— Paulo a le don pour transformer les chiennes qu’il éduque en parfaite suceuse. Montre-moi donc ce qu’il a réussi à faire avec toi.Après une semaine entre les mains de Paulo, je ne suis absolument pas déstabilisé par de tels propos. Je l’invite à s’asseoir sur le lit et me glisse entre ses jambes que j’écarte. Je prends son sexe en main et commence à le masturber tout en donnant des coups de langue sur le bout de son gland. Une fois son sexe en érection, celui-ci n’a rien d’extraordinaire, tout juste peut-être un peu plus grand que la moyenne. Je peux le prendre en entier sans gène, c’est même très agréable. Lui aussi apprécie ces moments-là quand son gland est dans ma gorge. Il pousse des jurons que je n’ai pas l’habitude d’entendre sortir de la bouche d’un médecin. La facilité que j’ai à le sucer et ses insultes ont le don de m’exciter et je me montre particulièrement vorace. Thierry ne supporte pas un tel traitement très longtemps. La main dans mes cheveux, il se crispe et jouit dans ma gorge. La quantité de sperme qu’il m’envoie me parait dérisoire en comparaison de celle de Paulo et je la déglutis sans le moindre souci. Je le garde dans ma bouche longtemps après qu’il ait joui. Contrairement à Paulo, il débande.— Non, ne t’arrête pas. Je ne suis pas comme l’autre furieux. J’ai besoin d’aide pour que tu me rendes de nouveau bien dure.Je le garde en bouche et m’amuse à jouer avec son sexe avec ma langue. S’il ne peut maintenir une érection après avoir joui, j’ai au moins la satisfaction de voir qu’il réagit assez vite à ce que je lui fais.— Dans quelle position souhaitez-vous me prendre, monsieur?? — Ah ton avis ? Dans celle qui te définit le mieux désormais.Comprenant ses attentes, je monte sur le lit pour me tenir à quatre pattes, les fesses tendues vers l’extérieur. Thierry est derrière moi. Il caresse d’une main mes fesses tout en se masturbant de l’autre. Ses doigts glissent dans mon sillon fessier et entre en contact avec le plug. Il s’en saisit et tire légèrement dessus, il s’arrête toujours avant d’atteindre la partie la plus large. Ses yeux sont fixés sur mon anus qui se dilate à chaque fois qu’il tire sur le plug. Il finit par se décider à s’intéresser à ma chatte et présente son gland devant. Il s’enfonce dedans d’une seule poussée extrêmement lente. Je savoure avec délice la sensation de ma chatte humide qui s’ouvre à son passage.— Maintenant, à toi de jouer, salope. Montre-moi comment tu remues ton gros cul de pute.Paulo m’a habitué à être prise, à n’avoir presque jamais le contrôle de mes pénétrations. Je fais quelques va-et-vient, remue mes fesses devant lui. Cela ne semble pas plaire à Thierry qui me claque les fesses.— Mieux que ça, grosse chienne.Piquée au vif, je lui donne de violents coups de bassins qui le surprennent. Je parviens même à le projeter suffisamment en arrière pour éjecter son sexe de moi. Il s’empresse de me le remettre et se cramponne à mes fesses.— Hum ! c’est bon salope, continue.Je continue à me déhancher, ajoutant des ondulations à mes coups de reins. Thierry n’arrête pas de gémir. Malgré le plaisir qu’il prend, il décide de reprendre le contrôle. Il enfonce mon visage dans le matelas et me donne quelques coups de reins. Il accentue encore plus sa domination sur moi quand il lève une de ses jambes pour venir poser son pied contre ma joue.Thierry me donne de nombreux orgasmes, mais malgré la domination qu’il m’impose, il lui manque l’explosivité et la bestialité de Paulo. En si peu de temps entre ses mains j’en suis devenue accro.— Tiens, Carine, prends mon jus au fond de ta chatte de grosse salope !Thierry jouit et me remplit en pensant à sa femme, il imagine que c’est elle qu’il peut enfin tirer comme il le voudrait. Cette idée finit de m’achever et je jouis avec lui bruyamment. Il s’effondre sur moi, et nous restons ainsi le temps de prendre notre souffle. Quand il roule sur le côté, je me glisse entre ses jambes et lui nettoie la bite sans qu’il me le demande. Il n’y aurait sûrement pas pensé tout seul et ne m’en aurait pas voulu si je n’avais rien fait, mais j’aime ce moment-là. Ce dernier devoir que je dois accomplir après une bonne saillie.Thierry connaît bien Paulo et ses habitudes et une fois son repas servi je me retrouve sous la table à le sucer. Il a fini de manger depuis bien longtemps escort tekirdağ quand je finis par l’amener à la jouissance. Il arrose mon assiette d’une quantité de sperme dérisoire. Je suis déçu.Je suis déçu de ne pas avoir tous mes aliments recouverts de sperme ? Je suis vraiment devenue complètement folle.Si Thierry n’enchaîne pas les érections comme Paulo ni n’a sa capacité à produire autant de sperme, il reste très demandeur. Il profite de moi autant que possible, autant que son corps le lui permet. Et s’il ne vaut pas Paulo, il me donne tout le long du week-end de très bon orgasme.Nous sommes dimanche, il est dix-huit heures, je rebondis sur la bite de Thierry quand la porte de l’appartement s’ouvre. Alors que je commence à ralentir le rythme, Thierry me claque les fesses et reprend les choses en main pour me fourrer à son rythme.Paulo entre dans le salon.— Alors tu t’es bien amusé avec cette chienne ?— Oh putain, oui ! Je me suis éclaté. J’aime bien tringler tes jeunes chiennes, mais je préfère celle-là. J’ai eu l’impression d’avoir pour moi la femme salope dont j’ai toujours rêvé.— Oui. J’ai parlé d’elle pendant le week-end et j’ai plusieurs bons pères de famille qui m’ont dit avoir très envie de savoir ce que ça fait d’avoir une épouse chienne à domicile. Je crois qu’elle va accueillir pas mal d’autres hommes pour des petits séjours ici.Tout en parlant, Paulo se déshabille offrant à mon regard gourmand son obus déjà fièrement dressé qui m’avait manqué. Thierry s’arrête et me tire à lui pour bien offrir mes fesses à mon nouvel amant. Paulo retire le plug qui barrait le passage et reprend possession de mon cul. Je pousse un long soupir de bien-être. Me voilà de nouveau prise en double, mon plaisir monte en flèche en l’espace de quelques secondes.Derrière moi, Paulo ne manque pas de marquer son terrain. Il se saisit vite de ma poitrine qu’il serre entre ses mains.— Tu vas la jeter dans les mains de combien de mecs demain ?— Dix. Ils seront dix à se relayer dans ses trous. Elle va salement se faire élargir. T’es en forme pour m’aider à la préparer ?— Oui, t’inquiète, elle m’a vidé il y a pas longtemps, je peux tenir. Tu peux venir me rejoindre.Je ne comprends que ce qu’ils sont en train de dire. Paulo sort de mon cul qu’il rebouche avec le plug. Il s’enfonce dans ma bouche, me faisant saliver abondamment. Sa queue propre et lubrifiée, il retourne se mettre en position derrière moi, mais au lieu de reprendre sa place entre mes fesses il dirige son gland contre le sexe de Thierry et vers ma chatte. Comprenant qu’ils s’apprêtent à me faire une double vaginale, je panique. Paulo enroule un bras autour de moi pour m’empêcher de bouger. Sa main libre guide son sexe à l’entrée de ma chatte., mais il n’arrive pas à le faire entrer. Thierry arrête de remuer sous moi, mais même ainsi ma chatte refuse d’accueillir une deuxième bite. Paulo insiste, évacuant sa frustration en envoyant de grandes claques sur mes fesses.— Monsieur, ça ne va pas rentrer.— Elle a raison. Retire le plug pour faire de la place.Paulo se recule légèrement et arrache le plug qu’il lance au travers du salon. Mon anus vide, Paulo retente sa chance. Après plusieurs tentatives, je sens soudain mes lèvres vaginales se distendre et accepter son obus. Je sens ma chatte se déformer à mesure qu’il s’enfonce en moi.— Ah?! Oui?! Ah?! Non?! Oui !Je n’arrête de pousser des cris de plaisir. J’oscille en permanence entre plaisir exceptionnel et la douleur d’être écartelée ainsi.— Mais quelle salope?! s’écrie Thierry. Deux bites dans sa chatte et elle prend son pied.Thierry s’empare de ma poitrine à pleine main et la tire vers lui. Il me la bouffe littéralement, me mord mes gros tétons. Mon plaisir augmente d’un cran. Derrière, Paulo n’est pas en reste. Il cramponne ses mains sur mes épaules afin de pouvoir me bourrer avec toute la fougue qui le caractérise. Je pars dans un vrai délire, mon cerveau est en train de disjoncter. Je suis fauchée par un orgasme terrible, je hurle avant de m’écrouler complètement. Ni Paulo ni Thierry ne ralentissent l’intensité de leurs va-et-vient pour autant. Je suis une vraie poupée désarticulée entre leurs mains.— Elle est plus très réactive, regrette Thierry.— Attends, tu vas voir, ça va vite changer.Paulo sort de ma chatte puis Thierry. Je sais ce qu’ils vont faire, mais je suis toujours écrasée par mon dernier orgasme. Thierry s’enfonce en premier dans mon anus et il est rapidement rejoint par Paulo qui force son passage en moi. La dilatation extrême me tire de ma torpeur. Je pousse des petits cris aigus sous leurs rires pendant qu’il me ramone le cul. Cette double sodomie est aussi courte qu’intense. Je suis emportée par le plus gros orgasme depuis que je me perds dans ma perversion, plus fort encore que le précédent. Au moment où je sens leur sperme à tous les deux envahir mes intestins, je hurle mon plaisir, tout mon corps est agité de spasmes frénétiques et je finis par perdre connaissance.Quand je reviens à moi, Paulo est seul. Thierry est reparti après s’être assuré que ma perte de connaissance était sans danger.Ce soir, Paulo se contente de sa fellation sous la table, même si je sens bien à la puissance de ses coups de reins au fond ma gorge et à ses doigts crispés dans mes cheveux qu’il voudrait plus, mais il sait qu’il doit me ménager pour que je tienne le choc demain.Ma nuit est emplie de rêves érotiques très intenses, je n’arrête pas de me voir au milieu de ces dix hommes. Je crois bien qu’à mon réveil, j’avais imaginé dans ma tête absolument tout ce qui pouvait être possible de me faire. Une vision qu’il y a un peu plus d’une semaine m’aurait sûrement terrifiée, mais qui ce matin m’excitait énormément. J’avais définitivement basculé de l’autre côté.La traversée de la ville me semble interminable. Je pars m’offrir à dix hommes et je suis impatiente. Une fois chez Paulo, il me guide nue en me tenant par ma laisse jusqu’à un hangar aux portes ouvertes. J’aperçois les dix hommes venus spécialement pour profiter des charmes de la nouvelle chienne de Paulo. Ils sont d’âges et d’origines variées. Deux d’entre eux ne me sont pas inconnus. Idris et Ahmed sont là. Ils ne voulaient rater pour rien au monde mon premier gangbang.Ma laisse à peine détachée, les dix hommes se jettent sur moi comme des animaux sur un bout de viande. Mon corps entier est recouvert de leurs mains qui me caressent et me palpent. Ma poitrine est soulevée, soupesée, secouée, claquée, pincée. Mes fesses sont soumises au même traitement. Des doigts se glissent dans mon sillon fessier à la recherche de mon anus qui ne reste pas bouché par le plug très longtemps. tekirdağ escort bayan Il est très vite remplacé par un doigt, puis deux, puis trois et tous n’appartiennent pas au même homme. Ma chatte est tout autant sollicitée. Mes lèvres vaginales sont écartées, on me fouille. Les hommes enfoncent leurs doigts en moi, les retirent pour les lécher, pour me faire goûter à « ma mouille de grosse chienne ». Ma tête est tirée dans tous les sens pour que chacun puisse à son tour me fourrer sa langue dans la bouche et m’embrasser goulûment. Tout ce qu’ils me font me rend folle et je suis au bord de l’orgasme. Mes mains passent de bite en bite. Je les branle tous un par un, fascinée et excitée à l’idée de prendre toutes ces queues en moi, gourmande de toutes ses couilles pleines de sperme qui se perdent au creux de mes mains.Alors qu’il se trouve devant moi, Idris m’empoigne par les cheveux et me force à me cambrer vers sa queue dressée. J’ouvre grand la bouche et avale goulûment la totalité de sa poutre d’ébène.Sa queue fouillant les tréfonds de ma gorge, Idris pousse de lourds soupirs de plaisir.— Dire que quand on t’a trouvé il y a une semaine tu étais une femme fidèle presque incapable de bien sucer et maintenant tu es une parfaite essoreuse de queue.Derrière moi je sens une bite se présenter à l’entrée de ma chatte. Celui qui me prend s’enfonce en moi de toute la longueur de son sexe, alternant coups puissants et véritable mitraillage.Rapidement l’un des hommes pousse Idris pour prendre sa place dans ma bouche tout comme derrière moi où ma chatte se retrouve vide et c’est à mon cul de se retrouver rempli. Dans ce balai de bites, je finis vite par me retrouver à chevaucher l’un des hommes coucher par terre pendant que mon cul est pris et que devant moi des mains se referment sur ma tête pour pilonner ma bouche.Les dix hommes se relaient ainsi dans ma bouche, ma chatte et mon cul, m’utilisant pour leur seul plaisir en m’insultant. Tout y passe, salope, chienne, pute, vide-couille, sac à foutre et plus encore, le tout agrémenté de commentaire sur mon âge et mes rondeurs.Alors qu’Idris se trouve dans ma bouche, il se raidit et m’envoie tout son foutre au fond de la gorge. Je déglutis chacun de ses jets sans difficulté. Dès qu’il me libère, ma bouche est envahie par la queue d’un jeune maghrébin.Derrière moi, les deux hommes qui pilonnent ma chatte et mon cul accélèrent encore le rythme. Ils beuglent comme des animaux en se vidant à gros jets en moi. Leurs couilles vident, ils sont remplacés par deux hommes qui me prennent avec la même énergie que les précédents.Une fois qu’ils se sont tous soulagés une première fois, je me retrouve suspendu entre Idris et Ahmed— L’échauffement est terminé, ma grosse chienne. Il est temps de passer aux choses sérieuses.Les deux hommes guident leur sexe à l’entrée de ma chatte. Leurs glands se disputent mon entrée. Ils veulent me la mettre en même temps.— Ah ! Putain ! Vous m’ouvrez en deux mes salauds !Ils sont arrivés à leur fin. Ils accentuent leur prise sur moi et je sens leurs sexes me transpercer et me dilater à mesure qu’ils s’enfoncent en moi. Ils me pénètrent jusqu’à la garde et hurlent leur plaisir.— SALOPE !Ils se lancent dans un pilonnage sans s’arrêter de me traiter de salope. Leur va-et-vient est grandement facilité par tout le sperme et la mouille dont mon vagin est remplie. Je jouis sous leurs coups de bites, j’enchaîne orgasme sur orgasme. Et dire qu’après qu’ils se soient occupés de moi, quatre autres groupes d’hommes m’utiliseront de la même façon.J’ai le souffle court et le cœur qui bat à cent à l’heure quand Idris et Ahmed abandonnent ma chatte pour s’occuper de mon anus. Comme tout à l’heure il cherche à me pénétrer en même temps. La tache s’avère plus longue et plus pénible pour moi, mais ils y parviennent sous les cris hystériques des autres hommes.— Éclatez-lui son gros cul à cette chienne !Le terme n’est pas exagéré tant mes deux amants se déchaînent dans mon anus. Je crie comme une furie. Je me laisse emporter par le délire du moment.— Plus fort ! Élargissez-moi mon cul de chienne ! Allez-y ! Oui ! À fond !Mes encouragements à me traiter comme la dernière des putes les rendent complètement dingues et ils se déchaînent en moi comme des fous furieux sous les encouragements toujours plus bestiaux des autres.Mon anus est en surchauffe et me brûle quand je les sens accélérer pour m’inonder enfin de foutre et me faire jouir. Je n’ai pas le temps de récupérer. Ils me passent directement à deux autres hommes aux queues dressées. Les uns après les autres, ils me prennent tous en double anal et vaginal, choisissant par quel trou béant commencé en premier au gré de leurs envies.Quand ça s’arrête enfin, je suis une véritable loque brisée par trop d’orgasmes. Ma chatte et mon cul sont rouges et distendus et laissent s’écouler tout le sperme qu’ils ont déchargé en moi.Les hommes se rhabillent et remercient Paulo pour ce moment de pur plaisir. Tous me disent au revoir en me claquant les fesses.Une fois seul avec moi, Paulo s’allonge au-dessus de mon corps ruisselant de sueur et de sperme— Tu as été parfaite, ma chienne. T’as bien mérité ta récompense.La récompense de Paulo s’avère être une sodomie sauvage de mon anus totalement distendu. Malgré tout ce que j’aie déjà pris, il parvient à me faire décoller et je passe mon temps à jouir.De retour chez moi, je m’endors comme un bébé.Durant le restant de mes vacances, je passe mon temps à alterner entre les gangbang dans le camp de Paulo avec les nuits chez moi entre les bras d’hommes mariés mûrs qui trouvent chez moi la salope qu’ils n’ont pas chez eux.C’est avec beaucoup de regret que je dois partir. Paulo ne semble pas affecté par mon départ, depuis quelques jours j’ai l’impression qu’il a une autre cible en vue, une autre femme chez laquelle il va réveiller la chienne en elle. Une chienne qui le restera.Sur la route qui me reconduit chez moi, je passe mon temps à réfléchir à tous ces hommes que je connais, à tous mes amis, mes collègues, auxquels je vais chercher à m’offrir. J’imagine aussi tous ceux qui me sont encore inconnus, tous mes futurs étudiants auxquels je révélerais toute l’étendue de mes talents de bonne grosse chienne en chaleur.Une chienne qui ne se sent pas à son aise. Je m’arrête sur le bord de la route et me sers de mon portable pour trouver le sex-shop le plus proche. Une fois sur place, j’y rentre sans honte et me dirige vers le propriétaire, un homme d’une quarantaine d’années. Je lui dis ce que je recherche et il me guide dans les rayons pour trouver ce que je veux. Le plug en main, je le regarde droit dans les yeux.— J’ai l’habitude de le porter pour garder le sperme de mon amant en moi. Voulez-vous m’aider ?Le propriétaire sourit. Il passe le collier que j’ai choisi juste avant autour de mon cou et m’emmène à l’arrière du magasin.Une autre vie commence pour moi.